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 « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra

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Anupam

  • Moïra T. Norrington
    ACCIO PROFIL

    ♦ PARCHEMINS POSTES : 137
    ♦ PSEUDO : Phil
    Féminin ♦ CREDITS : Luna
    ♦ ARRIVEE A ELDERWOOD : 17/05/2011
    ♦ LOCALISATION : Là où vous vous y attendez le moins.

Moïra T. Norrington



Revelio

& Me, myself and I
♦ AGE; ANNEE & ECOLE: 16 ans ♣ 4e année ♣ Anupam
♦ DEDICACES:

« Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra Empty
MessageSujet: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMar 17 Mai - 19:24

Hello Dear, it's time to introduce yourself !

MURPHY
ft. DAISY LOWE
Chapter One : Identity Card

Music Please


Nom: NORRINGTON
Prénom(s): Moïra Teanna
Date de Naissance: 6 juin 1993
Lieu de Naissance: Galle, Sri-Lanka
Âge: 16 ans
Nationalité: Anglaise
Sang: Pur
École: Anupam
Année: 4e année

Chapter Two : Life isn't a fairytale

Ici l'histoire de votre personnage, son enfance, son adolescence, comment a-t-il découvert ses pouvoirs, l'école, son métier éventuellement, et finalement son arrivée à Elderwood, etc...
Si vous désirez un don pour votre personnage, reportez vous au chapitre six avant d'écrire l'histoire, remplissez le et envoyez un Mp à un admin pour qu'il valide ou non le don. Vous pourrez ainsi en parler dans l'histoire.
40 lignes minimum demandées !


L'Angleterre était derrière eux depuis quelques années quand Rebecca et Ashwin s'additionnèrent pour se multiplier. Qui sont-ils ? Mes parents. D'où viennent-ils ? De Canterburry. Leur premier - et unique - enfant ? Moi. Pourquoi étaient-ils partis ? Afin d'étudier une des plus belles réserves mondiales au Sri-Lanka, la réserve forestière de Sinharâja. Ce sont deux naturalistes chevronnés qui adorent leur boulot, c'est beau à voir. Si j'ai la même passion ? Pas vraiment. Enfin, je n'en sais rien. J'ai le temps de voir venir ... Bref, il y avait de cela pas mal de temps, mes parents s'étaient installés dans ce pays en raison de sa faune riche et variée, car particulièrement bien préservée, qui leur servirait de terrain d'études. Enfin, bon, je vous passe les détails, leur installation, l'adaptation et tout le toutim vu que je n'y étais pas donc, on s'en fiche.

Passons au plus intéressant : ma venue au monde.

Ma mère me tenait amoureusement dans ses bras, évitant soigneusement de s'attarder sur le fin duvet couleur carotte qui recouvrait tout mon crâne. Rousse. Voilà qui n'était pas pour plaire à mon père dont l'ascendance indienne de par sa mère, bien que distillée par le temps et les différentes unions, l'avait doté de cheveux d'ébène et d'une peau très réceptive au bronzage. Vous me diriez, ma maternelle aurait très bien pu descendre d'Irlandais et le génie de la génétique aurait miraculeusement opéré mais ... non. Le facteur, alors, peut-être ? En modèle roux, au Sri-Lanka, c'était plutôt ... rare. Ceci dit, avant que mes géniteurs ne s'entredéchirent, leur cœur bourrelé de suspicion, mes trois poils sur le caillou étaient passés du rouge au ... saumon, teinte du peignoir de ma mère. Déjà petite, j'étais une fille haute en couleurs. UU

Ce petit manège dura un certain temps, s'étendant à la longueur de mon nez, la taille de mes orteils, la couleur de mes prunelles ... Jusqu'à ce que les médecins de l'hôpital sorcier annonce à mes parents que leur petite fille n'était pas comme les autres.

Ainsi commença ma vie. J'étais métamorphomage, dotée de la capacité de changer de visage comme d'une chemise. Enfin ... presque. C’eut été trop simple si la réalité collait à cette métaphore. En vrai, mes deux naturalistes de parents avaient hérité d’une enfant caméléon émotionnel. A chaque pleur, énervement, soulagement, bonheur, quelque chose en moi, autre que mon état d’esprit, changeait. En général, je singeais inconsciemment une couleur près de moi, souvent reliée à ce qui m’enchantait ou me chagrinait. Dans un sens, c’était une façon de communiquer et, pour eux, un moyen de me comprendre.

Et le temps s’égraina doucement avec ses hauts, ses bas. Plus de hauts que de bas, en fait, j’étais choyée, couvée, protégée et veillée afin que j’apprenne à maîtriser mon don, à garder une apparence fixe. Unique. Etrange de se voir obligée de choisir un visage, de laisser apparaître son vrai moi. Ou le moi qu’on croit être le vrai ? Un instant, on cesse de se concentrer, de se façonner un masque et une frimousse apparaît. Réelle. Tangible. Mais … si on avait relâché sa concentration une seconde plus tôt ? Ou plus tard ? Que serait-il advenu ? Aurais-je écopé de la même tête ? Qu’est-ce qui était inscrit dans mes gênes, au final ? Ma métamorphomagie ou les traits de mes parents ?

Visiblement, leur sang. Ce sang pur et rare qui coulait dans mes veines autant que leur magie.

Oui oui, leur magie. Disposer d’un don était une chose. Prouver sa nature de sorcière, une autre, même si les deux étaient étroitement liées. C’est ainsi qu’un jour de grandes chaleurs, sous le regard attendri de mes parents, je ramenai à la maison un mainate, mainate qui me suivait docilement en lévitant et, du haut de mes 6 ans, le fait qu’il n’ait pas eu besoin d’utiliser ses ailes pour se faire n’avait absolument pas paru me déranger.

Des réjouissances, une famille unie, aucune ombre au tableau, jusqu’à ce que …

♣️♣️♣️

♣️ Sois gentille avec lui. ♣️ Mon père en avait de bonnes. Je ne le connaissais pas, moi, ce gars. Je ne connaissais strictement rien de lui ! Enfin, si. Je savais qu’il s’agissait d’un parasite, petit cancrelat venant ramper au sein de MA famille, coucou colonisateur de nid ! L’épargner ? De quoi ? Pourquoi ? Parce qu’avec sa belle gueule, il avait un pass « fous-moi la paix » ? Mais même pas en rêve … « Sois gentille avec lui » … Gentille … C’était dommage que mon dictionnaire ait des définitions différant parfois légèrement des acceptions classiques …

Déjà à l’époque, j’appréciais qu’aucun grain de sable ne vienne se glisser dans les rouages de ma vie. Je n’avais peut-être que huit ans, ça n’avait pas empêché que ce « cousin » tombé du ciel m’agaçait. Oui, un beau jour, mon père m’avait claqué au visage qu’il s’occupait d’un gamin. Pourquoi, d’abord ? Parce que je ne suffisais pas ? Parce que je n’étais pas assez bien ? Non … Parce qu’il n’avait plus de famille. Ben fichez-le à l’adoption. On le faisait bien pour les chiens et les chats, alors … Bah quoi ? Non, je n’étais pas contente. Pas du tout. Si nos existences ne s’étaient pas croisées à cet instant précis, je n’aurais probablement jamais eu à adapter mes habitudes pour y loger les siennes. Ou à tout le moins pour que mon père lui consacre un minimum de temps qui, à mes yeux, était déjà excessif.

Nous n’avions rien en commun, la généalogie et la génétique ayant distillé nos liens avec une application minutieuse, effaçant noms de famille, prénoms ou caractéristiques semblables qui nous auraient permis d’identifier un lointain lien de sang. Il n’était rien pour moi qu’un sale mioche débarqué de nulle part que j’aurais dû plaindre. Oui, c’est immédiatement l’image que je lui avais accolée, n’ayant aucunement le désir de la démentir. Déjà, je ne le voyais jamais. Hormis dans les journaux. « Monsieur people » … Eh bien qu’il reste avec son fric et ses problèmes, nom de Merlin ! Qui il était ? Ses goûts ? Ses passions ? Son caractère ? S’il parvenait à surmonter sa douleur ? Je m’en foutais. C’est tellement plus facile de haïr que de comprendre. De jalouser que de compatir. Et j’avais embrassé la simplicité en une ferme accolade.

Ma mère tentait de m’inculquer qu’il n’avait pas une vie facile, que je devais comprendre. Naître avec une cuiller en or dans la bouche, c’est vrai que ça devait faire mal à la langue. Pauvre gosse … J’aurais eu un mouchoir sur moi, je suis sûre que je me serais autorisée à verser une petite larme. Il avait perdu sa famille, ok. Ca ne l’autorisait pas à piquer la mienne.

Hélas, ce môme restait dans le sillage de mon père tel une sangsue ventousée à la peau. Pendant cinq longues années, j’en ai entendu parler, son ombre planant sombrement sur moi. La rencontre n’avait pas eu lieu. Pour moi, c’était un cafard. Et les cafards, ça s’écrasait.

Quand il fut en âge de rentrer à Anupam, il crut intelligent de louper sa rentrée. Abruti. Et mon père, pas beaucoup plus déluré, a trouvé malin de lui courir après, d’abord. De l’encourager, ensuite. Et de le forcer à récupérer son retard. Pourquoi on ne m’écoutait jamais ? J’avais répété que les parasites n’apprenaient pas la magie. Ca le démontrait, ça, non ?

Du coup, mes parents se méfiaient, ils avaient peur qu’il recommence l’année d’après. Alors, quand mon tour d’entrer à l’école arriva, ma mère m’a accompagnée moi. Mon père, lui. Et je l’ai vu, ce freluquet piqueur de père, cet avorton qui grignotait l’attention qui m’était dévolue. Pourquoi à la maison, on ne m’avait pas fait confiance ? Pourquoi je n’avais pas été jugée apte à dire moi-même que, oui oui, il était bien à Anupam, pas d’inquiétude ? Parce que quoi ? « Je ne l’aurais pas reconnu sans une photo sous la main pour l’identifier » ?… … … Ouais, ça, d’accord. Donc pourquoi on ne me l’avait pas donnée, cette photo ? Ca m’aurait servi pour jouer aux fléchettes, en plus !

Non, finalement, c’était mieux de ne pas avoir avec moi une image pour me rappeler sa tête de nœud. Moi qui étais capable de copier les physiques, j’étais dans l’impossibilité de m’en imprimer un dans le crâne du premier coup. Au moins, ça m’épargnait les cauchemars ou autre vision d’horreur en me remémorant l’affreux minois de ce « cousin ». Je le détestais, ce n’était pas peu dire. Et je détestais encore plus son air de ne pas y toucher, de n’avoir rien à se reprocher. Et surtout rien à me dire. Pas un mot d’excuse, pas un merci pour ma gentillesse de lui laisser mon père en quelques occasions, rien. Considérée comme un mur … Lui avec une indifférence de golden boy, de richard qui a tout vu dans la vie et est bien trop snob pour s’abaisser à parler avec n’importe qui. Atrophié du bulbe … Que tu le veuilles ou non, tu m’aurais sur ton chemin.

Quand je constatai qu’il avait le béguin pour une fille, d’abord. Je pris mes renseignements avec ruse et intelligence avant de tenter d’en copier l’apparence. Ardu, oui, mais un beau challenge. Mon but ? La copier, le laisser m’approcher et lui mettre le plus beau râteau de sa vie. Ca faisait mal de passer de riche héritier à petit jardinier aux doigts meurtris par les ronces, non ? C’est à cette époque que je me pris d’une passion forcée pour la photo. Etant incapable de copier parfaitement cette greluche de mémoire, je dus feinter.

Au fil du déroulement de mon plan, j’estimai plus amusant de lui offrir ce qu’il désirait, à savoir une réponse à ses timides avances, quitte à vomir après l’avoir embrassé. Ce sacrifice valait la peine si, après, ce gros nigaud se croyait en couple avec la dame de ses pensées et se mangeait une magistrale baffe par la vraie demoiselle en question.

Hé oh, je n’étais pas une charogne, ok ? Personne ne lui avait demandé d’échouer dans mon entourage. Personne ne lui avait demandé de coloniser mon existence. Et s’il jugeait que tout cela n’était que des caprices d’enfant unique, c’était toujours mieux que d’être orpheline chouineuse. Suivez mon regard.

Ensuite, hormis mon père, qui aurait mieux fait de s’abstenir, personne n’avait non plus prié cet énergumène de rejoindre Anupam. Surtout quand on voyait qu’il était si peu enclin à user de la magie, d’abord. Honte de ses origines ? Ou trop médiocre pour se servir de sa baguette. Franchement … Il me faisait pitié à sortir son mouchoir pour éponger un verre renversé ou ranger sa valise à la main, comme un bon petit moldu.

Je n’avais rien contre ces gens-là mais, objectivement parlant, les sorciers étaient mieux. J’étais mieux. Là où il leur fallait trente-six accessoires et un temps infini, un coup de baguette et nous étions tirés d’affaire. A quoi bon s’en priver ?

Et cette petite guerre se poursuivit. Sans relâche. Moi ne manquant pas une occasion de le moucher, lui de m’ignorer. Ce qui m’agaçait encore plus, attisant mon aigreur, et le cercle se faisait toujours plus vicieux.


♣️♣️♣️

Les amies, ça avait parfois du bon. Ou à tout le moins, ça servait pour prêter des fringues. Non pas que j'aie soudain frôlé l'infarctus en décrétant un beau soir que j'avais fait le tour de ma garde-robe, non. J'avais uniquement besoin, pour une fois, de porter des trucs qui n'étaient pas à moi. Intérieurement, je me disais que je surestimais peut-être Hayden. Il ne connaissait sûrement pas toutes mes tenues. D'un autre côté, je préférais maximiser mes chances. Sait-on jamais qu'il ait un éclair de génie et se souvienne par on ne sait quel miracle que l'excuse « j'ai trop sommeil, mon ange, va faire la fête sans moi » ne tenait pas deux secondes quand la personne en face de vous venait de terminer un thermos de café.

Une dernière vérification dans le miroir, un coup d'œil à ma tenue et je partis. Un changement d'avis ? Aucunement. Un test, plutôt. Le genre de petits trucs qui passent ou cassent. Pourquoi ? Parce que c'est sous les traits d'une autre, une inconnue, une création de mon esprit, que j'entrai dans les lieux de la fête. Je cherchai mon copain du regard, saluai quelques gens, faisant mine de les connaître de vue, avant de m'installer au bar. Le siège juste à côté d'Hayden. Que c'était simple ... Trop à mon goût. Trop pour que ne je m'agace pas de cette simplicité, tout autant que de la présence d'une poupée aux longues boucles d'ébène trônant sur l'autre tabouret à côté de mon gars ...

Prenant une profonde inspiration, je commandai une limonade, le premier truc qui m'était passé par la tête. A dire vrai, si je me déconcentrais, la vraie Moïra reviendrait au quart de tour et je serais bonne pour aller m'enterrer. Alors le contenu du verre ... Rien à caler. Surtout qu'il ne ferait pas long feu. Technique de drague maison, le premier qui s'en plaint, j'ai envie de dire, je m'en fous, et puis voilà. Simplement. Il suffisait de placer le verre sur la destination du coude du voisin qui parlait en gesticulant à son autre voisine. Et pouf. ♣️ Tu aurais un mouchoir ? ♣️ Anodin, oui. La petite phrase passe-partout, accompagnée d'un « oups » sincère alors qu'une rivière de limonade dégoulinait sur son pantalon. Que c'était bête ... Je me levai, confuse, mais lui encore davantage en réalisant qu'il en avait plein la manche et donc était légèrement l'auteur de l'inondation.

Noiraude aux cheveux bouclés : éjectée. Etape suivante : rapprochement.

♣️ Je suis désolée. Vraiment. Surtout pour vos vêtements. ♣️ C'est rien, ça s'enlève. ♣️ Petit sourire en coin, mi-amusé mi-entendu avant de détourner le regard vers le bar. J'étais certaine d'avoir baissé ma garde tellement il m'énervait avec son humour d'abruti. Et puis il culpabiliserait à mort vu que « la fille » que je jouais était elle aussi un peu trempée et avait la gorge sèche. A force de cogiter, j'avais perdu le fil et la couleur des yeux choisie tout à l'heure. Je tapais au pif avant de lui proposer de sortir, le couvert de la nuit jouant en ma faveur pour camoufler la valse des couleurs de mes prunelles.

Un verre, deux verres, cinq verres ... La soirée avait suivi son cours à l'extérieur et j'étais presque apaisée. Oui, nos vêtements séchés d'un sort, un bon cocktail à la main, une discussion agréable et pas d'infidélité à l'horizon, j'avais de quoi me réjouir, non ? Je l'avais peut-être mal jugé. Oui, trop dure, trop stricte ... Au moins, j'avais eu une bonne surprise. Mais il restait une inconnue dans mon équation. Hayden n'était pas réputé pour son côté dragueur, au contraire. Le premier pas, c'est moi qui l'avais fait. Alors, ce soir, si le personnage que j'incarnais le faisait à sa place, le repousserait-il ?

Féline, je me décalai pour être face à lui, les yeux dans les yeux, espérant de tout cœur que mes cheveux auburn légèrement frisés ne reprendraient pas leur forme initiale tandis que le moment de vérité approchait. Je lui adressai un sourire qu'il me rendit sans se faire prier. Ce que l'alcool n'excuserait pas. Ce que rien n'excuserait. Si ce n'est un refus. Nous allions voir. J'approchai mon visage du sien, il ne recula pas. Quelques centimètres à peine me séparait de sa bouche. De la vérité. Je glissai une main derrière sa nuque, l'autre plaquée contre ma cuisse. M'avançant encore un peu, je sentis son souffle contre le mien, mes lèvres frôler les siennes. Et se joindre. Submergée par l'émotion et frémissante lorsqu'il enroula son bras autour de ma taille, j'eus pleinement conscience que chaque pore de ma peau, chaque pigment, chaque parcelle de mon être retrouvait son aspect premier. Tremblante, j'eus encore le réflexe d'attraper ma baguette, lui mordillant la lèvre avant de souffler. ♣️ J'espère que tu as pu profiter. C'était le dernier. ♣️ Crachais-je, enchaînant sur un crache limaces avant de le planter là. Il pourrait toujours baver en leur compagnie. J'étais certaine que la taille de leur cerveau était parfaitement compatible.

♣️♣️♣️

Un beau jour, Anupam ferma. La magie, affirmait-on, se tarissait aux quatre coins du monde, réduisant la population des écoles au point de les forcer à glisser la clef sous la porte. J’étais sceptique bien que les statistiques parlaient d’elles-mêmes. Je ne voyais pas en quoi les sorciers allaient devenir une espèce en voie de disparition, comme les tortures luth qu’étudiaient mes parents. Je ne deviendrais pas une bête de foire parce que le « fluide » qui nous rendait « différents » s’éteignait prétendument. C’était ridicule. J’exigeais des explications plus concrètes que « regardez, cette année, il y a moins de premières années. »

Et pourtant, je ne les obtins pas avant de boucler mes valises et être catapultée sur Nameless, île au nom d’une originalité criante, au sein de l’école de « Bois Aîné ». Le rê-ve. Heureusement qu’il y avait la légende de la baguette de sureau pour justifier l’originalité des noms. Même si je maintenais que ça faisait davantage nom d’un lieu touristique que d’une école. Ils auraient gagné plus de sous en ouvrant une boutique de souvenirs qu’en centralisant tous les jeunes sorciers du monde. Misère, dire que je me plaignais parfois des Anupam, je sentais que je n’avais pas fini de râler avec TANT de gens. T_T

Bouillon de culture ? Jamais été fan de soupe. >. > Bref, l’heure de l’adaptation, des mises à l’épreuve et des rencontres avait sonné. J’aurais bien aimé qu’Anant se perdre en chemin, ouais, mais on ne pouvait pas tout avoir. Au pire, je l’aiderais un peu. En attendant, j’allais faire mon trou …



Chapter Three : I need a meaning, I need a soul


Les 48 facettes de Moïra en recettes …

Acide . Assurée . Autoritaire . Battante . Bavarde . Buttée . Capricieuse . Charmeuse . Chauvine parfois . Cinglante . Comédienne . Commère . Contrariante . Curieuse . Déterminée . Dynamique . Egocentrique . Egoïste . Encline à la compétition . Energique . Enquiquineuse professionnelle . Envieuse .Extrême . Fière . Goguenarde . Hardie . Inventive . Jalouse . Logique . Loyale … envers elle-même . Lucide . Lunatique . Mêle-tout . Méthodique . Nerveuse . Opiniâtre . Paranoïaque . Piquante . Possessive . Prévoyante . Querelleuse . Râleuse . Revancharde . Surprenante . Susceptible . Tenace . Tacticienne .

Vous prenez un abruti notoire, en vérifiant directement qu’il n’a bel et bien que deux neurones valides. Ou, à tout le moins, que son état cérébral s’en rapproche le plus. Un soupçon d’illusion de crétinisme suffit également. Ensuite, vous secouez légèrement la Moïra avant de la frotter à la préparation et vous obtenez un cocktail … frappant.
    La demoiselle ne supporte pas les abrutis. Les paysans mal dégrossis qui la contrarient. Moïra ne supporte pas la contradiction. Tout court. Elle vit essentiellement pour elle-même et ne tolère ni l’ingérence ni les conseils - en général - qu’elle prend pour de condescendantes tentatives de régir son existence. Un peu comme Hulk, il est donc préférable de ne pas l’énerver. Non, elle ne virera pas au vert, la couleur brocoli ne lui allant de toute façon pas au teint. La jeune fille se contentera de cracher de l’acide concentré, perles fielleuses marinées avec amour dans l’aigreur de son cœur. Et Moïra vise rarement pour blesser. Elle frappe pour abattre.
Un zeste de challenge, une bonne pincée d’adrénaline, une farandole de spectateurs et un coulis d’orgueil, tels sont les principaux ingrédients de l’Assurance made in Moïra. Pour corser la préparation, faites revenir un Anant dans les parages. Nous préconisons un feu doux. Moïra un brasier brûlant.
    Elle marche la tête haute, le menton fier, le regard ne cillant pas. La sorcière est de ces filles qui savent où elles vont et vous le font savoir par le claquement sec et déterminé de leurs talons. Etre sûr de ses objectifs et ne pas rougir de viser haut. Toujours. Après tout, ce n’est qu’en visant le sommet qu’on peut espérer l’atteindre et, assurément, Moïra ne tolère pas la médiocrité.
Dans un petit plat à part, versez quelques gouttes de poigne avant d’y incorporer une sauce à la détermination. Saupoudrez d’arguments, de répartie et de ténacité et laissez durcir. C’est ferme, parfois un peu dur sous la dent mais toujours plein d’éclats. De voix ou des projecteurs ? Allez savoir.
    Ne jamais fléchir. Fléchir, c’est pour les faibles. Et Moïra se prend pour à peu près tout sauf une pleurnicheuse qui a autant de volonté qu’un veau lobotomisé. Elle a de la poigne sous-tendue par sa répartie cinglante qui fait le ménage en premier. Un moyen comme un autre de rendre la tâche plus aisée à sa baguette au deuxième round. On ne lui marche jamais impunément sur les pieds et lui tourner le dos n’est pas réellement prudent.
Délayez un millilitre de protection dans un fond de jus d’enfant unique et couvez le tout pendant plusieurs années. Prenez soin de toujours répondre aux changements du mélange et de ne pas le laisser déborder. Personne ne sait s’il serait encore contrôlable après.
    Toujours habituée à être exaucée, protégée, veillée, tant à cause de son don que son caractère remuant, Moïra ne souhaite souffrir d’aucune contestation. Elle demande, on fait. Et elle ne compte pas que sur son autorité naturelle pour se faire obéir, croyez-moi. Entre le charme et les charmes, que ça enchante ou non, elle vous ensorcelle.
Roulez la Moïra dans la cire jusqu’à obtenir un joli masque. Laissez-le sécher plusieurs jours, en n’hésitant pas à creuser les détails au cure dent. Une fois prêt, détachez-le délicatement et badigeonnez-le de diverses teintes, afin qu’il soit haut en couleurs. N’hésitez pas à renouveler le procédé, afin d’obtenir plusieurs masques à vous mettre sous la dent mais veillez attentivement à ce que la Moïra ne conserve pas systématiquement une moue horrifiée quand vous l’immergez dans la cire chaude.
    Si Moïra est un caméléon physique, c’est aussi un caméléon émotionnel. Une demoiselle qui tâte le terrain avant d’enfiler un costume, qui joue la mièvre ou l’aigre selon la situation qu’elle occupe. Elle est tout. Ou rien. Aussi changeante que constante. Son être profond est dissimulé sous autant de métamorphoses que l’est parfois son visage. Parce que la sorcière ne sait pas vraiment qui elle est. Elle est comme elle s’est découverte la première fois, s’adaptant aux hauts et aux bas de l’existence. Sans creuser davantage. Et si la vraie Moïra était moins âcre ? Moins mordante ? Plus coulante … Moïra : « Pouah … Inutile d’en venir aux insultes. » UU
Mariez habilement l’entêtement et la force de caractère, fouettez avec hargne et obtenez un tempérament tout chaud. Enrobez-le d’une couche de curiosité et parsemez de pépites de ragots, d’éclats de contre-pied et, cerise sur le gâteau, une lichette de mauvaise foi.
    Son passe-temps favori ? Prêcher la bonne parole, autrement dit, la sienne. La sienne propre ou « la-sienne-pile-à-l’inverse-de-la-vôtre. » Parce que Moïra adore contrarier son monde, casser les pieds de ceux qui le méritent, bref, n’en faire qu’à sa tête. Pourrir la vie des gens est un sport, sport qui ne lui a valu qu’un seul titre, le surnom « Murphy ». Parce qu’avec elle, la loi de l'emmerdement maximum prend corps et elle en est fière. Très. Des attaques frontales aux coups fourrés en passant par les rumeurs compromettantes, l’Anupam a plusieurs cordes à son arc pour faire mouche. Toujours.
Nappez la Moïra d’une crème de défi et laissez reposer quelques heures. Prenez ensuite votre casserole pour la placer sur un léger feu et attendez que l’esprit rentre en ébullition. Quand les idées fusent, retirez-la immédiatement mais, méfiez-vous, il y a un risque d’éclaboussures donc ôtez le récipient délicatement et mettez-le à refroidir.
    Certes, la sorcière apprécie de mettre son imagination au service de ses plans divers et variés. Mais cette inventivité ne lui sert pas uniquement à trouver des raisons logiques à sa « passion » pour la photographie autre que « je suis métamorphomage, je me fais un catalogue de tronches ». Elle s’avère productive et très motivée, avant tout dans ce qui l’intéresse, parvenant également à se faire aux travaux de groupes, même si c’est au prix d’une immense concentration. UU
Flambez un pavé de possessivité arrosé d’une amère liqueur de jalousie. Epicez selon votre goût mais ne lésinez tout de même pas sur les quantités. Soyez créatifs, sans retenue ! Privilégiez l’assaisonnement à base d’aigreur, de paranoïa, d’excessivité, de surprotection et de méfiance. Nous vous garantissons ainsi un plat très relevé.
    Entière. Trop entière. Moïra supporte mal la demi-mesure au point de sombrer dans l’excès. L’exclusivité autant que la jalousie sont deux compagnes au quotidien, rythmant ses actions et ses réactions. Elle envie parfois les autres, s’efforce à les égaler puis les dépasser. Seulement, ça ne se limite pas à ça. Ce sont ses propres biens qu’elle redoute qu’on jalouse. Ses possessions qu’elle couve d’un regard possessif. Ses proches ne sont pas des choses mais ils sont à elle. Avec elle. Pire qu’un contrat signé sans rétractation possible. Si elle se contrôle ? Ah ah aaaaaaaaaah. Ah. Hrm.




Chapter Four : Tell us more about you
Your tastes
Café ou thé? Chocolat chaud ...
Bierraubeurre ou whisky pur feu ? Bière au feu et wiskypurbeurre.
Soirée alcoolisée ou au coin du feu ? Soirée enflammée au coin de l'alcool.
Hiver ou Eté ? Automne ?
Blanc ou noir? Gris.
Le Chicaneur ou la Gazette du Sorcier? Quidditch Mag.
Film d'amour ou d'action ? Science Fiction.
Garçons ou filles? Hermaphrodite ... HEY HO ! *sort sa baguette.* Tu notes pas ça, hein ! è.é Moi je tape dans la testostérone, ok ?
Canons de Chudley ou les Harpies de Holihead? Je supporte une équipe, la n°3 d'Elderwood, point barre.
Chocogrenouilles ou Dragées de Bertie Crochue ? Souris en sucre avant d'aller dormir, mes voisines de chambrée adorent entendre couiner. Sinon, les bulles baveuses.
Your magic
Baguette : Deux dents de Doxy ♣️ 28,6 cm ♣️ Bois de sureau
Epouvantard : Un insecte géant, mort, déjà blanchi par la décomposition
Hibou utilisé? (école, propre?) Une chouette ocellée appelée Sudarmadhi, surnommée Madhi.

Your beliefs
Crois-tu en Dieu ? Ne pas croire en moi serait stupide. C'est le meilleur moyen de n'arriver à rien.
En l'espèce humaine ? En « les autres gens » ? A quelques exceptions près ... non. Il y aurait trop de boulot pour les rendre bons à quelque chose.
Au projet Elderwood ? Si ça avait été un projet touristique avec « découvrez comment l'une des reliques de la mort a été fabriquée », peut-être. Là, non, du moins tant qu'on ne me dira pas où on a été pêché que la magie pouvait s'éteindre ...

Chapter Five : Oh! That's a muggle, isn't it ?

Pseudo : Phil
(Prénom :) Ô, Sophie
Age : La moitié de quarante, cinq fois plus que quatre, trois fois moins que soixante.
Double Compte ? : Jamais deux sans trois.
Prédéfini ? : Hééééé non.
Présence sur le forum ( 5 / 7 ) : Même si au final je suis là tout le temps. xD
Avatar : Daisy Lowe
Code du règlement : Energy nev- ... Comment ça, je retarde ? O.O Okay by Edenchou mr greenComment avez vous connu le forum et qu'en pensez-vous? : Ah non, mais je n'accroche pas du tout ... Franchement, jamais vu un forum aussi strict, rigoriste et mal organisé, c'est désespérant. UU
Autre : Bouyaka.

Chapter Six {facultatif} : Special ? Well, right. But you're not a Superhero, and you're not God, don't forget that.

Cette partie est à remplir avant toute autre.
Une fois fait, prévenez un des admin pour savoir si votre don est validé ou non afin de pouvoir l'inclure dans votre fiche.
Partie à développer car nous sommes plus exigeants avec les personnages qui ont un don !

Hey c'est quoi ton don ? *change ses yeux pour imiter ceux de son interlocuteur.* Métamorphomagie, tu veux que j'épelle ?
Ah, okay... Mais c'est quoi ? C'est un don qui permet de modifier son apparence au gré de ses envies. Enfin, dans l'aspect le plus purement théorique. Parce que, sinon la vie serait trop belle et trop simple - comme si mourir en fin de parcours n'était pas déjà assez pénible, niveau contrainte -, je suis incapable de modifier ma taille ou ma masse. Evidemment, étant encore jeune et manquant donc de pratique - *s'écorche la langue* -, mes émotions et états d'esprit influencent directement sur mon don et, du coup, sur mon physique. Je suis instable point de vue pigments, ça vous suffit ? Non pas caméléon sur pattes, abruti. Il faut vraiment tout leur expliquer. Donc, mon grand, mes yeux et mes cheveux ont tendance, en gros, à changer de couleurs ou de taille suivant mes humeurs et, lorsque je prends l'apparence de quelqu'un, garder longtemps le ton exact de sa chevelure, de sa peau ou que sais-je ? ... Eh bien, c'est assez compliqué.

Plus de détails ? ... Tiens, prends ce bouquin et regarde à l'endroit où j'ai mis un joli marque-page avec un bisounours pour que tu trouves la place tout seul. <3 Et si tu as du mal avec l'alphabet, embête quelqu'un pour te faire la lecture, j'ai légèrement autre chose à faire.
Citation :
Il s’agit de la faculté de métamorphoser son corps à volonté par le simple effet de la pensée, bien que les divers changements surviennent occasionnellement en liens avec les émotions du sorcier. Un métamorphomage n’est néanmoins pas un animagus. Si faire apparaître à la place de son nez un bec, un groin ou une truffe est envisageable, il est incapable de se changer entièrement en animal et de tels tests ne sont pas sans risques. De même, la métamorphomagie n’est pas du polynectar, si l’individu peut changer sa constitution – renforcer la carrure, son tour de taille et inversement -, il ne peut ni modifier son sexe, ni sa taille et encore moins basculer d'un extrême physique à un autre.

Wahou, trop cool ! C'est quoi ce que tu préfères faire avec ? (Forces, aides...) M'amuser ? Attends, quand tu as l'occasion de changer de tête, c'est plutôt pratique pour resquiller ou régler ses comptes. Hin hin, vous croyez vraiment que je vais payer pour mes infractions au règlement quand j'ai la chance de pouvoir y échapper ? Il n'est pas marqué « becasse » sur mon front ... De plus, c'est un bon moyen de tester les gens ou de leur pourrir la vie. Hey, je me défends si je veux, ok ?
Ah, ouais, j'avoue. Mais c'est pas un peu chiant des fois ? (Faiblesses, dangers...) Déjà, hélas, je ne suis pas omnipotente. Ce qui implique le côté yoyo et instable de ma particularité quand mes humeurs s'emballent. Mais, la nature a trouvé marrant de me coller un autre bâton dans les pattes, au cas où la durée de l'entraînement pour maîtriser un don pareil soit trop courte au final ... C'est vrai que plus de vingt ans, ça fait petit joueur. Bref, pour s'amuser un peu, elle a décidé que je ne serais pas physionomiste. La bonne blague, allez imiter quelqu'un sans vous souvenir de la moitié de sa tronche. J'vous dis pas le résultat. Donc, ça donne des cocktails assez saugrenus et j'ai été ainsi contrainte de me mettre à la photo ... Ah ben oui, aux grands maux ... Seulement, je crois que si on tombe sur mes albums, je vais passer pour une grosse psychopathe.
Et en quoi ça te rend spécial, tu penses ? : Je n'ai pas besoin de ça pour être spéciale, pignouf ... *Moïra se fait sortir par sa joueuse parce qu'elle raconte n'importe quoi.* Doooonc, j'aimerais bien ce don parce qu'il y a moyen de beaucoup l'exploiter avec le côté peste capricieuse de Moïra qui veut tout, tout de suite, selon ses envies et ses changements d'humeur et qui se met elle-même dans la mouise avec son instabilité physique. Bah oui, quand on est incapable de contrôler ses émotions, c'est assez coloré, comme résultat. x) De plus, avec le fait qu'elle soit peu physionomiste, elle doit, en plus du contrôle de son don, entraîner son sens de l'observation et sa mémoire des détails ... chose ardue et qui ne se peaufine pas en un jour. Donc, forcément, il y aura des moments où elle voudra piéger un tel ou un tel mais où elle aura des yeux bruns et pas bleus, un grain de beauté ou une cicatrice à elle qu'elle aurait oublié d'enlever ou un truc en trop qu'elle aura ajouté et ça peut donner de joli quiproquos. x)


To be continued ...
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMar 17 Mai - 19:58

Ca devrait être bon. saint

Je relis juste un coup, notamment pour les dates. x)
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 12:40


    Bon, ben, je veux pas être ton amie... Ni ton ennemie en fait. *pan*
    Par contre, je veux bien te valider. Avec avec une fiche pareille, c'est donc... Chose faîte ! J'ai adoré le caractère, parfaitement cuisiné de la demoiselle. Et c'est la scène du boyfriend piégé qui me fait dire que je veux pas être dans l'entourage de ta nana ! ahaha.
    Pauvre de lui... U.U Bon, c'est un naze, mais quand même, pour en venir à tester un être cher comme ça, c'est hard. (ouais je suis choquée, et alors?) BREF. J'adore ce personnage, je sens qu'elle va en faire baver un bon nombre, et j'ai hâte de voir les liens qu'elle va tisser alors va vite rejoindre tes camarades d'Anupam ! Et les autres bien entendu... calin
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 12:48

Heeeey. T_______________T
On avait dit hier que pour embêter Phil, on validait Moïra qu'une fois que Yizel le serait.

*chouine et réclame un câlin pour la peine !*
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Beauxbâtons

  • Prudence S. De Lavoie
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 12:54


    La pauvre, elle avait zéro message sur sa fiche et elle avait tout bien fait depuis hier 22h, j'ai eu pitié ! *pan* Et puis c'est mal d'embêter Phil naméoh ! Elle a rien fait de mal ! o_o *en mode Fedor qui protège Nascha /baf/*

    Tiens : calin calin calin !

    J'suis pardonnée ? (a)
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 13:00

Prudence S. De Lavoie a écrit:
La pauvre, elle avait zéro message sur sa fiche et elle avait tout bien fait depuis hier 22h, j'ai eu pitié ! *pan*
Oui, voilà, déjà, personne n'avait posté sur ma fiche pour dire rebienvenue, personne ne m'aiiiiiiiiiiiime. sad ouin
*sort*
Prudence S. De Lavoie a écrit:
Et puis c'est mal d'embêter Phil naméoh ! Elle a rien fait de mal ! o_o *en mode Fedor qui protège Nascha /baf/*
Voilà, moi je suis gentille, j'ai une auréole qui fonctionne encore - pas comme Elo et Pow, na ! UU - donc on ne peut pas me houspiller, j'suis une petite chose fragile. UU
*ressort.*

En tout cas, graaaaaaaaaaand merci pour la validation et les compliments. <3
*est contente d'être derrière un écran, comme ça, on ne la voit pas rougir. /ZBAFF/*

*sait que c'est le mauvais compte mais MAJe en même temps. xD*
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 13:27

Heeeey ! Si j'étais gentille, ça se saurait ! OO

Et tu es pardonnée si tu réponds avec Fedor ou avec Eden. (aaa)
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 16:03

Nascha D. Arguedas a écrit:
j'ai une auréole qui fonctionne encore - pas comme Elo et Pow, na ! UU - donc on ne peut pas me houspiller, j'suis une petite chose fragile. UU
*ressort.*
    Si ça doit tomber sur quelqu'un, c'toujours sur nous façon T_T Trouvez vous d'autres boucs-émissaires merde *PAN*
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Yolihuani

  • Nascha D. Arguedas
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 16:40

Comment tu t'es sentie visée alors que non, hé ! x)

Toi, y a un w à la fin de « Elow », d'abord, na. UU

Puiiiiiiis j'ai des preuves écrites pour étayer mes accusations à l'égard des deux bougresses. é.è
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Salem

  • Archibald L. Wilson
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 17:45


    Je suis solidaire de toutes les Elodie, voilà tout !!! *ouuut*
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 19:08

*saute sur Elow*
*tant pis pour les autres, y a que Elow qui est gentille d'aboooord*
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Anupam

  • Moïra T. Norrington
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 21:00

Comment ce sont deux vendues, hé ! x)
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra EmptyMer 18 Mai - 21:02

Quoi ? T'es jalouse ?
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MessageSujet: Re: « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra   « Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra Empty

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« Il vaut mieux bien faire le mal que mal faire le bien. » ♣ Ovide | Moïra

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