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 Gabriel | It tastes like freedom

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Durmstrang

  • Magda Czajkowski
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MessageSujet: Gabriel | It tastes like freedom   Gabriel | It tastes like freedom EmptyLun 21 Nov - 17:41

Si un observateur invisible s’était trouvé sur une barque, à quelques miles nautiques des côtes de l’île, et qu’il avait tourné son regard perçant vers Nameless, il aurait peut-être pu voir un immense et énorme nuage noir s’amasser, funeste présage, au-dessus du château. Ceci, en admettant bien sûr que quiconque soit capable de trouver l’île, en dépit de tous les sortilèges qui lui avaient été lancés pour rendre l’école aussi sûre que possible et pour prévenir la venue de moldus. En admettant également que ce quiconque n’ait pas fui, découragé par l’idée de se retrouver dans l’école de la fin du monde, où les futurs héros de demain se rassemblaient pour vivre à fond leur jeunesse et rendre chèvres tous les adultes chargés veiller sur eux. Un royaume de pacotille où, pour un instant, ils étaient encore assez nombreux pour se dire qu’ils compteraient et que demain, ils deviendraient quelque chose. Du moins, ç’avait été la vision, fugitive, de Magda Czajkowski. Princesse parmi les princesses, elle avait fait d’Elderwood son havre, sa vie, son empire, et on était encore venu le lui voler.

Ce gros nuage noir s’amassant au-dessus de sa tête, non perceptible par n’importe qui ne connaissant pas la jeune polonaise, avait comme des aspects de malédiction se rabattant sur sa petite tête blonde. Et c’est bien consciente du problème, furieuse et troublée, qu’elle fit irruption dans la salle commune à tous les élèves.
Jusqu’ici, Magda avait résisté à l’envie conjointe de se rouler en boule dans un coin sombre de son dortoir de Durmstrang pour y pleurer sa rage et le désir non moins irrépressible de provoquer en duel tous ceux qu’elle avait croisé et qui avaient le culot, l’outrecuidance, d’être de bonne humeur. Qu’elle ne soit pas le nombril du monde, c’était une chose, aussi difficile à admettre que cela puisse être, mais que les gens fassent preuve d’aussi peu d’empathie face à sa détresse évidente la mettait hors d’elle. Evitant bien sûr de regarder la vérité en face : si quelqu’un avait eu le tact de demander poliment ce qui n’allait pas, Magda l’aurait probablement dévisagé d’un air de poisson rouge offusqué avant de décréter que tout allait pour le mieux, merci. Les filles bien ne montraient pas leurs sentiments, les filles bien ne montraient pas leur chagrin. Les filles bien n’étaient pas triste, d’ailleurs, puisqu’elles avaient tout pour être heureuses.

Arrivée devant la porte, Magda redressa le buste et avança le menton, avant de pénétrer dans la salle commune. Sur son visage, son air bravache mettait le monde entier au défi de la questionner : elle était parfaitement habillée, coiffée, maquillée, avait l’air parfaitement normale, et surtout, heureuse. Qui s’intéresserait, de toute façon, aux frasques de son aînée ? Natalia était peut-être connue, mais ces gens-là étaient ses amis, et ils n’avaient aucune raison de soupçonner ne serait-ce que l’existence d’un lien entre les deux, puisque la starlette avait fourni tous les efforts possibles pour se détacher de sa cadette.

Apercevant dans un coin Gabriel, la sorcière se dirigea vers lui d’un air de conquérante. Voilà au moins quelqu’un qui la soutiendrait contre le monde entier – ou presque. Au moins contre le croque-mitaine fausse blonde. Lui n’était au courant de rien non plus ; dans leur bulle, tout demeurerait préservé. A cet effet, Magda avait préparé une super entrée en matière. Quelque chose comme « Salut, toi, comment vas-tu ? » ou peut-être de plus distingué. Elle l’aurait embrassé, se serait assise à côté et se serait enquise du déroulement de sa journée avant de planifier les occupations du soir : à quelle soirée aller, rester seuls ou voir des amis, etc. Mais son stupide petit cerveau semblait vouloir se mêler de la discussion, et au lieu du splendide J’ai vraiment une vie merveilleuse qu’elle s’attendait à sortir, Magda vit d’un air horrifié son corps se détacher de son esprit : l’autre elle, la vilaine, s’effondra sans grâce aucune sur le canapé et se tourna vers Gabriel en se lamentant : “Il faut qu’on se tire au plus vite. On prend un duvet, des livres et des amis, et on fuit très loin. Ma sœur vient de débarquer sur l’île, tout va bientôt exploser.”

Bien. Bien bien bien. Réintégrant son corps, la polonaise resta un instant bouche bée par sa propre gaffe. Et si elle avait plutôt commencé par « tu sais, en fait j’ai une sœur, c’est un monstre, elle vient de débarquer, je prie pour que tu ne la rencontre jamais » ? Les choses auraient probablement été beaucoup moins drôles.
Se traitant mentalement de tous les noms, incluant des choses assez sales à base de boudin et de pieuvre, le tout en polonais, Magda se redressa tout de même pour reprendre une position qui soit plus convenable et plus gracieuse, s’appuyant légèrement sur son cher et tendre. Se forçant à revenir dans le monde réel, elle sourit et ajouta, soucieuse de faire revenir cette conversation du champ du grand n’importe quoi à celui de la routine : “Enfin, bon. Comment ça va, toi ? Bonne journée ?”


Dernière édition par Magda Czajkowski le Dim 22 Jan - 21:36, édité 1 fois
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  • Gabriel J. Bottero
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MessageSujet: Re: Gabriel | It tastes like freedom   Gabriel | It tastes like freedom EmptyMar 17 Jan - 22:40



« Par Merlin, quelle idée de faire des trucs aussi compliqués ? Raf a jamais pu avoir son diplôme, c’pas possible ! » se lamenta Gabriel, prenant sa tête dans ses mains.

Cela allait bientôt faire une heure qu’il se trouvait assis dans la salle commune à toutes les écoles et que lui et un groupe d’élèves essayaient, tant bien que mal, de faire leur devoir de défense contre les forces du mal. Lorsqu’ils avaient commencé à travailler, ils devaient être une petite dizaine et n’étaient désormais plus que trois. Trois cerveaux en surchauffe. Ils avaient souvent pensé à se débarrasser de leur tee-shirt tellement la température montait. Ils n’avaient cependant pas réellement envie de se faire éjecter de la pièce : il fallait vraiment qu’ils travaillent. C’était donc grâce à sortilège bien utilisé qu’ils parvenaient à rester frais et à sentir bon. Qui a dit que les hommes ne faisaient pas attention à ce à quoi ils ressemblaient ?
Ce qui frustrait Gabriel le plus, c’était le fait qu’ils n’avaient même pas besoin d’utiliser leur baguette magique. Le devoir était strictement théorique et il fallait argumenter des heures durant sur un sujet des plus ennuyeux. Quel était-il ? C’était une très bonne question. Personne ne savait réellement. De Soto leur avait donné un sujet qui "pourrait tomber le jour d’un examen". Mais lorsque les étudiants avaient ouvert leurs parchemins afin de commencer à travailler, ils n’avaient pas compris la consigne. Ils avaient premièrement pensé que les formes avantageuses du professeur les avaient empêchés de prendre le sujet correctement mais après consultation de tous les membres de leur classe, ils étaient arrivés à une conclusion : la prof était folle. Lorsque Gabriel avait demandé de l’aide à Nate, ce dernier avait retourné le parchemin dans un sens… puis dans l’autre… puis avait essayé de le lire à l’envers… pour finalement lui dire qu’il n’avait jamais étudié le chinois de sa vie et qu’il était nul en runes ou idéogrammes ou quoi que ce soit qui s’en rapprochait. Et il était partit. Le mexicain avait bien pensé à aller voir sa cousine mais elle était tout bonnement introuvable. Il était donc destiné à rester dans sa mouise en compagnie de… de… de personne. Les quelques survivants de la mission DFCM avaient sorti le drapeau blanc et avaient tout bonnement disparus. Gabriel soupira fortement et relu ses cours, essayant de trouver le rapport entre ces derniers et le devoir qu’il avait dans les mains. En vain.

« Mais je sais le faire ça ! Donne-moi une baguette et je te le fais sur un pied ! Mais là… » Il gémit légèrement, ce qui attira quelques regards. Il leur en rendit des meurtriers et eut de nouveau la paix. Posant sa plume sur la table, il se parla à lui-même, espérant peut-être qu’il comprendrait mieux. Et ce fut presque le cas : il parvint à poser quelques idées principales sur son parchemin… Puis plus rien. Il fit tourner sa plume entre ses doigts, sans succès. Il sentit alors une pression sur le canapé sur lequel il était assit et leva les yeux pour trouver Magda, avachie à ses côtés : « Il faut qu’on se tire au plus vite. On prend un duvet, des livres et des amis, et on fuit très loin. Ma sœur vient de débarquer sur l’île, tout va bientôt exploser. » Le Yolihuani sourit légèrement, posa sa plus et s’appuya sur le dossier du fauteuil. Il plongea ses yeux dans les diamants de sa dulcinée et demanda, en rigolant légèrement : « Exploser ? Elle est si horrible que cela ta sœur ? » Il lui fit comprendre que question horreur de famille, il était difficile de faire pire que sa famille et les zigotos qui lui servaient de frangins. « Non pas que je ne veuille pas m’enfuir avec toi, hein. D’ailleurs, l’idée du duvet c’est pas mal. Les bouquins je m’en passerai mais si ça peut te faire plaisir, alors soit. Et pour les amis… » Il se rapprocha légèrement de la Durmstrang et susurra : « J’aurais imaginé quelque chose de plus… intime, » finit-il en déposant un baiser sur les lèvres de la demoiselle. « Mais ne t’inquiète pas, » dit-il en se redressant, posant une main sur son torse, « je vous protègerai avec ma vie, Ma Dame. »

Madga s’appuya sur Gabriel et il fit passer son bras autour de ses épaules. « Qu’est-ce qu’elle t’a fait ta frangine ? Et n’ai pas peur de dire des trucs gênants, hein. Je t’ai déjà vue sous tous les angles et puis avec les miens de frangins, j’ai plus peur de rien ! » Il embrassa délicatement le crâne de son amante et, à bout de bras, réorganisa tant qu’il le pouvait les parchemins étalés sur la table basse. « Enfin, bon. Comment ça va, toi ? Bonne journée ? » Elle venait de changer de sujet. Message reçu. Le Mexicain suivit le mouvement et répondit naturellement à la question : « Bah écoute, je m’arrache les cheveux sur de la DFCM mais sinon ça va, je survis. » Il se reposa contre le dossier du canapé. « Et toi ? Pas trop stressée par les exams de fin d’années ? » Il se souvenait de la manière dont il pouvait passer des soirées à réviser, prit par le stress de tout oublier au moment de l’examen. Il resserra légèrement son emprise sur Magda et posa ses pieds sur la table, entre deux feuilles de cours. « D’ailleurs, je sais pas si t’es libre ce soir, mais j’ai le dortoir pour moi jusqu’à genre… tard, » dit-il avec un clin d’œil. « Enfin, si t’es intéressée, hein. » Remarquez le petit rattrapage pour essayer de prouver qu’il ne pensait pas qu’à cela. Mais il ne pensait qu’à cela. Et il espérait surtout, après avoir passé autant de temps sur un devoir à faire mourir un auror de haut niveau – comme Nate – il avait le droit à un peu de… repos. Ouais bah, hein, c’était un mec, fallait pas trop lui en demander.
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MessageSujet: Re: Gabriel | It tastes like freedom   Gabriel | It tastes like freedom EmptyMar 7 Fév - 17:33

« Exploser ? Elle est si horrible que cela ta sœur ? » « T'as même pas idée. » Elle a ruiné ma vie. Elle a le monde à ses pieds et moi, je ne suis rien. Elle est merveilleuse, fantastique, et tout le monde l'aime. Elle est si parfaite que tu ne vas pas pouvoir t'empêcher de la trouver géniale, et tu te rendras compte qu'à côté d'elle, je ne suis qu'une crotte de moucheron. A la place, Magda se contenta de hausser les épaules. Comment expliquer l'ampleur du cataclysme sans passer pour une amère jalouse ? Comment expliquer combien son pauvre petit cœur de pierre souffrait de savoir la grrrrande Natalia ici, et d'osciller doucement entre la fierté et la rage ? Comment expliquer que sa sœur était une superstar et que jamais, pas à un seul instant, elle ne l'avait mentionné ? Ni à ses amis, ni à son petit ami ?

Eludant cette épineuse question, Magda se cala plus confortablement dans les bras dudit petit ami pendant que celui-ci laissait s'exprimer ses hormones – ou son côté romantique mignon, allez savoir : « J’aurais imaginé quelque chose de plus… intime, » Esquissant un sourire, la Durmstrang lui asséna un vague coup sur le torse, puisqu'il était de bon aloi de s'offusquer face à de telles propositions, quand on était une jeune fille bien élevée. D'un autre côté, Magda possédant autant de force qu'un lapin sous stéroïdes, elle serait probablement la seule à se retrouver avec un hématome. « Profiteur, » répondit-elle avec légèreté.
« Mais ne t’inquiète pas, je vous protégerai avec ma vie, Ma Dame. » répondit Gabriel, retrouvant toute la galanterie de mise pour – quoi ? Oh, on me fait signe dans l'oreillette que s'agissant d'adolescents du 21eme siècle, la galanterie n'était pas de mise. Autant pour moi.

Alors qu'elle se mettait à l'aise et commençait à apprécier la discussion, si vous voyez ce que je veux dire, le jeune homme eut la mauvaise idée de remettre le sujet sur le tapis. « Qu’est-ce qu’elle t’a fait ta frangine ? Et n’ai pas peur de dire des trucs gênants, hein. Je t’ai déjà vue sous tous les angles et puis avec les miens de frangins, j’ai plus peur de rien ! »
Les yeux fixés sur ses cuticules qui étaient décidément très très très intéressantes, Magda évitait résolument le regard de Gabriel, et pas seulement parce que le fixer dans les yeux aurait provoqué un torticolis chez la demoiselle. Voilà qui devenait délicat. Elle n'avait pas envie de parler de Natalia. Elle n'avait pas envie d'avouer que la moitié de ses amis tueraient pour la rencontrer, qu'elle mourrait de honte à l'idée que sa sœur ai changé de nom et qu'elle ne la reconnaisse pas, jamais. Le rouge montant progressivement aux joues de la Polonaise, elle sentit un sentiment d'échec cuisant se profiler à l'horizon. Ses amis, Gabriel, ses proches, n'étaient pas censés savoir qu'elle n'était qu'une gamine menteuse et jalouse de son aînée. Aussi éluda-t-elle le sujet avec application, les mots butant contre sa gorge.


« Bah écoute, je m’arrache les cheveux sur de la DFCM mais sinon ça va, je survis. » Elle acquiesça, distraitement, toujours obnubilée par son propre dilemme. Prise en flagrant délit d'égocentrisme, du Magda pur et dur. « Et toi ? Pas trop stressée par les exams de fin d’années ? » Par les examens, non. Soupirant, la Polonaise se désintéressa de ses ongles pour fixer la table, qui avait au moins l'avantage de n'être pas parfaite et d'offrir un peu plus de diversité dans le regard. (Non ses chevilles vont bien, je vous remercie). « Ça va, » souffla-t-elle. La Magda contrariée était de mauvaise compagnie.

A l'attention des charmants messieurs susceptibles de nous lire : courrez vous procurer le Guide de Manipulation de la Sorcière de Moins de Vingt Ans, par le Dr. Amadeus Niaisibus. L'expert vous expliquera ainsi que certaines fois, la sorcière en question vous racontera un truc dont elle ne veut pas parler mais en fait si mais elle voudrait que vous lisiez ses pensées sauf que c'est pas possible. Ce qui était à peu près l'état d'esprit présent de notre Magdalena nationale. Qui décida de sortir Natalia de sa tête avec les grands moyens, en s'occupant violemment d'autre chose. Elle s'imagina faire le tour de l'île en courant, fracasser un piano, faire exploser l'hôtel de – non, faire exploser son chaudron, aller boxer, n'importe quoi.

« D’ailleurs, je sais pas si t’es libre ce soir, mais j’ai le dortoir pour moi jusqu’à genre… tard, » continuait Gabriel, qu'elle gratifia d'un sourire adorateur. Voilà une proposition qui avec un peu de chance, la distrairait de ses sombres pensées. « Enfin, si t’es intéressée, hein. » « Parfait, » répondit-elle avec exagération – Magda, mauvaise actrice ? Jamais. « Et avant, » ajouta-t-elle en se dégageant pour se relever, « on devrait aller courir un peu. Ou surfer. » Ou jouer de la batterie avec un orchestre de pingouins arctiques, ou chasser le caribou équatorial. N'importe quoi.
Les poings sur les hanches, l'air concentré, elle pria désespérément pour qu'il dise oui. Pour qu'elle ne reste pas assise là, à mariner dans sa détresse, et qu'elle n'éclate pas en sanglots, malgré la pression qui entourait sa poitrine d'une façon désormais continue. Bougeons de là, je t'en supplie.
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