Joyce - I'm a b*tch, when I fall in love

Joyce Fetherston

◊ Née d'un adultère, son père a été réduit en bouillie sous ses yeux par le biais de la magie noire, et sa mère est en cure de désintox depuis des années. Elevée par le grand-père de son demi-frère, elle n'a que ces deux-là au monde. La notion de famille proche est donc très importante pour elle, malgré ce qu'elle peut en dire, mais n'a aucun respect pour la notion de parents, qui ne représente rien pour elle. Par contre, elle donnerait sa vie pour son petit frère.

◊ Entendre toute gamine qu'on est rien et qu'on ne devrait pas exister marque, dirait un psychologue, et Joyce en est la preuve vivante. Elle n'a aucune estime d'elle-même, et des tendances auto-destructrices poussées à son paroxysme. Elle ne vend même pas son corps, elle le donne, au gré de ses envies, ou des envies des autres s'il lui prend la fantaisie de les satisfaire. Elle boit, énormément, ayant développé une résistance assez impressionnante à la boisson. Elle se drogue: fume, sniffe, se pique, ingère des substances illicites.

◊ Il n'est donc pas rare de la retrouver dans des états assez incroyables. Elle finit régulièrement à l'infirmerie, où on l'a traîne, on la porte, bref. Elle insulte toute personne essayant de l'aider, et qui voudrait en plus qu'on la remercie pour ça. Sa réplique préférée: "mêle toi de tes oignons". Enfin, en moins poli, cela s'entend.

◊ Reine des ragots, elle n'hésite pas à médire et à propager des rumeurs, fausses ou vraies, tous les moyens sont bons, pour arriver à ses fins. Persévérante, au moins, on ne peut pas lui retirer ça. De même pour les mecs: si elle en voit et en veut un, elle l'aura, c'est quasiment certain. Non. Totalement. Soyons sérieux, un homme n'est qu'un homme.

◊ U.C.

Idées de lien

◊ UC
◊ UC
◊ UC
◊ UC

Liens à ajouter
◊ Gabriel Bottero (en attente de RP)
◊ Calliope Stamford (RP en cours)
◊ Lovleen Williamson (à redéfinir)
◊ Oksana Dostoïevski (à redéfinir)
◊ Andrea Braxton (à redéfinir)
◊ Opium Blackwood (à demander)
◊ Israël Rosenfeld (à demander)

Caleb Fetherston

« Chocapics »

Le jour et la nuit, ces deux-là. Personne ne pourrait croire qu'ils ont une partie de leur patrimoine génétique en commun. Et pourtant ... pourtant ils ont effectivement le même père. Pour rendre courte leur sale histoire, le père de Caleb a trompé sa mère avec la mère de Joyce, qui s'est fait envoyer en désintox, donc la gamine allait vivre avec eux, mais la mère de Caleb a pété les plombs, a tué leur père et ... "voilà". Il l'a accueillie dès les premiers instants, et depuis ... eh bien ils vivent ensemble, pour le meilleur mais surtout pour le pire. Leurs engueulades sont phénoménales, surtout qu'elles partent, la plupart du temps, simplement du contenu d'un paquet de céréales chocolatées. Et Joyce peut râler sur son coincé de bisounours de demi-frère, elle donnerait sa vie pour lui, sans hésiter une seconde. Si elle répand les pires rumeurs à son sujet, elle sanctionne également cruellement ceux qui disent du mal de lui. L'amour vache. Et quand ils se gueulent dessus ? Ils se disent simplement à quel point ils s'aiment et ne peuvent se passer l'un de l'autre. C'est beau, la famille.

Adam Cavanaugh

« Whisky »

Elle n'est pas prête d'oublier sa rencontre avec cet homme. Réunion parents-professeurs, à Salem, et Caleb et elle étaient les seules à avoir droit à un grand-parent pour deux. Elle détestait ce genre d'événement, avec toutes ces familles heureuses qui lui donnaient envie de vomir. Et elle allait avoir droit à un sermon pour son attitude, sans nul doute. Elle râlait, donc, dans son coin, dehors, quand il est apparu. Il s'est juste posé à ses côtés, et c'est elle qui l'a agressé. Puis qui a changé de ton, au fur et à mesure de ses réponses. Ce type, c'était ... ce qu'elle avait imaginé de son père. Un gars un peu bourru, avec des phrases inattendues, mais qui semblait toujours dire ce qui fallait au bon moment. Elle a accroché, en moins de deux, et s'il y a un adulte, dans sa vie, pour lequel elle a un immense respect, c'est bien Adam Cavanaugh. Elle ne s'est jamais risquée à l'appeler "Papa", mais pour elle, c'est tout comme. Et lui ne l'a visiblement pas considérée comme quantité négligeable, vu qu'il a gardé le contact, et l'a même invitée chez lui pendant des vacances. Il sent le whisky et le tabac, n'a pas sa langue dans sa poche ... c'est son idole, son modèle. Celui qu'elle emmerde en s'asseyant sur son bureau pour lui poser des questions existentielles. Et le seul qui a le droit de l'engueuler quand elle dépasse les limites.

Nate Cavanaugh

« Whisky Coca »

Nate et elle, ça a commencé par un échange d'amabilités de deux vrais gamins au-dessus d'un bol de café et d'un verre de jus d'orange, un été où Joyce créchait à la casa de Cavanaugh père. Et vu le niveau de maturité des deux oiseaux ... ça a donné. Comment dire ? Au bout de cinq minutes, ils s'entendaient comme larrons en foire. Alors, ouais, Nate, c'est un peu le très grand frère chiant qu'elle a jamais eu, celui qui l'insulte au réveil, qui menace de manger tous les Chocapics, lui lance des céréales à la figure, vient couiner, complètement bourré, pour un câlin, lui refile des verres de whisky en douce, et qu'elle poursuit avec un de ses magazines pornos à lui en menaçant "d'aller le dire à Papa", qu'elle chambre quand il parle de la supeeeerbe Arizona, qu'elle fait chanter pour qu'il la couvre quand elle fait le mur ... Bref, Nate quoi. Elle lui saute sur le dos dès qu'elle le voit, ils racontent de la merde jusqu'à pas d'heure ... Une des rares personnes qui la fait rire pour de vrai, même si elle fait son numéro de sale gosse avec lui. Elle adore venir le voir, draguer ses potes, lui emprunter à boire, lui poser des questions indiscrètes ... et venir chialer, elle, dans ses bras ? Très franchement ... elle y songe sérieusement.

Savannah Dawkins

« Amnesia »

Alors ne riez pas, mais Savannah, Joyce ne doit même pas connaître son prénom. Parce quand on l'amène à l'infirmerie, généralement, elle n'est pas en état de se souvenir de quoi que ce soit de concret, et encore moins un prénom. Mais la présence blonde est quasiment toujours celle qui l'entoure lors que ses EOI. Quand elle se réveille, elle se fait sermonner, mais par la voix douce de l'infirmière, ça n'a rien de crédible, et elle ne se gêne pas pour l'envoyer copieusement chier. Mais ... sans doute moins que ses collègues. Un rapport avec le fait que quand elle délire, qu'elle est high, elle s'enroule autour de son bras, et elle l'appelle "Maman" ? En tous cas, au sein de l'école, elle est la seule adulte à pouvoir parler à Joyce sans se heurter à un mur. Même si elle ne lui rend pas la tâche facile en n'était pas forcément très agréable, elle l'écoute, et prend au moins un minimum en compte ce qu'elle dit. Ben quoi, elle est trop gentille, aussi, comment être totalement infecte avec un ange pareil ?

Spoiler:

Ariel Greffins

« Cocaïne »

Ariel et Joyce, un cocktail détonnant qui aurait pu soit passer, soit casser. Eh ben c'est passé. Mais parfois ça casse, et dans ces cas-là, ça fait mal. Comment dire ça ? Ariel est ce qui se rapprocherait plus du concept de "meilleure amie" pour Joyce, si elle était du genre à quantifier et à qualifier les sentiments. Elles s'entendent comme larrons en foire, à Salem, généralement elles n'étaient pas loin l'une de l'autre. Elles ont énormément en commun, même si sur d'autres points, ça clashe. Mais elles se retrouvent toujours. C'est peut-être la seule personne avec laquelle Joyce se donne en spectacle, quand ça ne va pas. Mais sans elle, très franchement, ça ferait tellement longtemps qu'elle se serait foutue en l'air ... Elle n'est pas rasoir, comme la plupart des autres filles, ne se permet pas de la juger, l'accepte, juste, telle qu'elle est, la suit dans ses délires, et inversement. Une fille comme on devrait en avoir toutes une sous la main. Il y a juste peut-être un truc qui pourrait faire tout déraper. Si, par exemple, Joyce venait à apprendre que c'est elle qui a dépucelé son frangin alors qu'il était bourré. Par exemple, hein ...

Indiana Stark

« Manhattan »

Si Joyce se souciait d'elle quand elle était à Salem ? Pas vraiment. La fille qu'elle était alors n'avait pas le droit à la moindre parcelle de son attention. Les autres la trashaient suffisamment pour ne pas qu'elle s'y mette aussi, c'était une cible trop facile, et très franchement ça ne valait pas le coup qu'elle perde son temps. Si elle a fait le lien ? Absooolument pas. Quand elle a vu cette bombasse à la rentrée, ça a été clair dès le début: il fallait qu'elle la mette de son côté, et c'est ce qu'elle a fait. Si c'est une amitié profonde ? Humpf. Faut peut-être pas pousser mémé dans les orties ? Disons que l'élite de Salem se doit de s'entendre, qu'elles adorent faire leurs langues de pute ensemble, qu'on les voit très souvent ensemble en soirée, mais après, si c'est profond et sincère ... Il est même possible que Joyce ne connaisse pas le sens exact de ces mots, ou feigne de ne pas le faire, en tous cas. Si ça va tenir avec les nouvelles rumeurs selon lesquelles elle serait lesbienne ? Oh, ça dépend. Après tout, ça fait plus de queues pour Joyce, quelque part ...

Céleste Braxton

« Mojito »

Une rencontre en soirée dans les premiers temps d'Elderwood, qui s'est finie par deux verres entrechoqués et un "tu me plais, toi". Simple et sans prise de tête, le naturel fêtard, décomplexé et "je ne m'attache pas" de Céleste ont immédiatement plu à Joyce. Des filles comme ça, on n'en fait plus tellement, au final, et mieux vaut s'en entourer. D'abord, ça n'a été que "comme ça", en soirée, elles se retrouvaient pour boire un coup, avant que l'une ou l'autre ne trouve son bonheur, ou que Joyce n'aille s'achever avec des substances à laquelle la Yolihuani ne touchait pas. Chacun son truc, après tout, et le temps qu'il n'y a pas de remarques désagréables, tout va à Joyce. Elle ne cherche pas à l'inciter, elles profitent juste. L'arrivée de Diego dans l'équation n'a fait que les rapprocher, et pour les sales coups, généralement, elles peuvent se retrouver associées sans le moindre problème. C'est comme ça que c'est le plus drôle, non ? Et puis, il y a assez de mecs pour tout le monde, donc ... Enfin ... à voir quand elle apprendra que la mystérieuse fille que se tape Archi depuis sa rupture avec Cloée n'est autre qu'elle ...

Jaelyn Valdès

« Marijuana »

Entre les deux jeunes femmes ça a failli faire mal. Voire très, très mal. La raison de ce clash ? Un certain Luis Martìn avec lequel l'Américaine adorait s'amuser, ce qui n'était pas vraiment du goût de la sulfureuse Colombienne. Cependant, elles avaient tout pour s'entendre depuis le début. Ainsi, que Joyce a accosté Jaelyn et que celle-ci a commencé par l'envoyer balader, elle lui a rappelé que dans l'océan, il y avait plein de poissons, mais que des complices de la même trempe qu'elle étaient plutôt monnaie rare. La tension s'est rapidement apaisée après un ou deux verres et l'accord tacite était scellé. Plus question de mentionner Luis de quelque manière que ce soit et plus question d'y goûter, bien sûr. Tant pis, c'était un bon coup, mais aucun mec n'était assez bon pour se passer d'une amie. Depuis, on les voit ensemble plus que souvent. Elles comparents leur palmarès, se saoulent, gossipent ensemble. Dernier vacillement en date : Jaelyn a couché avec Archibald. Un rude, mais juste retour de bâton. Si cela a endommagé quoi que ce soit ? Pas du tout. Peut-être même que cela les a rapproché, en réalité.

Rosamund Käufeler

« Schnapps »

Quand deux personnes se ressemblent autant que les demoiselles, il y a deux issues : soit ça passe, soit ça casse. Aux débuts, à Salem, quand elles commençaient à se forger la même réputation, on pouvait dire que ça cassait plutôt sèchement. Les deux se regardaient en chien de faïence, n'hésitant pas à lancer une ou deux rumeurs sur le compte de l'autre, jusqu'à ce que l'inévitable se produise : elles avaient la même cible. Le professeur de potions, plutôt ténébreux et inaccessible dans son genre, réputé incorruptible était un challenge de taille pour les demoiselles. Elles ont donc rivalisé de "talent" pour l'avoir, jusqu'à ce que, las de leur manège, il ne les convoque toutes les deux pour leur signifier qu'il était temps que cela cesse. Les deux jeunes femmes se sont donc retrouvées le bec dans l'eau, au sortir de son bureau. Une fois n'étant pas coutume, chacune a salué le talent de l'autre et elles ont bu un coup et plus si affinités pour "fêter" ça. Depuis, cela va beaucoup mieux entre elles, enfin, relativement. ça peut être assez explosif. Elles sèchent le couvre-feu ensemble, s'insultent régulièrement, se donnent des cibles à atteindre et gare si le contrat n'est pas rempli ... Elles partagent le même dortoir, se couvrent pour leurs conneries, bref. Une amitié spéciale, mais indéniable.

Arizona Taylor

« Bloody Mary »

Arizona, elle en a beauuuuuucoup entendu parler avant de la rencontrer. De la bouche de Nate, évidemment, qui se retrouve bizarrement à appeler toutes ces bouteilles comme ça, et à les câliner. Mais passons. Avant Nameless, donc, elle a eu le temps de se faire une image d'elle, et franchement, elle lui plaisait plutôt, cette nana. Pour qu'elle fasse cet effet à Naty, en même temps, ça devait être une sacrée chiquita. Mais la première fois qu'elle l'a vu, elle n'a pas fait la fière. Elle commençait à picoler avec Iordan, et elle a débarqué en mode "police personne ne bouge", ou un truc du style. Alors bon, une étudiante dehors à cette heure-ci, peu habillée, et complètement saoule (sans compter les autres substances illicites qu'elle avait dans le sang), elle s'était vue cuite. Mais ... non. Elle s'est mis à se marrer et à picoler avec eux. Bon, bien, elle préfère ça. Ce n'est qu'après, quand Iordan l'a appelée par son prénom, et qu'elle a confirmé avec son nom de famille, qu'elle a fait le lien. Eh ouais, elle se paye des cuites avec la fille qui fait rêver son brother. En profiter pour jouer les marieuses? Bah c'est pas le genre de la maison. Mais ... ouais, non. En tous cas, elle adore cette fille. Et si elle vit aussi vieille, elle aimerait vraiment lui ressembler, un jour.

Iordan Nevdokiev

« TGV »

Iordan, c'est son pote d'EOI. Expérience d'Overdose Imminente. Ils se sont trouvés très naturellement chez Gerry, où l'un a dû surprendre l'autre en train de se faire un rail, ou de se piquer, ou de faire un truc pas catholique. Ils ne sauraient même plus dire exactement ce qui s'est passé, ce qui vous renseigne amplement sur la relation qu'ils entretiennent. Pas de limites, pas de questions, pas de recommandations. Tous les excès sont permis, et c'est ce qui fait autant sourire Joyce quand elle croise son regard. Je vous vois venir: absolument rien de pervers à noter, bien au contraire, Io' la défend en douce quand des gars se montrent trop lourds ou trop irrespectueux quand elle n'est pas d'humeur. Leurs truc ? Les afters qu'ils font au Gerry's, avec leur sublime partner in crime, la délicieuse Arizona. Comme quoi, certains adultes ne sont pas complètement rasoirs. Ces afters ? Iordan teste de nouvelles idées de cocktails sur elles. Alcool coulant à flots, en bonne compagnie ... que du bonheur. Un jour, ils finiront peut-être côte à côte sur des lits à l'infirmerie, et j'en connais une qui risque de ne pas apprécier. Mais en attendant ... pourquoi se priver ? Ah, et une autre chose à propos de lui: Joyce n'arrête pas de lui dessiner de nouvelles esquisses pour des tatouages. Comment ça il en a déjà trop ? Quand on aime, on ne compte pas.

Archibald Wilson

« Absinthe »

Archi et elle, pour tout comprendre, il faut remonter aux débuts de leurs scolarités respectives, à un échange Salem / Poudlard, et à une attribution de correspondants … qui fit bien les choses. Tout le monde enviait Archibald d'être tombé sur « la » corres, et les filles bavaient sur la chance de Joyce. Alors et bien … ils l'ont fait, pour la première fois, tous les deux. C'était juste du cul, sans doute, de la provocation, à la base, mais rapidement, des sentiments se sont installés. Et Joyce est repartie. Ils ont gardé le contact, mais chacun a fait « ses armes » de son côté, jusqu'à ce qu'Archi débarque à Salem. Et c'était reparti pour un tour. Moins innocent. Re-départ, re-retrouvailles. Nouvel échelon franchi. Plus de violence, les addictions de Joyce qui venaient se mêler à tout pour donner une relation … de plus en plus complexe. Si les sentiments avaient disparu … officiellement oui. Et finalement, la réunion ultime, Elderwood. Les deux se sont retrouvés avec plaisir, jouant à leur jeu préféré « je t'aime moi non plus », se cherchant et se trouvant au gré de leurs humeurs. Enfin, quand monsieur ne couinait pas après sa greluche. C'est là que tout a commencé à déraper. Quand Archibald geignait parce qu'il était amoureux, et que Joyce l'envoyait paître. Leurs disputes sont devenues de plus en plus violentes, leurs rapports de plus en plus orageux, jusqu'à ce que finalement, il se case, et lui signifie que leurs jeux s'arrêtaient là. Blessée, elle lui a dit de revenir le voir quand il ne serait plus un toutou en laisse. Et … il paraît que depuis peu de temps, c'est le cas …

Jay Baskarah

« Ecstasy »

C'était une soirée où elle n'avait pas vraiment de s'envoyer qui que ce soit, et avait décidé de se finir toute seule, dans une salle, pas loin de l'animation, juste pour rester « dans l'ambiance ». Après un ou deux rails, elle avait sortit le garrot et une aiguille pour se la planter. Et quand l'héroïne coulait dans ses veines … elle a croisé son regard, dans l'embrasure de la porte. L'a-t-elle invité à entré, ou est-il venu seul, ça reste à déterminer. Mais est-ce réellement important ? Il a été sur elle, contre elle assez rapidement. Mais leur étreinte a vite dégénéré. Elle ne sut dire si ce fut une lame mordante, ou une brûlure en premier, mais, sur le coup, elle ne réagit pas. Elle avait fermé les yeux, s'étonnant de sentir ce genre de douleur. Elle crut mourir dans les premiers instants, et ceux d'après aussi … jusqu'à ce qu'il s'arrête. Et qu'elle se rende compte que ça lui manquait. Alors, elle lui avait murmuré de continuer. C'était … planant. Et ça ne se passe jamais autrement entre eux. C'est sexuel, c'est charnel, et surtout, c'est une torture des plus délicieuses qu'elle adore prolonger, et qu'elle recherche.

Luis Martìn

« GHB »

C'est lui qui l'a cherchée, true story. En soirée, il a chopé son verre entre ses mains en lui disant de ne pas boire parce qu'il avait vu un gars mettre quelque chose dedans, et puis il l'a bu. Sérieusement. Joyce a éclaté de rire, d'un rire franc, ce qui est plutôt rare, et l'a entraîné sur la piste de danse en lui disant qu'il allait passer la meilleure soirée de sa vie ! Ce qui ne fut pas un mensonge, il s'est déchaîné un moment avant de devenir tout flagada, et elle l'a donc entraîné un peu plus loin, où il s'est passé … ce qui devait se passer. Ils se sont endormis sur place, et, au réveil, même si Luis ne se souvenait de rien, il n'a pas eu l'air de s'en offusquer, remettant le couvert directement, comme si de rien n'était. Parfait, donc ! Et en plus, ils continuent de s'amuser. Leur truc: les endroits « insolites ». Pour ne citer que ça, il y a eu le bureau du professeur Hullington, entre autres meilleures idées qu'ils ne partageront pas, parce que c'est leur truc. Donc il n'est pas rare de voir Luis attraper Joyce dans un couloir entre deux cours, et les deux disparaître, et ne revenir que quelques temps après. Par contre, Luis est obsédé par le « problème » de Joyce: les drogues. Il surgit toujours quand elle est en mauvaise posture, et la supplie d'arrêter. Autant dire qu'elle l'envoie chier à chaque fois. Et puis, finalement il lui a dit qu'il était amoureux. Une sale maladie contagieuse apparemment. Elle a soupiré, et puis a dit qu'il savait où la trouver. Elle ne lui en veut pas. C'est juste relou, l'amour.

Meleager Baskerville

« Acide »

Un professeur aussi sexy, ça devrait être interdit. Comment voulez-vous qu'elle se concentre sur le préparation de sa potion quand y a un cul pareil à quelques mètres d'elle ? Evidemment, qu'elle a voulu y goûter, surtout qu'il est jeune, donc … Elle a commencé gentiment, du genre les oeillades, des mains se baladant par accident, et finalement, une potion renversée sur son pantalon en fin de cours. Alors que tous les autres partaient pour aller manger, elle s'est affairée d'un air d'abord gêné en essuyant son pantalon, et quand le dernier fut sorti de la classe, avec un sourire un peu différent: « laissez-moi m'en occuper, professeur ». La fermeture était rapidement descendue, et finalement, la porte refermée par magie, elle avait eu le droit à une toute autre vision de l'intégralité de la salle de cours. Et l'emballage ne mentait pas, il en valait totalement la chandelle. Si s'envoyer un professeur l'excite encore plus ? Absolument. « Mademoiselle Fetherston, restez, j'aimerais vous faire un commentaire sur votre devoir. » Hotissime, et elle lui tire des flacons « en douce ». Double emploi. Et définitivement un corps … mama mia.

Spoiler:

Lust Dashwood

« Vodka Redbull »

Quand un mec aborde Joyce en soirée, on sait tous comment ça finit, impossible de se tromper. Mais quand deux mecs abordent Joyce en soirée … ça donne une toute autre histoire. Et non, ne commencez pas à vous imaginer des parties à trois, même pas en rêve pour les deux mecs, meilleurs amis apparemment. Mais ils l'ont bien fait rire, en tous les cas. Elle les a laissé galérer un peu, s'emmêlant dans leur numéro de drague, avant de les soulager en leur faisant comprendre qu'elle savait ce qu'ils voulaient, et qu'il n'y avait pas de souci. Par contre, ouais, ils ne voulaient pas ensemble, donc il allait falloir faire un choix … qui s'est porté sur Lust. Alors ne cherchez pas à savoir pourquoi, elle en fait tout un mystère d'ailleurs. Lust et elle sont donc allés voir ailleurs si le sexe y était, et il y était, justement, il était bien là. Ce fut une fois, en passant, et rien de plus. Mais il semble qu'un jeu se soit instauré. Le jeune coq a en effet paradé comme pas deux en narguant son pote, et Joyce, amusé, est rentrée dans son jeu, surtout en voyant que Callen lui court désespérément après. Elle l'aime bien, ce petit mec, il la fait bien rire. Son « préféré ».

Anant Ambani

« Opium »

Anant, ça a été un challenge, le genre de mec qui ne boit que très peu, qui ne se drogue pas, qui n'a pas l'air de coucher à droite à gauche, beau gosse, plutôt bien fait, enfin, de ce qu'on peut en deviner, bref, et n'allez même pas chercher à comprendre, en réalité, elle n'a pas forcément besoin de raison pour vouloir un gars dans son lit. Et lui, elle a du y travailler … longtemps. Que ce soit pendant les cours, à laisser sa jambes s'égarer contre la sienne, voire un peu plus haut, ou en soirée, à le serrer de près, quand elle dansait ... Ce fut de longue haleine, mais finalement, comme à chaque fois qu'elle veut un mec, ça s'est fini au lit. Dans le sien, d'ailleurs. Et le lendemain matin, il a cru bon de lui spécifier que ce n'était qu'une fois, que ça ne se reproduirait pas, etc. Ce qui a fait sourire la jeune fille, qui l'a rassuré sur le fait qu'elle ne demanderait pas un câlin, ou qu'il la rappelle. Bilan des courses ? Plutôt un bon coup, cet Anupam. Une expérience sympa.

Gabriel Bottero

« Speed »

En discussion.

Caesar Fitzgerald

« Mort Subite »

Trouver un fournisseur digne de ce nom a été l'une des priorités de la demoiselle en entrant à l'école. Elle doutait fortement de trouver un revendeur sur l'île, mais il devait bien y avoir un étudiant ou deux qui pouvaient commercer. Elle avait ses propres réserves mais n'en avait pas pris énormément. Et elle avait envie de pouvoir profiter de nouveautés, après tout, n'était-ce pas cela que l'on entendait par "s'ouvrir aux autres cultures" ? Peut-être pas exactement, mais dans l'idée, pour elle, cela en faisait partie. Elle est donc tombée sur Caesar dans les premiers temps et s'est vue négocier les tarifs de ses consommations moyennant compensation corporelle. De la drogue et du sexe, comment refuser pareil arrangement ? Ce n'est pas régulier, c'est simplement quand elle vient se fournir chez lui. Dernièrement, il a eu l'air de dire qu'il préférerait qu'ils trouvent une autre manière de procéder. Les hommes. Jamais contents.

Diego Valdes

« Cuba Libre »

Ce qui a rapproché ces deux zèbres est leur amour d'emmerder le monde, pour le dire de façon directe, pour eux qui ne prennent jamais de gants. Un des potes de Diego se vantait de vouloir et pouvoir inviter Joyce à une soirée et la passer entièrement avec elle. Exploit, il n'y avait pas à dire. Et son vil ami est venu trouver la demoiselle pour lui demander de l'aider à rabattre le caquet du prétentieux qui empiétait sur ses plates bandes de tombeur, en acceptant puis en repartant avec lui. Ce fut rapidement chose faite, si Joyce aimait une chose encore plus que le sexe, c'était bien faire souffrir les gens. Avec du sexe à la clef. Car quel meilleur moyen pour se féliciter d'un méfait bien accompli ? Depuis, il n'est pas rare de retrouver ces deux comploteurs, avec Céleste souvent en train de préparer quelque mauvais coup à leur façon, ou en train de baiser quelque part. C'est parfois un sujet de discorde entre Jaelyn et elle, mais elle n'a déjà pas le droit de toucher Luis, qu'elle lui laisse un sud-américain à se mettre sous la dent !

Caleb Khalfan

« Asha »

Un morceau de choix que ce joueur de Quidditch se baladant impunément sous le nez de la demoiselle Fetherston. Pour avoir pratiqué quelques joueurs, elle est bien placée pour savoir qu'ils ne font pas semblant d'être musclés et endurants. C'est donc tout naturellement qu'elle s'est mis en tête de le faire finir au même endroit que tous les autres : dans son lit. Ou ailleurs, enfin, comme il le voudrait. On reconnaît volontiers la persévérance de la demoiselle quand elle veut obtenir un jeune homme. Et pour une fois, elle se heurte à des refus catégoriques à répétition. Elle a pourtant déployé pas mal de ses stratégies les plus courantes, abattu quelques uns de ses atouts soit disant imparables pour se faire toujours rejeter. Loin de la décourager, cela ne fait qu'attiser son envie de lui et elle ne s'avouera pas vaincue. Son excuse ? Elle ne se respectait pas. Quel scoop ! Les Anupam avaient réellement un problème, heureusement que Jay remonte un peu le niveau ...

Spoiler:

Billie Romanès-Bouglione

« Cigarillo »

Cette fille fait mourir Joyce de rire. Non, mais franchement. Elle se permet de la traiter de salope alors qu'elle ... ne vaut pas mieux. Le genre de fille pétasse jusqu'au bout des ongles qui ne s'assume pas, ou tout du moins pas assez pour juste accepter la conduite d'autres, qui font exactement la même chose. Alors elle peut se la jouer sauvage, étrange, différente, en fait, elle lui ressemble bien plus qu'elle ne veut l'admettre, et c'est sans doute ce qui l'embête autant. Nul besoin de dire que ses insultes glissent sur Joyce avec une facilité déconcertante, et que si elle s'amuse à lui retourner ses amabilités, c'est juste parce qu'elle ne laisse personne la dévaloriser, elle le fait assez bien elle-même. Bref, le jeu préféré de Joyce ? Rappeler à Billie que "oh, ce mec là, j'ai déjà couché avec", en soirée ou pas, puisque, selon ses dires "elle ne veut pas passer après elle". Eh bien ça va rapidement être régime sec, chérie. Parce que Joyce n'a vraiment pas usurpé sa réputation de plus grande traînée de l'école. Mais elle, elle l'assume jusqu'au bout, au moins ...

Moïra Norrington

« Cosmopolitan »

Haine pure et dure ? Une rivale à sa taille, de quoi mettre Joyce en joie. Enfin, apparemment, c'est plutôt l'Anupam qui la déteste. Pourquoi ? Elle vous répondrait que la simple existence de Joyce suffit. Mais on peut mettre des noms comme Jay, ou Lust, par exemple, sur le problème. Elle ne semble pas vraiment apprécier les "rendez-vous" que se donnent la Salem et le premier, sans doute jalouse (même si Joyce doute très franchement qu'elle puisse faire avec lui ce qu'elle-même pratique), et pour Lust ... ah, ça, on n'en parle même pas. Depuis qu'elle les a entendu chambrer Callen qu'ils font saliver en parlant de leur partie de jambes en l'air, on ne la tient plus. Et les coups fourrés, les insultes, et autres réjouissances sont au programme. Un choc des titans, une troisième guerre mondiale qui fait des étincelles, et qui pourrait bien faire trembler jusqu'aux fondations de l'école.

Nephtys Castel

« Martini Dry »

A Salem, si une rumeur était lancée sur votre compte, il y avait environ 90% de chances qu'elle ait été initiée par Joyce, ou qu'elle l'ait colportée, amplifiée, améliorée à sa sauce, bref, qu'elle ait pris une part active à vôtre disgrâce. A son arrivée à Elderwood, elle a rapidement compris que la concurrence allait être rude, étant donné que touts les "mean girls" des écoles allaient se retrouver là. Et elle a trouvé en la personne de Nephtys un adversaire de taille pour ce qui était du titre de plus grosse langue de pute de l'école. La guerre a donc été rapidement déclarée et les coups bas n'ont cessé de pleuvoir depuis leur arrivée sur ce territoire qu'elles revendiquaient toutes. Pour couronner le tout, il s'agit de la soeur d'Isis avec qui celle-ci s'entend moins que mal. Pourquoi retenir ses coups ?

Megara Delenikas

« Hash »

Ah, Megara. Ce genre de fille a toujours fait mourir Joyce de rire. Résumée en un mot : allumeuse. Elle joue, fait tout pour mettre les mecs à ses pieds et après s'en va, la tête haute et en riant. N'importe quoi. C'est elle qui cause l'hilarité de l'Américaine, à jouer les saintes nitouches effarouchées par un pénis. Peut-être faudra-t-il un jour lui expliquer que ce qu'il y a de réellement bon dans la vie, c'est de consommer ce que l'on a allumé. Heureusement pour ces messieurs, Joyce se fait toujours une joie et un devoir de les contenter au-delà de ce que la fade blondinette aurait pu leur offrir. Si tant est qu'elle ne soit pas toujours vierge, ce qui agiterait encore au ridicule de la situation. L'autre fait courir des rumeurs salées sur son compte, ce qui l'amuse étant donné qu'elle cultive elle-même son image de fille facile. Mais certaines étant légèrement mensongères, portant sur des MST par exemple, elle se venge à sa façon : à chaque fois que leurs routes se croisent, elle renverse l'intégralité de son gobelet sur la tenue de la Grecque. Qui est la plus sale des deux ?

Sladka Tiomnievna

« Vodka Tonic »

Ah. Sladka. S'il y en a une qui peut vraiment atteindre Joyce, c'est elle. Et pourtant, elle n'en fait rien. Et c'est peut-être ce qui rend la jeune fille complètement folle. Non, pour être tout à fait honnête, ce qui lui fait perdre les pédales, c'est la complicité évident et apparente qui l'unit à Archibald. Comment cette fille s'y est-elle prise ? En quelques semaines, moi, elle est parvenue à réaliser ce qu'elle s'évertue à faire, à sa façon. La façon dont ils se parlent, donc ils se regardent ... ça la rend verte. De jalousie, oui, mais pas au sens "romantique" du terme. C'est la confiance qu'elle sent entre eux, qui lui fait mal, surtout quand Archi lui balance qu'il n'a pas besoin d'elle. Alors, oui, elle l'admire, et la jalouse. Elle est droite, elle est calme, tout ce qu'elle, elle n'est pas. Ouais, après tout, le problème vient peut-être réellement d'elle. Elle ne s'attaque pas à elle, cependant. Elle crève, de loin. Mais sans toucher. Jusqu'à ce qu'elle craque un jour, range le peu de fierté qu'elle avait encore et qui ne lui servait qu'à mauvais escient, et aille lui demander son secret.

Marie-C. de Buffeyrettes

« Vin »

Cette fille est complètement allumée. Sisi. Déjà, c'est une espèce d'énorme meringue rose vachement trop bruyante, qui parle de licornes, d'arc-en-ciels, et de fleurs. Elle ignorait qu'un phénomène comme ça puisse exister. Bon, si ça en était juste resté là, elle se serait foutu de sa gueule, aurait répandu deux trois rumeurs sur son compte, comme des cochonneries faites dans les toilettes avec une peluche toute rose, ce genre de chose poétique, mais ... mais la Française a un autre penchant. Plus emmerdant. Dieu. Jésus. Les anges, les saints, la pénitence. Et elle s'est mis en tête que Joyce était une âme perdue, un mouton égaré, ou une autre connerie du genre. Elle la poursuit donc en essayant de lui faire partager l'amour de Dieu, en l'aspergeant d'eau bénite, en lui récitant des passages de la Bible, et en disant qu'elle va prier pour son salut. Non mais ... sérieux ?!

Lovleen Williamson

« Champagne »

U.C.

Oskana Dostoïevski

« Vodka »

U.C.

Fedor Lvivnyr

« Amphétamines »

Si la douce Savannah lui fait supporter légèrement ses séjours répétés à l'infirmerie, on ne peut pas dire qu'il en soit de même pour Fedor. Pourtant, à première vue, il n'aurait rien pour lui déplaire : une plastique plus qu'enviable et une réputation n'étant pas à faire, il semble étrange qu'ils n'aient pas trouvé un terrain d'entente. Oui mais voilà : il s'est mis en tête de "l'aider", de la "tirer d'affaire" et autant dire que ce n'est pas DU TOUT au goût de la Salem qui l'envoie proprement promener à chaque fois qu'il tente une approche. Entre eux, c'est une véritable guerre ouverte. Malheureusement pour Joyce, c'est lui qui a le pouvoir et elle est loin d'être impeccable, ce qui fait qu'il s'est débrouillé pour l'obliger à aller voir la psychologue de l'école sous peine d'être renvoyée. Elle ronge son frein depuis, le détestant encore plus qu'avant si c'est encore possible. Qu'il prenne garde à son joli petit cul...

Andrea Braxton

« Kir Royal »

U.C.

Keona-Loe Hanamoa

« Beuh »

Si ce petit chou a une place dans les connaissance de la demoiselle, c'est parce que c'est le meilleur ami de son frère. Ils sont faits de la même étoffe, tellement gentils qu'on en vomirait des arc-en-ciel et des confettis. Dans d'autres circonstances, elle aurait sans doute essayé de le pervertir, mais non, surtout pas. Les potes de Caleb, on y touche pas. Elle n'irait pas jusqu'à dire qu'on y touche pas, mais la protection étrange qu'elle offre à son frère s'étend également à eux. Donc Keona, que personne n'aille l'emmerder sur son bégaiement trop chou, ou sur le fait que ce soit un manche avec les filles. ça risquerait de chauffer très sérieusement. D'ailleurs, elle se retrouve un peu coincée, entre Luis et lui ... Luis voudrait bien qu'elle le drague, et qu'elle couche avec pour qu'il reste loin de sa soeur, ce qu'elle respecte ... mais c'est Keona. Difficile ...

Spoiler:

Haley Silver

« Bailey's »

Et, pour compléter le trio gagnant, Haley, la meilleure amie de Caleb. On peut se douter du genre de réactions que ça a pu provoquer chez Joyce, de les voir tous les deux toujours fourrés ensemble, et ce n'était pas vraiment brodé de fils d'or, la demoiselle ne donne pas vraiment dans la dentelle. A part quelques rumeurs donc, judicieusement lancées sur les deux dans l'espoir d'avoir un jour des neveux et nièces (il serait temps que son frère apprenne à ce servir de ce qui fait de lui un homme), Joyce n'emmerde pas vraiment Haley. Elle est fan de son chien, et de même, elle bénéficie de sa protection. Et même si la jeune fille semble être capable de se débrouiller toute seule, disons qu'au moins, les "mean girls" de Salem l'ont laissée tranquille. Ou plus tranquille que ce que ça aurait été sans Joyce. Si elle désespère de la voir avec son frère ? Mais non. Un jour, ça se fera.

Spoiler:

Calliope Stamford

« Colle »

RP en cours.

Leatrix Campbell

« Porto »

Leatrix était un de ses professeurs à Salem, et l'une des seules qu'elle écoutait avec attention. Certes, elle passait plus son temps à dessiner des caricatures de dieux, et de personnages mythologiques sur ses parchemins plutôt que de prendre des notes qui pourraient lui servir pour l'exam. Non, le choc a été quand elle l'a vu débarquer chez les Cavanaugh, un matin d'été, alors qu'elle traînait dans le salon, dans un vieux t-shirt de Nate, un bol de céréales à la main. Euh, coucou. La surprise passée, quand elle a compris qu'elle n'était pas là pour l'engueuler ou la poursuivre pendant ses vacances, elle s'est rapidement accommodée de sa présence. Ne changeant rien à ses habitudes estivales, elle a donc pu montrer un autre visage devant son professeur, qu'elle ne voyait pas vraiment comme ça, au vu de sa relation avec Nate. Elle se tenait cependant à l'écart, pour ne pas gêner, mais sans déroger à son naturel un peu piquant. De retour en cours, elle a su faire la part des choses, et inversement. Disons que c'est une prof un peu spéciale, peut-être la seule à pouvoir voir autre chose que la mean girl camée que les autres enseignants déploraient de compter parmi leurs élèves.

Done !

Spoiler:

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