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 Eterna - Love me, love me, say that you love me

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MessageSujet: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:17







Eterna Baskerville



◊ Eterna Baskerville est née de l'union de Walter Baskerville, éminent sorcier et avocat et de Rachael Dunday, Cracmole et vendeuse d'un peu tout et n'importe quoi. Avec son jumeau, Meleager, ils ont énormément voyagé, fréquentant donc Poudlard jusqu'à leurs 15 ans, Salem jusqu'à ce qu'ils en aient 18 et Yolihuani après cela. Faisant son apprentissage d'Auror en France, avec une affectation momentanée en Italie, la demoiselle a vu une bonne partie du monde et possède un appartement à New York où elle s'échoue entre deux missions.

◊ Elle n'est pas ce qu'un homme pourrait appeler "une femme sublime" et elle en est consciente, mais s'en fout comme de sa première culotte. Si ses traits n'ont pas été sculptés par les anges, elle s'est personnellement occupée de son corps et c'est avec celui-ci qu'elle séduit. Ceci, et son naturel extraverti, sans-gêne, sarcastique, énergique, bref, une personnalité étincelante qui ne peut pas vraiment passer inaperçue.

◊ Côté coeur, parlons-en. Elle a très longtemps été une femme à hommes, et, pour comprendre ce phénomène, il faut remonter à ses débuts à Salem, la première fois qu'elle est tombée amoureuse ... du même mec que son frère. Et c'est Meleager, en toute ignorance de ses sentiments, qui l'a eu. C'est à ce moment précis qu'elle a pris une grande décision, en bradant sa virginité à un capitaine trop entreprenant : Mel' aurait l'amour. Elle aurait le cul. Et rien de ce que son jumeau a pu dire ne l'a fait changer d'avis. En Adrian, plus tard, elle trouva un complice et un maître à penser idéal. Donc, depuis ses seize ans, Ety enchaînait les histoires sans lendemain. Jusqu'à ce que ce connard de Cupidon ne se trouve plus malin qu'elle ...

◊ Dans sa vie professionnelle, Eterna est une passionnée. Botter le cul des méchants, c'est ce qu'elle a toujours rêvé de faire et elle s'y emploie ... avec des méthodes parfois contestées. Elle a beaucoup de mal avec l'autorité, n'observant la hiérarchie que si son supérieur gagne son respect, ce qui n'est arrivé qu'une seule fois. Insolente, elle désobéit parfois, quand elle le juge nécessaire ... et s'en tire généralement sans trop de mal. Son affectation sur Nameless au poste de bibliothécaire, elle l'a demandée. Peut-être pas avec cette couverture pourrie, mais elle avait besoin de prendre le large.

◊ Pourquoi ? Parce que comme tout Auror se respectant (ou pas), elle a un "dirty little secret" à cacher au reste du monde. Huit cadavres. Huit orpailleurs qui avaient battu son cousin avant de le laisser pour mort parce qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment. Elle les a traqués, comme des bêtes, sans la moindre hésitation. Et elle les a tués. Avec un simple couteau. Massacrés, serait plus juste. Si son mentor est venu l'aider à se débarrasser des corps, il n'empêche que cette histoire la hante et pourrait bien lui coûter sa place si, un jour, quelqu'un en avant vent.


◊ A Elderwood, donc, elle est bibliothécaire, défiant et remettant en cause tous les clichés sur le sujet. Parfois un peu trop bruyante, encline à donner son avis sur la vie des gens, voire des conseils en matière de drague, exhibitionniste à ses heures perdues, autant dire que ce phénomène ne passe pas inaperçu ... et tant mieux. Qui se douterait qu'un Auror en mission fasse autant de bruit ?







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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:18








Meleager Baskerville

« The Good Twin »



« Vous avez des frères et soeurs ? Alors vous savez ce que c'est. Comme une partie de vous qui vous aurait été enlevée, et qui aurait une vie propre. Avec un jumeau, c'est pire. C'est votre reflet dans le miroir, votre ADN dédoublé et surtout, la personne qui vous est la plus chère au monde. Meleager c'est mon autre, mon double, ma moitié, mon tout. Il n'y a pas un jour où je ne pense pas à lui, où je n'ai pas besoin de l'apercevoir, de lui parler, de le toucher. Parce qu'il est moi et que je suis lui. En plus compliqué, en plus tordu, mais c'est ça l'idée de base. Je l'aime. Et jamais je n'aimerai quelqu'un plus fort que lui. Après ... tout n'est pas tout rose. On a une histoire aussi complexe que nos liens sont forts. L'Amour, d'abord, qu'il a eu quand nous sommes tombés amoureux de la même personne à seize ans. Je le lui ai laissé. J'ai pris le Sexe. Sa maladie, ensuite, qui lui faisait risquer sa vie chaque fois qu'il montait sur un balai. Son goût pour les filles qui le trompaient, que j'ai rectifié. La vengeance que j'ai accomplie seule, qu'il n'a pas digérée ... Autant d'obstacles à surmonter, de conflits intestins, nous dévorant les tripes. Aussi profondément qu'on s'aime, parfois, on se déteste. Mais si un jour je devais crever pour lui, ce serait sans hésiter une seule seconde. Et si je lui survis ... je ne suis pas sûre de tenir bien longtemps avant de le rejoindre. »








Marwin Baskerville

« The Little One »


« On n'a peut-être pas eu d'autres frères et soeur, avec Meleager, sans doute que ça a suffi à nos parents, mais ça a été tout comme quand Marwin est venu au monde. Quand on a vu le petit bout dans le berceau, on n'a pas pu résister. Et depuis eh ben ... on est juste une grande famille plutôt unie. Le petit dernier, on l'a chouchouté, bizuté aussi, mais surtout protégé. De ses premiers pas à ses premiers amours, on a toujours été là, peut-être un peu trop même, le pauvre. Mais c'est pour son bien. Après, je peux vous dire que personne n'est aimé par sa famille autant que ce beau gosse. Qui me désespère parfois tant il est gentil et pas dans la vague "sex à piles" de mon frérot et moi-même, mais bon, il est mignon. UC









Cerrone Di Marco

« My True Love »



« J'aurais pourtant dû savoir dès le premier regard qu'il allait me causer des soucis. Depuis ce matin de début septembre où il m'a bousculée dans la bibliothèque, dans cette scène digne d'un film à l'eau de rose pour adolescente. Ce bel Italien issu des pages d'un magazine de mode allait me mener à ma perte. S'il m'a tout de suite plu ? Franchement, il faudrait être difficile. Si je lui ai sauté dessus ? Non. Ca ne s'est pas exactement passé comme ça. On a discuté, flirté innocemment, la bibliothèque, le soir, chez lui, ne buvant que du jus de cerise pour rester en possession de mes moyens ... mais rien. Que dalle. Une torture. Pourtant, il avait une réputation et la mienne n'était plus à faire ... Bref. Jusqu'à cette soirée à la plage où ça s'est accéléré. Où j'ai fini chez lui, après des baisers torrides et une danse enflammée. Et la nuit ... Je ne peux plus regarder une baignoire de la même manière. Un amant ... ouf. A couper le souffle. Et j'en ai eus, croyez-moi. Le hic ? Son "je j'aime" entre deux caresses. Qui m'a fait m'enfuir au lever du jour. Depuis ... eh ben. Pareil. Comme dirait l'autre. Et, après quelques incompréhensions, impliquant un infirmier et une petite blonde ... eh bien je dirais qu'on est ensemble. Perspective étrange. Mais je ne peux plus me passer de lui. Bien sûr, ce n'est pas simple, il ignore tout de ma réelle profession, il ne sait pas que je connais son frère qui a disparu, ni que je suis la marraine de sa filleule ... mais une chose après l'autre. »








Fedor Lvivnyr

« Soul mate »


« Fedor et moi, c'est une question de mauvais timing. Que je vous explique. On s'est croisés à la plage, un matin, où il profitait des vagues et où je décidai de me rafraîchir après mon jogging. Nue, pour ceux qui se posent encore la question. Deux trois sourires pas gênés, et c'était parti pour un festival d'allusions jusqu'à ce que finalement, un soir, n'y tenant plus, je me rende à l'infirmerie pour me faire "ausculter", simplement vêtue d'une robe de sorcier et d'un ensemble affreusement osé. En clair, on est devenus amants très tôt dans l'année. Toute fille devrait avoir son Fedor. Au lit, c'est toujours fantastique, en osmose parfaite. En plus, on s'entend vraiment bien. On se comprend. Au final, c'est ... moi, au masculin. Mon âme soeur, mon alter ego, au sens propre du terme. Alors ... ouais, on aurait pu, dans une réalité alternée, passer notre vie ensemble, avoir plein d'enfants. Mais voilà. Time is a bitch. Quand on a eu cette idée lumineuse ... on était amoureux, tous les deux. Alors après ... après, mon coeur est en miettes, et il en prend soin. On s'aime, à notre manière. Et c'est tout ce qui compte pour l'instant. »









Gregori Di Marco

« Boss »



« Greg et moi, ça remonte à ... quelques années ! Quand j'ai eu fini ma formation avec mes quatre coéquipiers de choc en France, je suis partie faire un tour en Italie où cet homme était encore plus que mon supérieur. On m'avait envoyée le voir rapidement pour que ça me calme, mais je ne me suis pas laissée impressionner ... et il a aimé. C'est sans doute le seul à avoir compris la façon de fonctionner et que ce n'était pas en me bridant que je donnerais mon maximum. Une réelle amitié s'est rapidement installée, mêlée de respect et de franche camaraderie. Quand Ada a débarqué, j'avoue avoir tenté de jouer discrètement les Cupidons, mais la discrétion n'étant pas réellement mon fort ... Mais ils se sont trouvés. Greg, c'est l'Homme avec un grand H, que je respecte, que j'admire. Que j'ai soutenu en quittant le Ministère en même temps que lui. Quand je l'ai revu sur Nameless, j'ai sauté de joie ... avant de me rappeler que je n'étais pas vraiment censée le connaître. Mais boire des verres en cachette dans son bureau, c'est sympa aussi. Et là, dernièrement ... il m'a demandé d'être la marraine de leur futur enfant, à Ada et à lui. Le hic ? Ma situation compliquée avec son jumeau et le fait que ce soit lui le parrain ... Et sa récent disparition. Je sais qu'il n'est pas mort, je sais qu'il est là, quelque part, et je remuerai ciel et terre jusqu'à le retrouver. Vivant. Evidemment. »








Ada Di Marco

« Bigger Sister »


« On s'est donc rencontrées au Ministère italien, quand elle venait pour aider en potions. J'ai très rapidement fait sa connaissance, pas du genre à mettre les nouvelles en boîte, au contraire et ai rapidement remarqué les oeillades qu'ils s'envoyaient, Boss et elle. Avec ma délicatesse toute personnelle, je les ai rapidement appelés "les amoureux" ... Mais hey, j'avais raison ! Eux deux, c'est le couple qui me ferait sans doute croire en l'amour véritable. Et ils vont avoir une crevette ! Donc je serai la marraine. Si ça, c'est pas un pur bonheur. Sinon, j'ai dit qu'on s'entendait plus que bien, elle et moi ? C'est la grande soeur que je n'ai pas eu, et on n'hésite pas à user de solidarité féminine face à Greg qui en perdrait presque son latin. Depuis la disparition de celui-ci, je lui fais des rapports réguliers sur l'avancement de mes recherches, je vais voir le bout de chou en secret ... pour ne pas alerter Cerrone. »









Sara Costantini

« Family Business »



« Je sais. Quand on nous voit, Sara et moi, on se demande bien comment on a fait pour réussir à s'entendre. Je dirais simplement que je suis contente que Greg nous ait mis en contact parce qu'effectivement, autrement, cela aurait été compliqué. Pas qu'elle soit stupide ou que je sois une grosse brute ne fréquentant que des Aurors badass. Son exubérance rejoint la mienne, même si elles ne s'expliquent pas de la même façon et ... comment détester Sara ? Franchement. Je l'ai adoptée illico comme membre à part entière de ma famille également, après tout, y avait pas de raison. Et depuis ces moments en Italie, je n'imagine juste plus ma vie sans elle. La petite soeur, ou la cousine que l'on voit toujours avec le plus grand des plaisirs même si ce n'est pas souvent et même si on partage des choses que je n'ai pas l'habitude d'exprimer ou de faire habituellement. Surtout pour ça, en fait. Et depuis la disparition de Greg, je dirais que notre lien s'est consolidé. Elle, elle sait. Elle connaît ma véritable profession, et je lui ai juré que je ferai tout pour le retrouver et faire payer ceux qui ont osé lui faire ça. Et il est connu que je tiens toujours mes promesses, surtout celles faites à la famille.


»






Prénom Nom

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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:18








Jude Kassidy

« Duo de Choc »



« Etrange qu'on ne se soit pas rencontrées avant, elle et moi, au vu du nombre d'Aurors en commun que nous connaissons, mais qu'importe. Premier briefing sur l'île, le courant est passé dès les premières secondes. Est-ce le fait qu'on a été les deux à avoir les pires postes de couverture ? Peut-être bien, mais en tous cas, ça a été une complicité sans faille dès les premiers instants. Jude, ce sont des rondes à deux interminables qu'on meuble en disant à quel point on a envie de casser du vilain, qu'on voudrait un tueur psychopathe juste pour se défouler. Jude, ce sont ses confidences sur son connard d'ex, et les miennes sur un certain Italien. C'est une soirée arrosée que personne n'est prêt d'oublier. C'est ... à la vie à la mort, pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce qu'Owen nous sépare. Et il n'a pas vraiment intérêt. »








Hester Drunel

« Partner in Crime »


« C'est à cette Auror et à ses deux coéquipiers, Armand et Sukesh, puis Adrian qu'on a confié la bleue que j'étais lors de mes tous débuts, pour me former. Pas de chance ! Et pourtant. La dynamique de notre groupe semblait parfaite, équilibrée juste comme il le fallait. En Hester j'ai trouvé une complice, menant la vie dure aux hommes de l'équipe. Même si elle est beaucoup plus droite que moi et portée sur le règlement, il n'empêche que mon humour vulgaire et sa répartie pince sans rire s'accordent très bien. Au fil des années, plus qu'une simple coéquipière, elle est devenue une amie qui sait quasiment tout de moi. Sauf mon "écart". Ce n'est pas faute d'avoir essayé de la contacter, pourtant. Et quand j'ai appris qu'elle avait été capturée, j'ai voulu quitter l'île sans délai pour faire partie du commando pour la retrouver. Sans succès. Maintenant qu'elle est là, nos questions se confrontent. Surtout depuis qu'elle m'a trouvée dans la forêt, couverte de sang. Il y a plein d'interrogations sans réponse. Mais nos côtés sombres se marieront très bientôt. »









Istvan Bernhardt

« Missed Friend »



« Dans une autre vie, on aurait sans doute été meilleurs amis. Sans déconner. On peut être aussi immatures l'un que l'autre, tout en faisant notre boulot et je crois qu'on a les deux couvertures les plus merdiques parce que lui doit se taper des cours. Mais ... il y a deux mais. Le premier est un léger détail, le couteau plein de sang que j'ai gardé après le "massacre" qui s'est échappé de mon sac et qu'il a ramassé après le premier briefing. Une brouille, en somme. Et le deuxième s'appelle Jude. Ce crétin ne cesse de jouer avec le coeur de mon amie, et franchement, ça me donne des envies de meurtre. En même temps au niveau des handicapés de l'engagement, je pourrais le comprendre ? Eh bien ... ça commence à me faire un peu peur. Mais solidarité féminine avant tout ! »








Adrian Chrysler

« Secret Keeper »


« Adrian et moi c'est une longue, très longue histoire que remonte à mes tous débuts. Il faisait partie de l'équipe à laquelle j'avais été affectée, et un jour que j'avais arrêtée seule, eh oui, pour la première fois de ma vie, un mage noir, j'étais venue en faire part en fanfare à mes bien aimés mentors ... que j'ai trouvés en train de parler de dissimuler une "erreur" d'Adrian. Une bavure. Volontaire. Mmh, coucou. J'ai fait l'abrutie quand on m'a demandé ce que j'avais entendu, mais il n'a pas été dupe. Il s'est improvisé rapidement mon mentor, et pas que pour le travail. J'ai développé mon penchant pour la drague et les coups d'un soir à son contact. Notre numéro : le mec collant / la copine chiante / la dragueur relou, etc etc. Plein de cordes à notre arc, un seul objectif : ne jamais rentrer seul. Entre deux missions sous couverture où ... oui, on l'a fait. Là, vous êtes contents ? Et pas qu'une fois. Histoire de ne pas rentrer bredouilles quand y avait rien d'intéressant. Ou par flemme. Ou par caprice. Bref. Une relation complexe aux yeux des autres, simple pour nous. Qui l'est toujours. Même si ... cette fameuse nuit, quand je me suis retrouvée au milieu de huit cadavres, je l'ai appelé pour qu'il m'aide. A cacher ce que j'avais fait. Solidaires. Dans le boulot. Dans la drague. Dans la baise. Et dans la vengeance. Honnêtement ? Un ami comme ça, on en a pas cent dans une vie. »








Arizona Taylor

« Duo de Charme »



« Ari je l'ai connue à Yolihuani. Tout à fait le genre de fille à me plaire, au sens amical du terme, qu'on soit clairs. Elle a pu me faire fantasmer, je ne vais pas le nier, franchement, ce serait mentir mais rien de grave. En plus, elle est sortie avec Meleager. De loin sa copine que j'ai préférée, voire la seule que j'aie aimé en réalité. Une fille pas prise de tête, fidèle et compagnie, avec laquelle je m'entends plus que bien ... la belle soeur idéale. D'ailleurs, je ne manque pas de le lui rappeler, ainsi qu'à mon jumeau. Pour moi il est passé à côté de la femme de sa vie. Mais bon, que voulez-vous y faire ? En bref, j'adore cette fille, même si on est pas toujours fourrées ensemble, elle sait qu'elle peut compter sur moi et inversement. »






Nathaniel Cavanaugh

« Favorite Player »



« On s'est croisés à plusieurs reprises, au cours de missions, mais jamais réellement jusqu'à Elderwood. Et ça a collé immédiatement, dans un sens incroyablement immature. En même temps, il a osé prétendre qu'il avait plus de conquêtes à son actif que moi, qu'il était meilleur au lit, ce genre de choses. Non mais n'importe quoi. Donc on a passé une grande partie de l'année à se provoquer, juste à s'envoyer de la merde, à se battre comme de vrais gamins. En même temps, je ne suis pas connue pour lâcher le morceau facilement, surtout à ce sujet. A se faire de gros sous-entendus et surtout en lui disant bien qu'il ne vérifierait jamais ce que je disais par lui-même, que ça resterait dans ses rêves ... ça aurait pu. Jusqu'à une nuit où il a eu la brillante idée de voler un bateau au camping, sur lequel on a commencé à jouer à un jeu dangereux de strip-poker/je n'ai jamais/action-vérité sans vérité, le tout arrosé de rhum. Je vous laisse deviner comment l'histoire finit. Sur le point du bateau. Une nuit plutôt incroyable, au final, absolument irréelle, aussi, mais une bonne expérience que je ne regrette pas. Maintenant, il est avec Ari, il semblerait que ces deux-là soient mordus depuis longtemps ... bien ! Au contraire ! »








Rafael Bottero

« U.C. »



En discussion.





Adam Cavanaugh

« God in Disguise »



« J'avais déjà entendu parler de Cavanaugh père (oui, après le fils, hein. Pas personne n'est sain d'esprit, dans le coin, je vous rassure) dans le monde des Aurors, et m'en suis fait une idée assez ... précise. Auror baroudeur dans la force de l'âge, bel homme, de la barbe, un regard droit et un peu lubrique de temps en temps ... quoi ?! Je m'égare, d'accord. Disons simplement que quand je l'ai rencontré, je me suis mise subitement à retrouver la foi. Et surtout, surtout, j'ai manqué de pleurer toutes les larmes de mon corps de ne pas avoir été affectée à son équipe. Comprenez-moi : c'est LE chef idéal, pour moi. Il a la classe, il sait de quoi il parle quand il parle de terrain, il est très accessible, se mettant à la portée de ses subordonnés tout en leur rappelant qu'il est tout de même leur supérieur ... bon sang ! A défaut, donc, je vais me plaindre auprès de lui de mon propre boss. S'il me fait envie , Sans le moindre doute. Mais il est de ces hommes complètement inaccessibles sur lesquels on fantasme en silence. »









Owen Johnson

« Mother F*cker »



« Quand j'ai vu sa tête à mon entretien, j'ai su que ça allait mal se passer. Il a commencé à essayer de se la jouer "je suis le chef et je sais tout sur vous, et j'ai tout pouvoir sur vous". La plus mauvaise approche qu'on puisse tenter avec moi. J'ai donc décidé qu'il porterait l'étiquette "connard", surtout au vu de mon affectation. Guerre froide, donc, faisant preuve d'une insolence à toute épreuve, et surtout, avec un objectif étrange en tête. Franchement, pour moi, pour être aussi mauvais, il fallait qu'il soit vachement en manque. Le faire craquer, du coup. Et ... oui, j'ai réussi. Même si cette entrevue m'a fait reconsidérer ma position à son sujet étant donné que quand je lui ai dit que vu ce qu'il nous demandait, on ne pouvait pas être efficace ... il a "adouci" son attitude. M'a dispensé de ses rapports stupides. Et laissé carte blanche pour enquêter sur Zéphir. Avec pression à l'appui, bien sûr mais ... Mais. Depuis, même si je n'ai pas changé de discours à l'extérieur, il y a une pointe de ... respect ? »








Caitlyn Vaughan

« Joke ? »



« Quand je l'ai vue arriver au briefing, je me suis tournée vers Johnson comme pour lui demander si c'était une blague. Je veux bien que notre corps de métier soit connu pour son immaturité, qui nous permet surtout de ne pas craquer sous la pression et les horreurs qu'on voit à longueur de temps, mais apparemment, c'était sérieux. Et cette gosse allait être prof, en plus ! Le scandale ! Enfin, prof d'une matière chiante, heureusement, je crois que si on lui avait filé les duels, j'aurais hurlé sans me retenir. Imbue d'elle-même, enfermée dans sa certitude de supériorité, elle me fait bien rire. Et pitié, un peu aussi. Mais bon, je ne la côtoie que pour les réunions, pour le reste, chacun sa merde, après tout. »




Dernière édition par Eterna G. Baskerville le Ven 14 Sep - 10:03, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:18








Leatrix Campbell

« Purple Evil »



« J'ai souvent eu l'occasion de croiser le professeur de mythologie dans la bibliothèque. Chacun ses goûts, personnellement, j'aimerais y passer le moins de temps possible. Quelques mots échangés, rien de très passionnant, juste des politesses ... jusqu'à ce que son Boursouf ne s'éprenne de moi. Sisi, cette espèce de boule de fourrure me suivait partout, jusque sous ma douche, ce qui a donné une scène assez mythique dans la cafétéria. Depuis, on blague régulièrement sur le sujet. »





Oksana Dostoïevski

« Sex, Vodka & Photo »



« Quand on est Auror, il vaut mieux se montrer discrète. D'accord, avec moi, c'est un peu raté, mais je fais mon possible pour voler sous les radars en mission. Alors vous imaginez que quand on m'a convoquée pour m'apprendre que des photos de ma dernière couverture allaient être exposées prochainement ... je suis un peu partie en vrille. Un peu beaucoup, même, jusqu'à aller à l'exposition moi-même, en furie, vu les soucis que ça me causait alors que pour une fois, je n'avais rien fait. Je suis allée directement trouver l'artiste pour lui dire ma façon de penser. L'artiste ? Oksana. On en est venues aux mains, se faisant virer de l'expo, jusqu'à se battre dans le caniveau, jusqu'à ce qu'on se calme, jusqu'à ce qu'on aille se saouler au bar d'en face, jusqu'à ce qu'on passe la nuit ensemble. Oh oui, un très bon coup. On en rigole pas mal maintenant. Elle continue à s'amuser à me prendre en photo à la dérobée et à me les envoyer en guise de carte postale. Bref, on s'entend bien, quoi. »









Declan Swightberry

« Unfair Bastard »



« Declan a été mon prof d'Etudes des Moldus, à Poudlard. C'était son premier cours, d'ailleurs, et un connard s'est amusé à faire une réflexion débile sur les moldus. J'ai "juste" shooté dans sa chaise en lui disant ma façon de penser et je me suis retrouvée collée par le professeur. Non mais ... quel con ! La retenue a été un enfer, il n'a pas décroché un mot du genre "j'étais obligé mais je comprends" ou quoi. Enfoiré. Alors, quand je l'ai vu à Elderwood ... j'ai décidé de prendre ma revanche. Là, c'était moi qui avais le pouvoir et je ne me suis pas privée de lui mettre les bâtons dans les roues, notamment au conseil de discipline. Cela dit, il joue au même jeu que moi, et cela risque de mal tourner. Apparemment, il a des vidéos compromettantes de Fedor et moi dans la réserve. Gé-nial. »








Zéphir Hullington

« Pedophile »



« De tous les dossiers que j'ai eu entre les mains, c'est le sien qui a retenu mon attention. Et rapidement, en le rencontrant, mon intuition n'a pas arrêté de me souffler que ce mec n'était pas net. Je n'y peux rien, c'est comme ça, et au vu de quelques allées et venues et d'un événement dans la bibliothèque, je pense avoir raison, même si je n'ai pas la moindre preuve pour ça. J'en rassemblerait, j'ai décidé de concentrer mes efforts sur son cas, et uniquement sur lui. Je suis certaine que ça va finir par payer. De toute façon, c'est sa tête ou la mienne, étant donné que j'ai dit à Johnson qu'il était ma cible ... »









Sienna O'Greenell

« Book Friend »



« Assistante bibliothécaire ... et puis quoi encore ? La pauvre. Mais elle a l'air de trouver ça plutôt passionnant, alors tant qu'à faire ! Et puis chacun ses goûts, au final, moi, en tous cas, j'apprécie ses coups de main, elle me tire parfois de l'embarras sans le vouloir, en donnant des précisions que j'aurais été incapable de fournir aux étudiants. Une perle ! Et puis elle est sympa, on peut discuter même si elle met un point d'honneur à toujours travailler d'arrache-pied. Tant mieux pour elle ! Cette nuit-là, quand j'ai vu l'étagère lui tomber dessus, j'ai cru que j'allais devenir folle et bouffer le loup cru, sans assaisonnement. Alors, oui, qu'on se le dise : plus qu'une collègue, Sienna est une amie. »





Basile de la Roche-Guyon

« Shy Perv »



« Je crois que c'était mon deuxième jour entre les murs de l'école, je n'avais pas encore fini de déballer toutes mes affaires, et tout le monde était, de toutes les manières, encore un peu perdu. Ce qui explique que le professeur d'Histoire de la Magie soit entré dans ma chambre alors que j'étais en sous-vêtements, et encore, en train de dégrafer le haut. Surprise, je l'ai vu rougir et s'enfuir. Amusée, depuis, je ne peux m'empêcher de le chambrer à chaque fois que je le croise, lui rappelant que, pour que nous soyons à égalité, il faut que je le vois moi aussi en sous-vêtements. Bizarrement, il n'a pas l'air de vouloir coopérer, ce que je ne parviens pas à comprendre. Je n'ai jamais mangé personne ... en tous cas, le "torturer" est plutôt marrant ... »









Branwen Svanasdottir

« Why so Serious ? »



RP en cours.





Isaac Jefferson

« Drinking Buddy »



« Je suis tombée sur Isaac au détour d'un couloir pendant une de mes rondes, et il était rond comme une queue de pelle. Franchement, on aurait dit ... moi, en mec, dans mes très mauvais jours. Je me suis occupée de lui, je l'ai ramené et ... et la fois d'après, on s'est bourré la gueule ensemble. Une fois, deux fois, trois fois ... quand ça va pas, j'ai qu'à le trouver, on se planque quelque part et on boit jusqu'à ce que ça aille mieux. Déplacé ? Pas professionnel ? Certes. Mais tant pis. »









Azaël Siverstein

« God's Slave »



« Un curé. Rien que ça, ça attire mon attention. Le vieux barbu est moi, on n'est pas très copains. Donc un curé en train de boire ... c'est plutôt comique. Je n'ai pas pu s'empêcher d'aller lui parler pour le provoquer. Une fois, deux fois, trois fois. Il est un peu incohérent, l'éthanol, sans doute, mais apparemment, de ce que j'ai compris, je lui rappelle feu sa femme. Très intéressant. Voire très, très intéressant. En tous cas, je ne rate pas une occasion d'aller me confesser à ce bourré notoire. »





Savannah Dawkins

« Smiling Nurse »



« A force de jouer les casse-cou pour tromper l'ennui sur cette île pourrie où jamais rien ne se passe, ou à poursuivre des mages noirs fictifs qui se révèlent être des chats un peu plus agiles que moi, ça se finit mal, genre avec du sang, des bleus, des côtes cassées, même, parfois. Et dans ces cas-là, je vais me faire rafistoler à l'infirmerie. Et quand mon infirmier préféré n'est pas de garde, je tombe sur cette charmante médicomage qui me prend en charge en s'étonnant du nombre et de la gravité de mes blessures. Je parviens toujours à m'en tirer avec une excuse bidon et un grand sourire, exagérée ou pas. Si elle les gobe ou non, en tous cas, elle ne pose pas de questions, et c'est une bonne chose. »









Kirsten Preston

« Crazy Stupid Love »



« Cette serveuse du chez Gerry est un sacré numéro. Je l'ai vu renverser des choses, se mettre à rougir dès qu'un bel homme lui parlait, enfin, ce genre de choses qui peuvent paraître mignonne mais empêchent vachement de conclure. Comme j'ai vu qu'elle me regardait, j'ai fini par lui proposer de lui apprendre. Bon, la confiance en soi, ça reste vachement inné, mais lui donner deux trois trucs pour qu'elle s'affirme, la coacher pour qu'elle se surpasse, c'est pas une mauvaise idée et ça lui fera du bien. Parce que dire oui à tout le monde, c'est une chose, mais se faire désirer et attendre des hommes, c'en est une autre, bien différente. »








Holly Stapleton

« Stick in the Ass »



« Bon, d'accord, me pointer en serviette dans la cafétéria, c'était pas l'idée la plus brillante du monde, mais ce n'est pas comme si je l'avais fait exprès ou prémédité. Alors de là à me souffler dans les bronches et à me rappeler qu'Elderwood n'st pas le club Mermaid, il ne faut pas non plus pousser mémé dans les orties, surtout avec son air et son ton supérieur, et ses manières de vieille fille. Encore une frustrée qui se décharge sur les autres, quel bonheur quoi. En gros, je lui ai fait un grand sourire hypocrite, et, à défaut de l'envoyer se faire mettre, je lui ai clairement fait comprendre qu'elle ne m'impressionnait pas. Elle pense vraiment qu'elle peut me virer d'un claquement de doigts ? HAHA. De toutes les manières, je ne compte plus exhiber mon corps en public, donc la question est close. Simplement, j'aime pas qu'on me parle comme si j'étais une demeurée. »









Charles Taylor

« What happens in Finnland ... »



« Quand j'ai vu le professeur de duels débarquer en avril, plusieurs choses : un, je l'ai détesté, parce que je voulais son poste et j'étais sans doute meilleure que lui. Deux, je l'ai détesté, parce que je n'allais plus pouvoir m'entraîner tranquillement. Trois, je l'ai détesté parce qu'il m'a surprise en pleine séance intensive. Quatre ... je savais que je le connaissais. Mais pas sous ce nom, certainement pas. Et disons que ça avait plutôt été wild, du genre vodka, massages exotiques et poker. Cet homme serait-il autant un imposteur que moi ? Pour l'instant, c'est statut quo jusqu'à savoir exactement quoi faire l'un de l'autre ... et duels. Aussi. Pour ne pas rouiller. »





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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:18








Sonechka Margoshovitch

« Perpetual Movement »



« Bouger à ce point dans tous les sens et parler aussi fort, ça ne devrait pas être permis ! Au début, j'ai cru qu'elle allait me rendre chèvre, mais comme elle aime aussi peu les bibliothèques que moi, on a pu plus que s'entendre. Elle a toujours des idées farfelues, des plans pour aller explorer l'île dans lesquels je la suis, parfois. En tous cas, tous les dimanches, à l'heure du goûter, elle débarque en plein inventaire pour aider, ou en tous cas, pour tenter. Mais généralement, je préfère qu'elle me fournisse en chocolat, s'assoit sur mon bureau et parle pendant que je mets de l'ordre. »








Nascha Arguedas

« Suspicion »



« Je n'avais rien contre elle jusque très récemment. Je savais déjà tout sur elle avant de la rencontrer, Marwin ne tarissant pas d'éloges et de détails sur cette fille qui est sa meilleure amie. A l'hôpital, elle m'a touchée par la simplicité dont elle a fait preuve, ne voulant pas quitter son chevet. Avec Mel', nous nous accordions à dire que peut-être s'il était sorti avec elle, ça ne se serait pas passé comme ça. La voir à l'école semblait me donner raison ... ouais, mais dans l'abstrait, c'est facile à dire, au final. Mais quand j'ai vu Marwin lui déclarer sa flamme au karaoké ... comment dire ? C'est pas pareil. Comment être sûre qu'elle n'allait pas m'avoir et l'avoir comme cette putasse de Vicky ? Alors ouais, elle est sous étroite surveillance et le temps que je ne serai pas certaine que tout va bien, je ne lâcherai pas l'affaire. »









Taïni Arguedas

« A Lot Like Me »



« Et dans la famille des triplées, je demande la première fois de mon cousin. Mon bébé devenu un homme, oui, mais quand j'ai vu la demoiselle, je n'ai pu qu'approuver. Parce que ... je me reconnais beaucoup en elle. n'allez pas y voir de pensée incestueuse ou quoi que ce soit, simplement j'ai une affection toute particulière pour Taïni, qui me rappelle énormément celle que j'étais à son âge. Et c'était elle qui était là le jour où je suis "partie en guerre". Elle a compris ce que je faisais, j'en suis sûre. Mais elle n'en a jamais soufflé un mot ou même fait une allusion, ce dont je lui suis reconnaissante. »





Elektra Irinova

« Blond Princess »



« Comment. parler. d'elle. sans. l'insulter ? Déjà, de prime abord, franchement, j'ai envie de lui mettre des baffes. Niaise à en mourir, en train de parler mariage et garçons comme une gamine de quatre ans, sans oublier les licornes, les paillettes, le rose, le doré ... eurk. Bon, ça m'amusait plus qu'autre chose. Jusqu'à ce que la nouvelle cible de ses sentiments à fleurs ne soit MON professeur d'alchimie. Cerrone di Marco, rien que ça. Disons que quelques bouquins ont pu tomber un peu près d'elle un jour où je l'ai entendue parler de cours particuliers avec lui. Les rumeurs allaient de pire en pire, me retournant l'estomac et j'ai même vraiment cru les voir ensemble. Jusqu'à ce que Cerr' me détrompe. Oui, mais elle ? Enfin, maintenant ... c'est le mien. Et c'est tout. »









Heathcliff Stamford

« So Called Lover »



« Une sacrée histoire de début d'année. Apparemment, le fait que pour une fois une des bibliothécaires ne soit pas une vieille carne décharnée a pas mal surpris, mais également enchanté tout le monde. Et lui est venu me voir, une fois, en me disant qu'il avait fait le pari avec des potes à lui d'arriver à passer une soirée avec moi. Amusée, flattée sans doute aussi, je n'ai pas hésité et lui ai fait quelques sous-entendus devant lesdits amis. Non, je n'ai pas réellement passé une nuit en sa compagnie. J'ai un minimum d'éthique, quoi qu'on en dise ... »





Luis Martìn

« Revenge »



« Le meilleur ami de Marwin m'a plus au premier contact. Pas plu dans un sens pervers, j'vous ai déjà dit que pour le goût des petits jeunes, fallait s'adresser à côté. Simple, entier, et vraiment attaché à lui, je n'en demandais pas plus. Nous n'avons pas forcément parlé, préférant rester en silence au chevet de notre Beau au Bois Dormant. Ce qu'il y a entre nous ? Un secret. La lecture d'un journal, avec la mort de huit orpailleurs référencée. Un regard échangé. Un "La justice sera toujours fait" et on s'est compris. Maintenant, il m'aide à cacher l'arme du crime. Et ... je lui ai obtenu la vengeance qu'il méritait, lui aussi. »









Théophile Lanteri

« Read my Heart »



« Il s'est approché, un jour où je ruminais dans la bibliothèque, un jour pas fait comme un autre où donner le change était trop difficile et où je me laissais aller à repenser aux raisons de mon exil. Et il est venu me dire, comme ça, comme une fleur, que tout le monde avait droit à une seconde chance. Paniquée, je me suis demandé ce qu'il savait, jusqu'à consulter son dossier. Empathie. Merde. Il fait encore de petites réflexions du style, de temps en temps. Et, si je ne le montre pas, ses mots se frayent un chemin, doucement. »





Susi Diamentino

« Little Padawan »



« Bon, ça me pendait au nez, franchement. Que personne ne grille ma couverture aurait vraiment été trop beau, il ne fallait pas non plus trop en demander. Alors, oui, Susi m'a grillée, de façon stupide. Je m'entraînais dans la salle de duels, réduisant les mannequins en charpie pour passer ma frustration, et elle a débarqué avec la même idée. Comment ne pas comprendre que je n'avais rien d'un rat de bibliothèque ? Seulement, chance pour moi, la demoiselle veut faire son chemin jusque chez les Aurors. Ni une, ni deux, je lui ai proposé un duel. Puis deux. Puis régulièrement. En lui donnant des conseils, à intervalles réguliers. Je l'ai pris sous mon aile. Son tempérament me plaît, et je sais que parfois, se faire sa place n'est pas évident quand on est une fille. Alors hauts les coeurs, Miss Diamentino. Tu y arriveras, j'en fais le serment. »




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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me EmptyLun 28 Mai - 22:20

Et c'est à vous !

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MessageSujet: Re: Eterna - Love me, love me, say that you love me   Eterna - Love me, love me, say that you love me Empty

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