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 And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}

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Beauxbâtons

  • Arsène J. Vonderberg
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Arsène J. Vonderberg



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MessageSujet: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 15:51

Hello Dear, it's time to introduce yourself !

Tout ce que Nech(mo)
veut bien inventer ? UU
ft. Jim Sturgess
Chapter One : Identity Card

Music Please


Nom: Vonderberg ; c'est allemand, il le tient de son père, lui-même franco-allemand. Il hésite depuis quelques temps à reprendre le nom russe de sa mère : Khitrev.
Prénom(s): Arsène, Judicaël.
Date de Naissance: 8 mai 1990.
Lieu de Naissance: Nijni Novgorod, Russie.
Âge: 20 depuis peu.
Nationalité: Russe, bien que d'origine franco-allemande-russe, car il a vécu entre l'Allemagne et la Russie et a de la famille en France, qu'il ne connaît cependant pas.
Sang: Mêlé ; père de sang pur, mère moldue.
École / Métier: Beaubâtons.
Année / Rôle: 7ème.

Chapter Two : Life isn't a fairytale

Ici l'histoire de votre personnage, son enfance, son adolescence, comment a-t-il découvert ses pouvoirs, l'école, son métier éventuellement, et finalement son arrivée à Elderwood, etc...
Si vous désirez un don pour votre personnage, reportez vous au chapitre six avant d'écrire l'histoire, remplissez le et envoyez un Mp à un admin pour qu'il valide ou non le don. Vous pourrez ainsi en parler dans l'histoire.
40 lignes minimum demandées !

Ma mère n'a jamais été pas une mauvaise mère. Ni acariâtre, ni répressive, ni trop stricte ou trop étouffante, pas non plus totalement désintéressée de mon sort, ou indifférente à ma présence... Non, en fait, elle a toujours été tout le contraire. Douce, chérissant chaque instant à mes côtés, m'interrogeant des heures sur ma vie, mes activités, mes fréquentations, mes rêves, ne se lassant jamais de parler avec moi – ou plutôt me laissant parler – durant ces petits bouts d'éternité avec ce tendre sourire tranquille. Elle ne m'a donc pas dégoutée des femmes. Beaucoup de gens font l'amalgame en ce qui concerne les gens comme moi, qu'ils appellent "contre nature", pensant qu'il y a forcément une raison rationnelle derrière le fait de devenir ainsi. Mais la figure maternelle qu'elle m'a offerte, et sa divine féminité, n'ont jamais à mes yeux été à remettre en cause. Et si ce sexe ne m'a donc jamais attiré, ce n'est pas pour une quelconque relation conflictuelle avec ma mère, mais simplement car c'est comme ça. Elle est, a été et sera toujours la seule femme que j'aimerais de cet amour là : c'est un fait. Elle le sait, et ne me l'a jamais reproché ; contrairement à mon père... Mais mon père n'a de toute façon jamais eu autre chose que des reproches à mon égard. Et, paradoxalement, je crois bien qu'il est le seul homme que je ne pourrais jamais aimer ; tout comme il m'a toujours haï, même si de mon côté je ne le hais pas, me contentant d'être indifférent. Ma mère pense qu'il m'aime, mais je sais bien qu'il ne l'a jamais fait. Enfin, je ne compte pas les 6 mois de gestation avant ma venue, bien sûr, car s'il m'a aimé avant que j'arrive, il ne l'a plus fait depuis – et ça ne pèse pas lourd dans la balance, comme vous l'imaginez.
Ma mère, elle, m'a aimé depuis le jour de ma conception, jusqu'à cette seconde même où je vous raconte mon histoire, tout comme elle le fera certainement jusqu'à sa mort. Pourtant, elle aurait pu me détester, sa haine même aurait été tellement plus légitime... Puisque j'ai ravi sa liberté. Au milieu du 6ème mois de sa grossesse, elle a attrapé une infection. On aurait pu la soigner, mais le traitement adéquat m'était en péril le développement de son bébé – moi. Alors elle l'a refusé. Son excuse devant la fureur de mon père fut : « De toute manière, on ne peut pas le payer, Grigori. » Et malgré ses maintes protestations, et même son acceptation d'aller se prosterner devant sa famille et d'y laisser sa dignité pour la sauver en leur demandant de les aider, elle refusa encore. Elle le voulait, ce fils qu'elle aimait déjà tant alors qu'il n'était même pas encore là. Elle me voulait, moi, son Arseni. Elle m'amena donc jusqu'à mon 7ème mois et accepta de me délivrer prématurément devant la gravité de son état, car sinon, nous y passions tous les deux. Elle m'a donné la vie, en risquant la sienne... Et elle en perdit une partie, car il fut trop tard pour que ses organes puissent récupérer leurs facultés globales, l'infection ayant causé des dégâts irréversibles et détruit son système immunitaire. Mais pour elle, ça n'avait aucune importance : elle avait son choix. J'étais son choix, et je le suis encore, ainsi que sa raison d'être. Et alors qu'elle avait choisi de me faire vivre, mon père, lui, choisit de me détruire. Et moi, plus tard, je choisirais de la protéger.

On ne peut donc pas dire que j'ai eu une enfance normale ; déjà, vu les circonstances de ma naissance, j'étais mal parti. La "famille normale" que j'aurais dû avoir a éclaté à la seconde même où je suis né. Je n'ai donc jamais connu cette plénitude. Outre le fossé qui s'est creusé entre mes parents ce jour là, il y en avait déjà un plus ancien, mais le pont entre les deux mondes s'est brisé avec ma venue... Monde magique, et Monde moldu. Mon père, ma mère. Ils n'étaient déjà théoriquement pas fait du même bois, même si pour moi il n'y a jamais eu aucune différence, même s'ils avaient tous deux des attitudes sensiblement opposées vis à vis de moi. Car ce n'était pas à cause du don, ça ne l'avait jamais été – même si, parfois, ça arrangeait mon père de le penser – mais à cause de la souffrance involontaire que j'avais causée. Mon père était donc sorcier, mais aussi d'origine sociale différente : c'était le fils d'un Duc, un sang pur éduqué, promis à la succession du duché de feu son père, Ludwig Vonderberg. Alors que ma mère, elle, était une simple orpheline, qui depuis ses 16ans travaillait dans un bar branché pour survivre. Fougueuse, débrouillarde, mais sans une once d'éducation... Pourtant, ils s'étaient trouvés, ils s'étaient aimés, et mon père l'avait choisi, Elle. Il avait choisi d'épouser le Bonheur, sûr de faire le bon choix, qu'il n'aurait jamais à le regretter... Jusqu'à ce que je chamboule tout. Il n'avait jamais douté, ni eut peur des conséquences lourdes sur son avenir, sauf que j'avais tout foutu en l'air : et moi, il ne m'avait pas choisi. Il me l'a d'ailleurs toujours bien fait comprendre : je n'étais qu'une erreur de parcours, même s'il était obligé de m'assumer. L'arrivée de nuages noirs sur son ciel bleu sans tâche. Et il était plus simple de me haïr que de m'accepter, accepter cet échec cuisant avec lequel il serait forcé de vivre. Il a préféré le combattre... Me battre.
Je ne sus jamais pourquoi il accepta de m'amener avec lui en France sur la demande de ma mère, trop faible pour s'occuper de moi, passant toutes ses journées dans sa chambre au Manoir. Peut être par Amour pour elle, ou par simple devoir, ou peut être pas. J'ai passé la moitié de mon enfance a essayé d'aimer mon père, et l'autre a essayé de le détester... Mais l'un comme l'autre, je n'y suis jamais parvenu. Tout comme lui n'a jamais eu autre chose de la haine à mon égard, même quand il a découvert que j'étais comme lui, un Sorcier. Même mon entrée à Beaubâtons ne lui fit ni chaud ni froid, ou si, peut être que ça l'arrangea que je ne sois plus dans ses pattes 10 mois sur 12... Pour ma mère se fut plus dur, mais mon père lui a toujours été un étranger pour moi. Je l'ai compris à mes 14ans, un de ces fameux soirs lors des vacances d'été où, ayant bu, il me frappait et me provoquait délibérément, passant sa rage contre la fatalité sur moi. Il me hurlait dessus, et comme d'habitude, je ne ripostais pas, je le laissais couvrir mon corps de bleus sans broncher. Et, comme toujours, il me défia, m'ordonnant de me défendre, de lui montrer que j'étais vraiment un homme. Sauf que ce soir là, il ajouta quelque chose. « Fais moi voir que tu es un homme, un vrai, et pas une de ces sales pédales. » Sans que j'y réfléchisse, mon poing était allé s'écraser sur sa mâchoire. Les os de mes phalanges avaient rencontré l'arête de son menton et un crac sinistre avait résonné. Ma main à moi n'avait rien, je savais frapper, et je lui avais cassé la mâchoire... Alors qu'il me toisait d'abord d'un air surpris, il s'était mis à sourire et m'attrapa par l'épaule, me tendant sa deuxième joue. Il me demanda de recommencer, disant que c'était mon tour maintenant, et ça le faisait rire. Oui, il riait. Un instant, j'ai regardé mon poing et je l'ai levé à hauteur de mon visage, prêt à donner un second coup. Après tout, il le méritait, non ? Alors s'il le voulait, pourquoi ne l'aurais-je pas fait ? C'est à ce moment là que j'ai compris que je ne ressentais aucun remord, rien, par rapport au coup que je lui avais donné, et sa mâchoire brisée. Non, rien du tout. Pas même une once de regret, ni de plaisir : je ne ressentais rien. C'était simplement la colère qui avait parlé, mais rien d'autre. Et j'ai su. J'ai su que je ne ressentirais jamais rien pour lui ; qu'il soit vivant, ou mort. Peu m'importait. J'ai baissé lentement mon poing et ce fut mon tour de sourire. Une sorte de rictus sardonique, qui est resté sur mes traits alors que je quittais la pièce. Tout ce temps, je lui avais permis de me faire du mal, alors qu'au fond, son pouvoir sur moi n'était qu'illusoire. Qu'il me frappe, ça m'affectait bien sûr, mais les blessures se refermaient, et la douleur disparaissait. Et il n'y avait rien derrière tout ça ; rien que son désespoir, et ma faiblesse. Cette faiblesse qui faisait que j'acceptai d'endurer tout ça parce que je pensais le mériter. Parce que j'avais toujours cru qu'en tant que fils, je devais soulager la peine de mon père, puisque j'en étais responsable. Sauf qu'il n'avait jamais été un père pour moi, et que je n'étais pas responsable. Moi non plus, je n'avais pas choisi. Et après ça, il n'a plus jamais levé la main sur moi.

Ma mère n'en a jamais rien su. Car je m'étais ça sur le dos de la Boxe, que j'aimais tant, et elle ne pouvait rien dire ; ma façon à moi de la protéger. Je préférais qu'elle croit que mon père s'occupait bien de moi en l'honneur de leur amour, cette Amour auquel elle croyait encore alors que c'était à peine si mon père réussissait à prononcer son nom en ma présence. Et il y avait aussi cette douleur avec laquelle il la regardait quand il lui rendait visite, tous les premiers mercredis de chaque mois. Oui, il l'aimait sûrement encore, mais il était incapable de lui pardonner son choix... C'est d'ailleurs pourquoi il se remaria, alors que j'allais avoir 16ans. Je ne l'appris qu'à la fin de ma 3ème année, en rentrant pour les vacances d'été, et que cette femme m'accueillit sur le quai avec son ventre rond. Je me souviens très bien de ce que j'ai ressenti, comme si une page entière de mon existence se tournait. Comme si je pouvais enfin me débarrasser de cet homme qui, à part m'étouffer, n'avait jamais rien été pour moi. Il refaisait sa vie, et je pouvais enfin reprendre la mienne. Mon père n'était alors plus un obstacle dans mon développement, du moins son influence et son autoritarisme qui m'avait tellement jusque là excessivement brimé et retenu dans une enveloppe charnelle que je jugeais bien trop petite pour l'homme accompli que je voulais devenir s'étaient dissipés depuis mon tour de force. Sauf que maintenant que je n'avais plus de force extérieure qui s'occupait de tenir les reines de ma vie à ma place, il me fallut me construire autrement... Par moi-même. Et ma nouvelle vie à Beaubâtons en temps que Dauphin - maison où j'atterris par défaut -, de toute façon, avait déjà bien entamé le processus, ainsi que les rencontres que j'y fis.

Pourtant, il me manquait encore quelque chose et ce n'est qu'à l'aube de mes 18 ans que la révélation vint à moi. Il y avait trois choses que j'aimais dans la vie : ma mère, la boxe, et les hommes. Et le meilleur moyen de pouvoir rendre fier ma mère, pratiquer ma passion et en vivre, et ne pas être obligé d'être mal vu en fréquentant exclusivement la gente masculine : c'était l'armée. Bien sûr, au départ, l'idée que je m'engage dans un organisme rattaché directement au gouvernement et que je dépende de caprices institutionnels ainsi que d'une bureaucratie chaperonnée par un complexe autocratique ne me disait pas grand chose, à la base... Et à ma mère non plus d'ailleurs – ayant peur de perdre le point central de son existence dans un combat qui n'aurait pas dû être le sien. Et je ne m'imaginais pas non plus en train de vivre ma sexualité ouvertement en couchant avec de beaux militaires dans tous les coins... Mais je pensais d'avantage à l'expérience que j'allais en retirer, et l'idée d'être utile à une cause qui, sûrement, donnerait un sens à tout le reste... Ou, en tout cas, me procurerait la couverture rêvée pour pouvoir vivre mon secret. Outre mon propre combat – rester intègre dans un monde qui ne veut pas de ce que vous êtes – il me fallait un réel ennemi à combattre, maintenant que j'avais battu mon père. J'avais pris conscience de combien je m'étais senti vivant lorsque j'avais réussi à mener mon camp à la victoire, et maintenant je voulais le ressentir à nouveau concrètement. Car le combat contre les mentalités étaient comme se battre face à un ennemi invisible, tel un cancer ou une maladie qui nous corrompt jusqu'à la moelle en nous laissant comme seule alternative de lutter contre la mort, lutter pour survivre sans avoir même le loisir de pouvoir se mesurer face à l'opposant, ici un tas de préjugés et d'idées reçues corrosives qui ne laissaient aucune chance à la beauté véritable de cette réalité : l'amour sans condition. En quoi, pour un homme, aimer un homme serait-il différent d'aimer une femme ? C'était tout simplement stupide de condamner un sentiment d'une telle pureté, et de le juger inadmissible parce qu'il ne touchait qu'une minorité de personnes, et qu'il n'était pas conformes aux idées ancestrales d'un bouquin illégitime pétris de contradictions. Renier tolérance et amour inconditionnel pour un tas de préceptes étiquetés immoraux sur la base d'avis subjectifs divulgués par un tas de fanatiques anonymes n'était-il pas plus idiot que d'accepter qu'on puisse aimer n'importe qui, qu'il soit de sexe, de race, de religion et que sais-je encore différents de la notre ? Je le pense. Le fait étant que de toute manière, cet amour là existe, et qu'il ne nuit à personne, mise à part peut être à l'éthique fragile de certains. C'était plutôt l'homophobie qui est dangereuse ; en tout cas, ici, elle fait des morts tous les jours. Et ça me révolte. Les pouvoirs publics me révoltent. Mais avant tout, c'est mon impuissance qui me révolte le plus. C'est pour ça que j'ai besoin de me battre, chaque jour que l'Univers fait. Et Nameless et son cortège de différences est l'endroit idéal pour ça.


Chapter Three : I need a meaning, I need a soul

Et parce qu'on est des petits curieux on aimerait en savoir plus sur son caractère, ses manies, ses goûts, ses craintes, ses rêves, etc...
15 lignes minimum demandées

En résumé : Calme ; Engagé ; Tenace ; Peu expansif ; Facile à vivre ; Serviable par nature ; Protecteur ; Posé ; Secret ; Sensible sur certains points.

Le trait principal de caractère d'Arsène est qu'il est incroyablement tenace : quand il s'est fixé quelque chose, il n'est pas possible de l'en détourner, c'est pourquoi dans son travail il est irréprochable, exécutant les directives à la perfection en allant toujours au bout des choses. Ce n'est pas exactement le genre de personne à douter de quoi que ce soit, il sait ce qu'il veut, il n'attend pas que les choses arrivent toutes cuites dans son bec et, s'il a été un garçon brimé et contrôlé pendant longtemps, se libérer de ces chaînes lui a permis de prendre pleinement possession de ses facultés, intellectuelles et physiques. Et aujourd'hui, il commence à savoir qui il est, et comment protéger son intégrité qu'il se fait un devoir de préserver.
Ses convictions sont des éléments moteurs de son existence, c'est pourquoi s'il se rallie à une cause, il la défendra jusqu'à la mort, tout du moins moralement. Car si Arsène n'est pas spécialement idéaliste, ni utopiste, cela ne l'empêche pas de rêver d'un monde meilleur, même s'il n'ira pas se sacrifier inutilement en se donnant en pâture pour poursuivre son idéal. En apparence, il est facilement dirigeable, pas du genre à discuter les ordres s'ils lui sont prodigués par une figure qu'il respecte ou qui a autorité sur lui, vestige de l'emprise de son père sur lui. Intelligent, il apprend très vite et s'adapte avec un temps record, possédant beaucoup d'atouts de terrain notamment la logique, la stratégie et une bonne capacité d'analyse. Sensé, perspicace, pragmatique, il aurait aussi les capacités d'un chef, pouvant prendre des décisions et même diriger si cela s'avère nécessaire, mais il n'aime pas se mettre en avant, et aime surtout à protéger et veiller sur ses compagnons, ce qui a fait naître chez lui des envies d'aller dans l'Armée. C'est un instinct naturel chez lui de prendre soin de son entourage proche, mais par contre ça ne marche pas dans l'autre sens ; il aime à se débrouiller seul, ça le rassure d'être responsable de ce qui lui arrive et ne veut se reposer sur personne.
D'un côté plus personnel, Arsène reste un garçon discret, plutôt timide car il n'aime pas trop s'imposer et préfère laisser les gens venir vers lui plutôt que l'inverse. Ce n'est pas tellement parce qu'il est mal à l'aise - ou parfois si... UU -, plutôt car il est méfiant et n'a pas forcément une très grande confiance en lui en ce qui concerne les relations humaines. Quand cela se limite à du professionnel, il est très performant et du genre à se dépasser ; mais il n'a jamais vraiment su aller vers les gens, et même s'il a eu des conquêtes, il n'a jamais vraiment pris les devants. Il est plutôt exclusif dans ses relations, du genre à beaucoup se consacrer à une seule personne. Très fidèle donc, voir même un peu possessif si c'est quelque chose auquel il tient particulièrement. Car sa ténacité ne s'arrête pas aux objectifs : si une personne le touche vraiment, il ne la lâchera pas et ferait n'importe quoi pour elle. Tout comme si elle le trahit, il ne lui pardonnera jamais. S'il semble d'un calme à toute épreuve, comme tout le monde, il a ses limites, et il faut aussi savoir qu'une fois mis en colère, il devient vraiment mauvais. Croire qu'il ne serait pas capable de blesser sous ses airs calmes, imperturbables et ses traits doux serait vraiment une erreur grossière. D'autant plus qu'il est plutôt doué pour viser les points sensibles, quand il le souhaite... Mais si ça arrive rarement, puisqu'il juge la vengeance inutile et puérile, et qu'il sait se contrôler. Du moins, la colère est une émotion qu'il maîtrise, notamment grâce à sa pratique de la boxe birmane... Cependant, il reste très ultrasensible dans d'autres cas. Par exemple, lorsqu'il commet une erreur, il peut facilement perdre pied ou lorsqu'il se retrouve dans une situation où les sentiments sont en jeu, il étouffe rapidement. Il a aussi un petit côté naïf car il ne comprend pas pouvoir plaire à quelqu'un. Il se juge trop quelconque.

Détails physiques & particularités :
Une cicatrice à l'arcade, et d'autres dans le dos et sur les avant-bras, vestige des mauvais traitements de son père. Son nez aussi est légèrement asymétrique, il se l'est cassé à la boxe et ne s'est pas ressoudé exactement dans l'axe.
Ces grands yeux bruns qui ont l'air toujours un peu ailleurs, c'est la première chose que l'on remarque chez Arsène. Outre peut être ses cheveux d'ébène incoiffables au nombre extraordinaire d'épis, peut être, et qu'il n'a pas la patience de rendre plus présentables... Mais ses yeux, ses yeux ! Ils ont cette façon incroyable de s'allumer quand il sourit, devenant pétillants comme ceux d'un petit enfant émerveillé, que c'est est presque... Transcendant. C'est vrai qu'au fond, c'est assez rare de les voir ainsi s'éclairer – tout autant que le voir sourire, en fait – et que plupart du temps, ils ont plutôt tendance à s'éteindre et à passer sur le monde presque sans le voir ; ou en le voyant trop bien, justement. Son visage un peu rond, aux pommettes saillantes, a toujours l'air d'être affublé de ce même air grave, impassible, tandis que sa peau pâle lui donne un air légèrement austère, faisant trancher la noirceur de sa chevelure, et le brun foncé de ses iris qui en ressortent d'autant plus. Quelque chose d'assez troublant avec ce jeune homme qui semble toujours neutre, c'est que dès qu'il ressent une quelconque émotion, elle ressort du coup tellement sur ses traits qu'elle peut les enlaidir, ou les magnifier, en un seul instant. Ses sourcils fins arqués, son nez droit soudain froncé, ses pommettes se dessinant joliment ou encore la commissure de ses lèvres se relevant de façon nette, qu'importe, cela le transforme, et il n'est pas difficile de deviner son expression, alors très marquée, qu'elle soit positive... Ou négative. Et, quand ça arrive, lui si imperturbable d'ordinaire, on peut s'en réjouir... Soit craindre le pire. Concernant l'ensemble de sa silhouette, Arsène est fin et lancé, bien proportionné, et possède une musculature bien formée. On en a pas l'impression, vu le gabarit, mais s'il a une carrure fine aux premiers abords, il n'en a pas moins des muscles solides et bien dessinés.


Dernière édition par Arsène J. Vonderberg le Mar 11 Oct - 20:43, édité 13 fois
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  • Arsène J. Vonderberg
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 15:51

Chapter Four : Tell us more about you
Your tastes
Café ou thé? Ça dépend, mais de base, il préfère les jus de fruits.
Bierraubeurre ou whisky pur feu ? Il n'est pas spécialement porté sur l'alcool, même s'il répondra volontiers vodka vu ses origines profondes.
Soirée alcoolisée ou au coin du feu ? Coin du feu sans hésiter, rien de tel qu'un moment au calme.
Hiver ou Eté ? Hiver. La Russie sous la neige, il n'y a rien de tel.
Blanc ou noir? Indubitablement blanc, mais la seconde pour les yeux au beurre noir...
Le Chicaneur ou la Gazette du Sorcier? Il aurait plus tendance à croire la Gazette, mais s'intéresse à tous les points de vue.
Film d'amour ou d'action ? Il n'est pas bien difficile !
Garçons ou filles? Les filles pour l'amitié, et les garçons pour flirter...
Canons de Chudley ou les Harpies de Holihead? L'équipe de Nech ! *PAN*
Chocogrenouilles ou Dragées de Bertie Crochue ? Les deux, mais avec modération.
Your magic
Baguette : Bois de roseau, poil de lycanthrope, 24cm.
Epouvantard : La mort de sa mère, ou lui-même les traits déformés par la colère, avec le même regard que son père.
Hibou utilisé? (école, propre?) La sienne, qui se nomme Cова (chouette en russe).

Your beliefs
Crois-tu en Dieu ? Pas spécialement, mais s'il existe tant mieux.
En l'espèce humaine ? Arsène a foi en certains, mais sait aussi que d'autres sont totalement irrécupérables.
Au projet Elderwood ? Absolument, pourquoi douter des fondements même de ce qui fait un sorcier ? La magie qui coule en chacun est la même pour tout le monde, après tout.

Chapter Five : Oh! That's a muggle, isn't it ?

Pseudo : Little Suzy
(Prénom :) On me présente plus AHAH
Age : 20, et oui, j'suis vieille x)
Double Compte ? : Ouhlà, non. Je crois que c'est le 12ème si je ne m'abuse...
Prédéfini ? : Nope !
Présence sur le forum ( ? / 7 ) : Le jour où j'suis pas là, c'est que j'suis morte.
Avatar : Jim Sexyturgess
Code du règlement : La chanson que Manon a massacré sur le canapé d'Inès (aa)
Comment avez vous connu le forum et qu'en pensez-vous? : C'est mon fils ma bataaaaaaiille o/
Autre : WOH WOH WOOOOH, j'vais tout casseeeeeeer eh eh eeeeeh *pan*

Chapter Six {facultatif} : Special ? Well, right. But you're not a Superhero, and you're not God, don't forget that.

Cette partie est à remplir avant toute autre.
Une fois fait, prévenez un des admin pour savoir si votre don est validé ou non afin de pouvoir l'inclure dans votre fiche.
Partie à développer car nous sommes plus exigeants avec les personnages qui ont un don !

Hey c'est quoi ton don ? (Nom de la particularité) Pratique de la boxe birmane.
Ah, okay... Mais c'est quoi ? (Expliquez le plus clairement possible) La Boxe Birmane est un Art de combat ancestral. Arsène a acquis toutes les techniques de cet Art martial et sa maîtrise parfaite en de longues années d'entraînement auprès de son entraîneur, Thakin Tun Zaw. (ou Maître Tun Zaw) Cela consiste à utiliser son corps comme une arme, quasiment tous les coups étant permis, allant de l'utilisation des coudes et des genoux à celle du crâne. C'est un Art qui demande patience et précision, puisqu'il vise à toucher des points sensibles et définis afin d'amoindrir les facultés de l'assaillant, puis de le battre avec des techniques placées méthodiquement et stratégiquement. Chaque blessure infligée est réfléchie et prépare le terrain au coup suivant, en prenant en compte trois paramètres : armes, cibles, distances, le tout régit par des règles précises qui permettent de cadrer les combats pour éviter l'anarchie et en faire une réelle discipline basée sur de réelles prouesses techniques.
Wahou, trop cool ! C'est quoi ce que tu préfères faire avec ? (Forces, aides...) Souplesse, agilité, précision, patience, force, retenue... Autant de qualité qui en font un adversaire redoutable.
Ah, ouais, j'avoue. Mais c'est pas un peu chiant des fois ? (Faiblesses, dangers...) Comme cela se pratique à mains nues, en combat il a un certain désavantage pour tout ce qui comporte une arme ou une baguette, mais sa dextérité et son équilibre n'étant pas en reste, il se débrouille tout de même, même si ce n'est par conséquent pas son terrain de prédilection.
Et en quoi ça te rend spécial, tu penses ? :(Pourquoi désirez-vous ce don pour votre personnage) Arseni faisait parti d'un Club de Boxe depuis ses 9ans. Une idée de son Père ; une des rares voir la seule chose de bien qu'il ait pu faire pour lui. Car au bout d'un an, il s'est révélé plus doué que les enfants de son âge, et Thakin Tun Zaw (le propriétaire du Club) a décidé de lui apprendre les rudiments de son Art. Si son Père en fut fier, il ne le montra pas, et ne s'y intéressa pas plus que ça. Quant à sa mère, si elle fut d'abord inquiète, elle finit par se ranger du côté des grands yeux pétillants et des paroles et gestes animés d'enthousiasme de son fils prodige. Car cela est devenu une vraie passion pour Arsène, qui a trouvé un exutoire dans cette discipline et s'est mise à la pratiquer constamment. Il est rapidement devenu très doué, manifestant une réelle facilité dans ce domaine.
C'est ce qui fait ce qu'Arsène est, ce don le compose.


To be continued ...


Dernière édition par Arsène J. Vonderberg le Mar 11 Oct - 20:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 16:05

ELOOOOOOOOOOUUUUIIIIIIIIIIIWWWWWWWWWWW

love love love love love love love love love love love love
Spoiler:

lapins lapins lapins lapins lapins lapins lapins lapins lapins lapins
Spoiler:

fast hug fast hug fast hug fast hug
Spoiler:


I SAAAAYYY YEEEEESSSSSSSSSSS \ o /
*on sent pas du tout la fille trop excité de voir le pitit nouveau trognon fini*
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 16:19

Haaaaaaaan ARSEEEEEEEEEENE !
Arsène. *-*
Arsèèèèèèèèèèèèène. \o/

*fait la danse de la pluie de truffes et partage petits gâteaux et madeleines.*

Tu m'as manquééééé ! Tusaisquetum'asmanquéetquejenevaisplustelâcheretquejeveux
unsujetetquetuveuxjouerauQuidditchettuveuxunetruffeetjepeuxadoptertachouetteeffraie
ettuaimesRivariettuveuxducidreetetet ... Et.

Gah. *-*
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Durmstrang

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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 19:52

CRIMINEL.

* brandit une pancarte "GACHIS DE BEAU GOSSE" *
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 20:42


    Merci mes amouuuuuuuurs calin calin calin loooove
    Et Magda, je vois pas de quoi tu parles... '-' Je sais qu'on est beau mais... du gâchis ? Tu vois de quoi elle parle toi Camil ? Non hein. C'est bien ce qui me semblait. mr green *pan*
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyMar 11 Oct - 22:30

    Bonjour Monsieur Vonderberg, j'ai une information à mettre au conditionnel mais il semblerait bien que je vous aime...
    Bha que dire à part que je trouve vraiment très jolie ta façon de décrire la relation entre Arsène et sa mère, c'est rare en plus les persos qui aiment leur parents mais là je trouve ça sublime.
    Shannon il ira te conter monts et merveilles sous ton balcon en jouant de la mandoline *n'est pas obsédée par ça c'est faux* et on ira se gaver de mcdo en bavant sur le dos des gens /pan/
    On se télébouffe ? On va s'manger une pizza ? On monte un groupe et on devient des stars internationales?

    J'te kiffe. Je t'aime. j'te suis /pan/
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} EmptyDim 16 Oct - 12:34

    * pousse Camil et part en courant sous une pluie de chocapics *
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MessageSujet: Re: And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end}   And the lovers on their cloud don’t give a shit about the money {end} Empty

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