Louka - Beauty is in the Heart of the Beholder

Louka Annenkova

◊ Sang-mêlée, née de l'union d'une ancienne ballerine et d'un avocat, la demoiselle a grandi au sein d'un foyer uni et aimant, où les règles très strictes liées à l'apparence et au comportement se mêlaient à merveille avec les valeurs de loyauté et vérité. Fille unique, elle a pu suivre ses parents dans leurs activités pendant son enfance, se gorgeant de la rigueur de la danse classique et de la rhétorique des cours de justice.

◊ Ses manières la font souvent passer pour une personne très froide voire arrogante, ce qui n'est nullement le cas. A Durmstrang, ceux qui se sont donné la peine d'aller voir au-delà de cette carapace de perfection travaillée et entretenue ont découvert une amie fidèle et toujours de bonne compagnie. Elle a développé son penchant certain pour la boisson nationale russe dans ces années, seuls moments où elle sort de son cadre strict pour devenir un tantinet plus échevelée.

◊ Ambitieuse, la jeune femme rêvait de relations internationales, pour lesquelles elle a travaillé trois ans durant à la sortie de l'école. Non seulement sur les bancs d'une université, mais également en tant que mannequin, en dehors, afin de payer les frais de scolarité. Son ascension dans ce monde du paraître dura trois ans, trois ans de flashs, de sourires et de haute couture, qui, paradoxalement, lui permirent d'avoir toutes les clefs en main pour accéder à ses désirs, mais lui ferma du même coup la porte y menant.

◊ En effet, on lui a refusé l'accès à ce milieu à cause de ce passif de modèle, qui lui ôtait, aux dires de ces messieurs, toute crédibilité. Une offre de poste de professeur de bienséance dans son ancienne école s'est cependant présentée à elle, ne le laissant pas sans ressources. Blessée au plus profond de son être, elle a sur se relever et faire de l'enseignement son nouveau chemin.

◊ Cette voie dorée ne fut cependant ouverte qu'un an, les écoles de magie fermant pour laisser place à Elderwood, où sa matière ne serait plus enseignée. On fit appel à son goût sûr pour ce qui était de la décoration des bâtiments et ce fut une nouvelle réorientation. Pendant plus d'un an, elle a parcouru le monde en exerçant cette profession, en ornant quelques lieux luxueux et célèbres.

◊ Cette fin d'année l'a finalement ramenée sur l'île, où son aide a été réquisitionnée pour aider lors des examens, pour surveiller, corriger, épauler d'anciens et nouveaux collègues.

Idées de lien

◊ UC
◊ UC
◊ UC
◊ UC

Liens à ajouter

◊ Belladonna Ningishzida
◊ Judah Bénathan

Natalia Jacobs

« La Vénus de Milo. Alexandre d'Antioche »

« Je connais Natalia depuis toujours et, d'aussi loin que remonte ma mémoire, nous avons toujours été amies. Vivant dans des maisons voisines, il nous était aisé de nous retrouver pour jouer, puis, plus tard, pour converser. Cette proximité rendait la découverte de son « secret » inévitable. Enfant alors, je lui proposai d'en parler à mon père, avocat de son état, ce qu'elle refusa. Je me contentais donc d'être une épaule, une oreille, des bras pour la soutenir quand le besoin s'en faisait sentir. Nous ne nous sommes guère quittées, même quand elle a quitté la Pologne pour entamer sa carrière internationale, je la rejoignais dès que je le pouvais, même pour quelques heures. Je me targue de la connaître par coeur et la réciproque est d'ailleurs vraie. Elle est un soutien sans faille, malgré les années passant, et je me plais à croire que je le suis également. »

Oksana Dostoïevski

« La Chevauchée des Walkyries. Wagner. »

« Notre rencontre a eu lieu à Durmstrang. Rencontre forcée, n'ayant que peu en commun au premier abord, qui s'est déroulée en cours de bienséance où le professeur, désespéré par l'attitude garçonne de cette aristocrate, m'a citée en exemple pour elle, moi qui étais de naissance quelconque. On m'a demandé de l'aider, ce que je me suis employée à faire du mieux que je pouvais, mais, face à son naturel borné, ce ne fut pas évident. Nous avons fini par trouver un terrain d'entente le jour où j'ai rencontré sa famille, avec laquelle le courant est plus que bien passé. Je jouais les filles adoptives modèles (ce qui ne me demandait pas trop d'effort) et ils lui laissaient faire ce qu'elle voulait. Pour sceller cette alliance, j'ai commis l'erreur impardonnable de la laisser me convaincre de goûter à la vodka. Ce fut ma perte. Et le début de notre complicité. J'aime ses manières même si elles n'ont rien de convenable, elle est de ces personnes qui rayonnent de beauté sans faire le moindre effort. On peut nous voir comme des soeurs adoptives. Elle possède le double des clefs de mon appartement à Saint-Pétersbourg, cadeau des Dostoïevski dans lequel je garde toujours au moins une bouteille de vodka au frais … »

Iordan Nevdokiev

« Mur de Berlin. Freien Leuten. »

« Je n'ai jamais connu à mon père que deux obsessions : ma mère, et ce Russe crapuleux dont il voulait à tout prix précipiter la chute. Plus qu'une simple enquête qu'il menait en solo, il s'agissait d'une croisade qu'il entendait bien remporter. Aussi, quand il me chargea d'aller en éclaireur tenter d'amasser des preuves dans sa propre demeure, lors d'une soirée mondaine qu'il donnait, sous couvert des Dostoïevski, je n'ai pas eu le coeur de refuser. Au cours de celle-ci, cependant, mon chemin a croisé celui de Iordan, dans un coin. Irradiant d'une beauté qui lui était toute personnelle, il n'a pu qu'attirer mon attention. Défiant les codes, j'ai passé une délicieuse soirée en sa compagnie, oubliant totalement la mission qui était originellement mienne. Mon père ne m'en a cependant pas tenu rigueur, heureux de cette alliance inattendue. Je n'entendais toutefois aucunement me servir de mon nouvel ami pour aider mon père à parvenir à ses fins. Je vivais donc cette complicité en toute quiétude, jusqu'à ce jour fatidique, où, plaisantant, il m'avait laissée pour rejoindre sa famille, à une réunion qui l'ennuyait d'avance. Avant de disparaître. Après la mort de tous les siens. Si les soupçons se portèrent immédiatement sur lui, je savais qu'il n'en était rien. Mais je comprenais son exil, même si j'en souffrais. Le retrouver sur l'île fut une bénédiction, et, si les retrouvailles furent aussi discrètes que possible pour ne pas attirer les questions, il n'en reste pas moins que je m'en montre comblée et espère qu'il ne fuie pas encore. »

Wyatt Pritchards

« Le Radeau de la Méduse. Géricault. »

« Parfois, je me laisse entraîner à sortir avec mes anciennes amies du monde de la mode, qui se montrent souvent distrayantes. Cette fois-ci, cependant, j'avais compris que je ne goûterais pas à la soirée. Elles étaient venues avec le but visible de passer la nuit entre les draps de riches héritiers, réunis sur le bateau de l'un d'entre eux. Je faillis partir mais l'un d'entre eux me retint. Différent des autres, plus jeune aussi, il était simple et magnifique. Je passai donc la soirée en sa compagnie, sur le pont, un verre à la main, sans qu'il ne se passe rien. Son frère, hôte de cette charmante nuit, était passé en coup de vent. J'avais cependant été appelée loin de mon charmant cavalier par une amie qui se sentait atrocement mal, et dont j'avais dû m'occuper toute la nuit. Et le lendemain matin … l'inimaginable s'était produit. Le corps flottant du digne Petit Prince de Saint-Exupéry m'avait retourné le coeur, au moins autant que la détresse de son frère. J'étais restée, silencieuse, et avais assisté à ses funérailles. Et, une chose entraînant une autre, désirant prendre du recul, j'avais profité de son hospitalité pour un voyage vers l'île de Nameless. Il est une personne que j'apprécie énormément, même si sa beauté est largement enfouie sous une carapace qu'il semble s'être forgée. Son rêve d'avoir son restaurant m'a charmée et je compte m'associer à ce projet. En Sa mémoire. »

Meleager Baskerville

« Rigoletto. Verdi. »

« J'accompagnais Natalia à un match de Quidditch pour la première fois, ne l'entendant pas tarir d'éloges pour ce jeu que je ne connaissais aucunement, et surtout pour ses joueurs, ce qui ne m'étonnait pas réellement. J'appréciai la partie, décidant de m'intéresser aux règles et équipes. Bien évidemment, elle réussit à me convaincre de la suivre à la soirée clôturant la journée et c'est la que j'ai rencontré Meleager, un des nombreux hommes avec lesquels elle aimait passer, pour le dire de façon élégante, « some quality time ». J'approuvais sans l'ombre d'un doute ce choix et engageai la conversation qui se révélait charmante, sans sous-entendus lourds qu'avaient pu me servir ses coéquipiers. La discussion dévia lentement, avant que je ne le recadre d'un sourire. Je n'étais pas mon amie et n'étais guère intéressée par une aventure d'une nuit. Et c'est Natalia qui m'a poussée vers lui, m'assurant qu'il voulait une histoire sérieuse. Ce que nous eûmes. Un an durant, nous nous sommes vus. C'était incroyable le temps que cela a duré … car cela s'est terminé. Et de façon peu élégante. Je venais d'apprendre que j'allais avoir un poste à Durmstrang et c'est ce qui l'a fait reculer. Les trop fortes contraintes de ma profession ne lui convenaient pas et il a mis un terme à ce que nous avions. Parce que cela devenait trop compliqué. Je n'ai plus donné de nouvelles après cela, bien trop blessée et n'ai donc pas apprécié que Natalia me fasse tomber dans un piège pour que je le revois. Si l'entrevue n'a pas été des plus chaleureuses, je n'ai cependant pas hésité, cette nuit apocalyptique, à accourir à son appel. Et peut-être, un jour, saurais-je le remercier pour cela. »

Fedor Lvivnyr

« Don Juan. Molière »

« J'ai fait la connaissance de Fedor lors de notre scolarité. A Durmstrang, il a rapidement acquis une solide réputation de Don Juan, séduisant toutes les filles d'un large sourire et d'un clin d'oeil. Je pouvais tout à fait comprendre l'engouement pour ce jeune homme, bien de sa personne et tout à fait charmant. Simplement, quand il s'est mis en tête de m'ajouter à son tableau de chasse, je lui ai clairement explicité que je n'étais pas intéressée. Jamais de ma vie je ne me résumerais à un numéro sur une liste, à un portrait à ajouter à la galerie de ses conquêtes. S'il a semblé déçu sur l'instant, il l'a sans doute vite oublié, se remettant en quête d'une donzelle moins difficile. Je l'ai ensuite totalement oublié jusqu'à cette fameuse soirée avec Natalia, Meleager … et lui. Les retrouvailles n'ont pas forcément été des plus chaleureuses ou des plus naturelles, n'étant pas en état de faire quoi que ce soit de constructif ce soir-là. Ce que je rattrapai, sans l'avoir voulu, cette fameuse nuit où tout a basculé. Je l'ai trouvé s'affairant, perdant pied dans l'infirmerie et ai tenté, visiblement avec succès, de le remettre à flots. Nous nous sommes revus à de nombreuses reprises au cours de l'été, tissant une complicité de plus en plus étroite et tendre qui me comble. Il y a quelques temps que je n'ai pu le voir à cause des préparatifs pour le restaurant aussi ai-je hâte de voir l'école rouvrir et de le rejoindre au plus vite. »

Charles Taylor

« The Persistence of Time. Dali. »

« Une histoire bien étrange que celle que je m'en vais conter, et qui résume celle que je partage avec « Charles Taylor ». Je l'ai connu sous le prénom de Damian, lors d'une soirée à laquelle j'assistais avec la famille Dostoïevski. Il a su sortit du lot et se distinguer, venant m'aborder sans ces fanfaronnades ou formules toutes faites que l'on me servait d'ordinaire. Agréablement surprise, je l'ai laissé me faire une cour à la limite de l'empressé, jusqu'à ce qu'amusée, je promette de l'épouser s'il me ramenait cette relique dont il me vantait les propriétés et la beauté depuis quelques minutes. Il a pris acte de ce pari avant de s'en aller. Amusée, j'ai cru ne jamais le revoir et garder simplement le souvenir de cette étrange mais rafraichissante soirée. Cependant, quelques temps après, il a reparu dans une de ces nuits bien ordonnées, avec ladite relique. Force m'était de constater qu'il avait raison, et, l'air le plus sérieux du monde, de lui demander où était la bague avec laquelle il comptait sceller cet engagement. Nul ne voulant décider que ce pari était d'une stupidité sans pareille, je me suis donc retrouvée avec une bague de fiançailles. La famille d'Oksana ne goûtant pas la plaisanterie, il s'est avéré qu'il s'est fait « corriger » à cette même soirée et que je n'ai plus eu aucune nouvelle après cela. Jusqu'à mon retour sur l'île où je l'ai retrouvé, puant l'alcool à plein nez, en train de me demander comment nous devions nous organiser pour nos noces. Le temps était sans doute venu de lui signifier que l'aimable jeu avait assez duré. » Attente de fin de RP

Sara Costantini

« Oeuf à a Rose. Fabergé. »

« Nos chemins se croisèrent au Tournoi des Trois Sorciers, lors de notre scolarité, par l'intermédiaire de Natalia qui, trop heureuse de voir autant de nationalités réunies, voguait de groupe en groupe jusqu'à avoir trouvé un petit ami et une nouvelle amie, en la personne de l'Italienne. Entre nous s'est rapidement déclaré une chose que je n'avais jamais envisagée : une guerre de territoire. L'amie d'enfance contre la nouvelle meilleure amie, il était clair que nos intérêts se rejoignaient trop pour ne pas, au final, nous déchirer. Cela reste toutefois fort cordial, chacune ayant, au final, sa place auprès de Natalia, mais il n'empêche que nous aimons chacune rappeler à l'autre que nous avons des points communs avec Nat que l'autre n'a pas. Il me suffit de parler de notre enfance et à elle, d'amener le sujet du Quidditch, tabou en ce qui me concerne pour que nous comprenions le message. Attention, je n'ai jamais dit que nous ne nous entendions pas, bien au contraire : c'est une très belle personne, autant intérieurement qu'extérieurement. Seulement, il a y toujours cette tension sous-jascente entre nous. »

Savannah Dawkins

« Les Anges. Raphaël. »

« J'ai croisé cette jeune femme à plusieurs reprises chez Gerry, quand je venais y voir Iordan ou quand je retrouvais Oksana. Il semblait que les visites de la médicomage soient, elle, uniquement ou presque centrées sur mon ami d'enfance, serveur de son état. Observant ce manège avec un sourire bienveillant, je fus un jour présentée à elle, une fois qu'elle arrivait alors que Iordan et moi étions en pleine conversation sur le passé. Le sujet de discussion changea étonnamment vite, mais cela n'échappa sans doute pas à cette charmante blonde que je sens m'observer depuis cet événement. Et je ne doute pas de connaître la raison de cet intérêt. Je me doute que Iordan n'a pas dû être très expansif sur son passé, alors m'avoir, moi, qu'il présentait comme une vieille amie, quelque part à portée de main, ne pouvait que lui donner envie d'aller voir plus loin et de tenter de m'extorquer quelques secrets, quelques anecdotes. Je me contente donc de lui rendre ses regards avec un sourire. Jamais je ne parlerais, évidemment. Mais je suis curieuse de savoir si, un jour, elle se décidera à essayer. »

Sladka Tiomnievna

« Petite Musique de Nuit. Mozart. »

« En rencontrant la famille d'Oksana, j'a bien évidemment fait la connaissance de sa cousine et petite protégée, Sladka, alias Sladoudou dont elle m'avait déjà parlé un millier de fois. L'ayant connue très tôt, j'ai donc pu la voir grandir et, surtout, son secret m'a, bien malgré elles, été révélé. Muette comme une tombe, je l'ai bien sûr gardé pour moi, ne voyant pas l'intérêt de divulguer pareil information. Apprivoiser la jeune Russe ne fut, au final, pas si compliqué qu'il n'y paraissait. Je nous ai rapidement découvert une passion commune : la musique. On ne pouvait pas dire que cela soit particulièrement dans les goûts d'Oksana d'aller à l'opéra, alors je le faisais, enchaînant ballets, récitals et pièces en sa compagnie, prenant le temps de savourer, d'écouter, de regarder avant de finalement échanger nos points de vue. Quand je suis devenue son professeur, je n'ai rien changé à mon attitude envers elle, étant irréprochable dans mon cours, contrairement à sa cousine. Cousine qui m'a instamment demandé un rapport hebdomadaire sur les agissements de Sladka, chose amusante. Je la rassurais mais n'ennuyais en aucun cas la demoiselle avec ça. »

Magda Czajkowski

« Le Lac des Cygnes. Tchaïkovski. »

« Adorable petite soeur de Natalia, je la connais depuis sa naissance, bouton de rose tout prêt à éclore. Si nous nous côtoyions sans peine lorsque sa soeur était là, échangeant, lui donnant parfois des conseils, riant avec elle, après la fuite de son aînée, cette joyeuse ritournelle n'a plus été d'actualité. Elle savait pertinemment que je connaissais les raisons du départ de la demoiselle qui se faisait dorénavant appeler Jacobs, mais ne lui en soufflai jamais mot. Elle se ferma à moi, ce que je comprenais, même si j'aurais aimé m'en rapprocher pour vérifier que le départ ne précipite pas leur malade de père sur la plus jeune. Je gardai un oeil bienveillant sur elle, ne cédant à aucun cri, à aucun caprice, à aucune insulte. Maintenant que les soeurs sont réunies, je ne doute pas que le secret soit sous peu révélé. Son attitude changera-t-elle à ce moment là ? Impossible de le déterminer. »

Neva Leonidova

« Portrait de la Marquise de Pompadour. Boucher »

« A cette soirée à laquelle je rencontrais Iordan assistait également sa cousine, Neva, parée d'une robe qui ne lui valait, malheureusement, que des rires de la part du jeune homme et un regard désapprobateur de la mienne : tant de tissu, de couleurs ridicules et d'artifices alors que cette demoiselle était sublime ! Quel gâchis. Si elle prit pour elle nos critiques et pensa à de la moquerie, elle finit pourtant par s'adoucir alors que je lui exposais mon point de vue sur la question, lui confiant à quel point je connaissais cette sensation, alors que je faisais mes débuts dans le monde du mannequinat. Nous sommes restées en bons termes, échangeant quelques impressions fugaces sur la mode, sans que cela aille beaucoup plus loin. »

Branwen Svanasdottir

« Le Lièvre et la Tortue. La Fontaine. »

« Je me suis retrouvée introduite chez la vieille dame que Wyatt allait voir de façon régulière, une tante si je ne me trompais pas dans l'arbre généalogique. Cette personne, fort peu aimable, m'accepta pourtant et j'ai pu gracieusement boire le thé en sa compagnie. Ce fut là que j'aperçus Branwen pour la première fois, mon colocataire me confiant qu'elle s'occupait de cette dame (ceci étant la version édulcorée de la déclaration colorée de Mr. Pritchards). Sa simplicité et ses bonnes manières n'ont bien entendu pas été pour me déplaire et je me retrouvais à débarrasser le thé en sa compagnie. J'avais bien évidemment noté la tension permanente qui semblait régner entre elle et mon capitaine préféré et tenais, pour une raison pour une autre, calmer les esprits. Je ne sais si je suis parvenue à lui faire entendre quoi que ce soit, mais, au moins, elle ne me considère plus avec surprise et hostilité. »

Ekaterina Kryssanova

« La Ballerine. Degas. »

« Au début de mon année d'enseignement à Durmstrang, alors que j'effectuais une ronde pour m'assurer que tout le monde dormait, mon oreille fut attirée par une musique qui m'était familière bien émanant d'une salle que je savais inutilisée. Risquant un oeil, je tombais sur l'une de mes élèves les plus impeccables, à la barre, en train d'effectuer des exercices que je connaissais par coeur. Ses explications ne la privèrent pas d'une retenue pour sortie après le couvre-feu. Elle continuait d'envoyer des vidéos de ses entraînements personnels à son cours de ballet pour ne pas perdre son niveau. Considérant cela, je lui proposai de devenir son professeur. Je n'avais rien d'une danseuse professionnelle mais avais assisté à suffisamment de cours donnés par ma mère pour connaître les erreurs, les conseils pour améliorer une position, entre autres. Ce fut donc fait, dans des heures convenables, après les cours, un an durant. »

Istvan Bernhardt

« Fontaine. Duchamp. »

« Une rencontre du Tournoi des Trois Sorciers, lui étant à Poudlard. Comment ? Il était le coup de coeur du moment de ma chère Natalia. Je n'avais rien contre lui, simplement, il semblait que mon langage un peu tourné le déroute parfois, ce que je comprenais, cela arrivait sans cesse. Cela ne nous empêchait pas de passer d'agréables moments les uns avec les autres, qui rendirent cette expérience spéciale et inoubliable. Je consolais Natalia à leur rupture et nous ne nous sommes guère revus depuis la fin de cette année. Encore une fois, ce n'était pas tant que nous ne nous entendions pas, je n'étais pas de ce genre, exubérant et à absolument vouloir garder le contact. Il m'a semblé l'apercevoir sur l'île, avec un groupe d'étudiants, mais sans doute me suis-je trompée. »

Prénom Nom

« U.C. »

U.C.

Spoiler:

Et ça devrait être bon ! A vous les studios !

Moi je veux bien un lien ! Mais je te le dis direct : je ne suis pas inspiré pour chercher ce soir (honte à moi)

Mon ptit éclair au café chéri, c'est encore ta marraine *PAN*
(Oui, bon, je sors, promis, un jour, j'arrêterai d'être schyzo xD)

Maiiiis je suis pas contre un lien, bien au contraire ! Après du coup ça peut être de l'année précédente, sur l'île ou dans l'école (elle y est venue à plusieurs reprises pour savoir ce qu'elle avait à faire), s'il est passé à l'infirmerie après les thermes pendant la nuit des loups, elle y était, ou essayer de voir, là, cette année, comme tu veux ... OU ! C'est une passionnée d'art, etc, peut-être qu'elle a pu déjà le voir à une exposition ? Du style ses parents ont exhumé un truc absolument magnifique et elle n'a pas pu résister ?

AH MAIS J'EN AI MARRE DE TOI TU ES PARTOUT (non c'est pas vrai j'en ai pas marre ♥ je vais me faire une liste de touuus les persos que tu fais, histoire de pas avoir l'air coconne, quoi. PETITCUPCAKEAUCAFED'AMOUR).

Ah mais c'est une super idée ça ! Je suis plus pour l'expo : ça serait Judah qui lui aurait expliqué ce que c'est.. Du coup, j'imagine bien un truc genre Flash back, et après, ils se croisent à l'école, et Judah avait pas du tout réalisé qui elle était, et, OH SURPRISE C'EST TOI QUE V'LA (en plus, c'est un peu nous, quoi, tu vois ce que je veux dire ?)

Mouahahaha pitit éclair au café padawan de mon coeur, si t'existais pas faudrait t'inventer potté

Mais nooooon t'as pas l'air coconne, j'l'ai pas mise dans mon profil, celle-là, c'pas ta faute, c'ma flemme qui est en cause *pan*)

C'est de nature à me convenir, tout ça, et puis c'est vrai que cC'EST L'HISTOIIIIIIE DE NOTRE VIIIIIIIIIIIIIIE /sbaf/ (Pardonjecraque)

Je craque aussi aujourd'hui, t'inquiète. Les révisions intensives peut-être ? :D
BON ALORS CA ME VA JE SUIS CONTENTE. RP dès que tu peux (mais je vais pas te surcharger, je te note juste dans mes liens, et comme ça dès qu'on a un peu de dispo, on se lance, ça te va ?).

Eh, j'existe, pas la peine de se fatiguer à m'inventer ♥.

Moi c'est pression qui retombe mais je te comprends totalement choubidou d'amour coeur

Nickeeeeeeeel potté

On fait ça ! (Mais je veux celui avec Joyce avant *pan*)

Ouf, ça en moins à faire *barre ça sur sa to do list*

Oui y'a Joyce à faire, c'est vrai ! On a du pain sur la planche ! superman

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