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     Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.

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    • Ayn K. Rjevskaïa
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    Ayn K. Rjevskaïa



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    MessageSujet: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMer 1 Mai - 20:07

    Ayn Kassianova Rjevskaïa


    Age: 26 ans
    Nationalité: Russe
    Sang: Oui, c'est mieux (pur, si jamais ça vous intéresse vraiment)
    Année/Spécialité/Cursus/Options: Ancienne Durmstrang diplômée de journalisme
    Date de naissance: 3 janvier
    Lieu de naissance: Saint Petersboug, Russie
    Surnom: Ils diffèrent suivant les personnes qu'elle fréquente (difficile de trouver un diminutif universel à son prénom).
    Rang social: Modéré, ni trop bas ni trop élevé
    Situation des parents: Père heu... père multi-facette (elle le connaissait comme étant politicien), et mère actrice (une vélane parmi les moldus, forcément, ça porte ses fruits).
    Rôle/Profession: Journaliste un brin fouineuse, mais ici, surtout en congé
    Ecole/Ancienne école: Ancienne Durmstrang





    Pseudo: Pan²
    (Prénom): Panpan
    Age: 22 ans (jsuis un survivor de lapin)
    Double compte?: Raté !
    Prédéfini: Non plus. Pas tout à fait. Non, en fait non.
    Présence sur le forum (?/7): Oui, jsuis présente.
    Avatar: Emma Stone (coucou à qui se reconnaitra) (regardez à droite, jsuis canon comme lapin ->)
    Code du réglement: Dieu m'a validée.
    Comment avez vous connu le forum et qu'en pensez-vous?: Il était une fois le monde du rpg. Petit Panpan aimait bien ce monde. Il voguait de forum en forum, on lui a un jour conseillé celui-ci, qui ne s'appelait à l'époque même pas Nameless. Alors il s'est inscrit, et n'est jamais vraiment parti.
    Autre? Je tiens à remercier une certaine personne pour me laisser jouer un personnage qui lui tient à cœur, avec un avatar qui lui tient à cœur. Voilà voilà. Signée : Panpan.




    Dernière édition par Ayn K. Rjevskaïa le Mer 8 Mai - 18:00, édité 2 fois
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    • Ayn K. Rjevskaïa
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMer 1 Mai - 20:12

    I am who I am, no excuses.




    — Allons-y progressivement... —


    Saint-Pétersbourg, ça vous fait rêver, non ? La neige qui y tombe l'hiver est immaculée, d'une pureté extrême. Il y fait froid, le russes sont réputés austères, et pourtant, cette ville a toujours été la seule où je me suis sentie chez moi. J'aime encore y errer en fin de journée, trainer dans les vieux quartiers, admirer les paysages qui font la joie des touristes. Je ne m'en lasse pas, parce que c'est chez moi, et que ça le sera probablement toujours.




    — Introduction —

    Je n'ai pas pleuré. Quand il m'a dit ces quelques mots, je n'ai pas pleuré. Parce qu'il méritait aucune de mes larmes, parce qu'il méritait même plus que je le considère comme je l'avais toujours considéré. Il n'était plus cette personne ; en réalité, il ne l'avait jamais été. Et je n'en avais que faire de ce qu'il pourrait me dire pour se justifier ; il n'y avait aucune explication qui le rattraperait à mes yeux. C'était fini. Alors, avant que ne me croyez dénuée de toute sensibilité, laissez-moi vous raconter mon histoire. Ma version de cette histoire.

    La Russie, c'est bien, c'est beau, c'est tout ce qu'on veut. Si on est au bon endroit au bon moment, on peut voir la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé (quel nom pompeux, je vous l'accorde) se voiler doucement de neige, la confondant presque avec le paysage environnant. Certains aiment à croire que la Russie compte parmi les plus nombreux milliardaires, millionnaires, ou en tout cas, richissimes hommes d'affaires connus pour emmener leur blondasse de femme -de vingt ans plus jeunes- faire leur shopping au Harrods de Londres, ou skier / paresser au spa à Courchevel en France. Mais la Russie, si on y réfléchit, c'est aussi toutes ces gamines qui fuient vers l'ouest, la tête remplie de rêve, pour finalement faire carrière dans le péripatétisme. C'est une politique incroyablement stricte, une rigueur incomprise des pays plus occidentaux. Un pays un peu coupé du reste du monde, enfermé dans ses propres convictions et ses habitudes. Moi ? Moi, je suis entre tout ça. Moi, je survis au milieu de ça; parce que je n'ai pas le choix, parce que c'est là que je suis née; et parce que ma Russie, malgré tout ce qu'on peut en dire, je l'aime. C'est à Saint-Pétersbourg que je suis née il y a des années, c'est là que j'ai grandi, et, si ce n'était pour cette vérité qui m'a éclaté à la figure, je n'en aurais probablement jamais trop bougé.

    Laissez-moi vous raconter mon histoire depuis le début. Prenez-vous un thé ou un whisky, comme vous le sentez, mais vous avez pas intérêt à vous arrêter en route, parce que tout ce je raconte, je ne le dirai pas deux fois.

    Je suis née il y maintenant quelques années, dans cette ville dont je vous parle depuis sans doute déjà trop longtemps à votre goût. Ma mère m'a toujours raconté que ma naissance a béni sa vie, blablabla, mais si elle savait la vérité aujourd'hui, je pense qu'elle retirait toutes ces belles paroles. Déjà que je suis à peu près sûre qu'elle ne les pensait que de temps à autre... Car laissez-moi vous le dire clairement, ma mère n'a jamais été clémente envers quiconque. Apparemment, c'est ce qui plait à mon père, puisqu'il ne l'a jamais quittée. Elle, elle est de celles qui, en battement de cils, font tomber tous les hommes du coin comme un insecticide le fait avec des mouches. Oui, c'est une semi-vélane. Je n'ai jamais rencontré mes grands-parents, mais ma mère a toujours dit le meilleur à leur sujet. Surtout à propos de sa propre mère, en fait. Elle était blonde, comme elle. Elle avait une peau satinée, et son sourire respirait le bonheur et la simplicité, lui donnant l'air d'une éternelle enfant remplie de joie de vivre. Moi, tout ça, je trouvais que ça puait le furet crevé. Ce n'est que du superficiel, comme ma mère. Elle n'est que superficiel. Je la hais.




    — Partie I - Before —

    Oui, ma mère, je la hais. Parce qu'elle a toujours eu ce fantasme que je me déclare vélane, même un tout petit peu, à un moment de ma vie. Comme on déclare une maladie. Mais être une vélane, ça n'est pas contagieux comme une MST. Et malgré tous les reproches qu'elle m'a fait, je ne me suis pas réveillée blonde un matin avec un inconnu dans mon lit qui me confirmerait qu'il n'avait pas eu besoin de boire pour me succomber -en fait, si, mais ça, c'est une autre histoire. Je n'ai jamais été celle qu'elle aurait aimé que je sois, et ça, elle ne me l'a jamais pardonné. « Pourquoi j'ai fait cette fausse couche ? » regrettait-elle à haute voix, sans forcément à chaque fois en détailler les raisons. Mais ces raisons, je les avais toujours connues. Cet autre enfant qu'elle aurait du avoir avant moi, il aurait sans doute été vélane, semi-vélane, millième vélane. Il aurait pété de l'or et chié du diamant. Il n'aurait pas été moi, quoi. Alors moi j'ai grandi en portant les regrets de ma mère sur mes épaules. J'ai grandi en apprenant malgré moi à être fière de ce que j'étais, même si ce n'était pas ce qu'elle voulait. J'ai grandi avec pour modèle mon père qui, lui, lorsqu'il n'était pas en voyages pour des raisons politiques incompréhensibles du commun des mortels -moi comprise-, me montrait toute son affection avec les surprises qu'il me ramenait de ses excursions. Il me parlait des heures des pays qu'il visitait, et pour moi, il était un héros. Il était libre de tout, il partait et revenait à sa guise. J'aimais ma vie malgré tout. J'aimais l'école où j'allais, j'aimais mes amis, j'aimais rentrer le soir avec eux, goûter et regarder la télé. Ma mère, quant à elle, lorsqu'elle n'était pas en pleine phase de regrets, pouvait s'avérer agréable à vivre. De toute façon, c'était ma vie, je n'avais pas d'autre choix que de la vivre comme elle était.

    Le jour de mes treize ans, j'ai reçu une lettre un peu hors du commun, mais maman m'y avait préparée depuis de nombreuses années comme elle m'avait préparée à mes premières règles. « Mais après, ça m'étonnerait pas que t'en reçoives pas », avait-elle conclu en haussant les épaules après m'avoir expliqué tout ce à quoi j'avais le droit de m'attendre malgré tout. Moi, pendant les quelques années qui avaient séparé ce long discours magnifiquement clôturé et la réception de ce bout de parchemin apporté par un hibou anorexique et déplumé, je n'y pensais même plus. J'étais bien là où j'étais, j'aimais ce que je faisais, et, de toute façon, la magie ne faisait pas partie de notre quotidien. Ma mère était actrice, et sa moitié vélane lui suffisait amplement à obtenir ce qu'elle voulait. A l'heure actuelle, oui, je me demande si elle n'a pas du faire plus que battre des cils pour obtenir certains de ses rôles, mais j'en fous, c'est sa vie, pas la mienne. Bref, toujours est-il que cette putain de lettre à la con, je l'ai reçue. J'ai pas voulu en parler à ma mère tout de suite, j'ai voulu esquiver, je m'en souviens. Je me souviens aussi que le hibou a failli me claquer dans les mains, mais qu'après le d'un bon repas -miam les musaraignes-, il était reparti de son plein gré -et du mien. Je ne voulais pas avoir sa mort sur la conscience. En réalité, je l'ai sûrement, mais je n'ai pas vu ça. Bref, j'avais cette lettre ouverte sur mon lit, quelques restes de musaraignes sur le rebord de la fenêtre, et une tête bourrée de questions. Je voulais pas y aller.
    Pourtant, quelque part, j'avais juste envie que, cette fois, ma mère soit fière de moi. Alors, j'ai attendu qu'elle rentre du boulot, et je lui ai montré cette lettre. Elle l'a lue sans broncher, et elle a pas souri. Elle a relevé la tête vers moi, et je n'ai pas réussi à y voir grand chose. « Ah, comme quoi, les surprises, ça existe », s'est-elle contentée de me répondre avec un petit sourire. Je n'ai jamais su si elle était contente pour moi ; si elle était ne serait-ce rien qu'un peu fière, pour une fois ; si elle regrettait ce qu'elle m'avait dit quelques années plus tôt -si elle s'en souvenait comme moi je m'en rappelais ; ou si elle était juste vexée d'avoir eu tort à ce sujet.
    Les courses pour ma rentrée ont été laborieuses. On a du aller jusqu'à Moscou, et papa s'est libéré pour nous accompagner. « Je suis fier de toi, Ayn » m'avait-il glissé alors que mère se faisait attaquer par une immense chouette. « Y a des profs là-bas qui doivent se souvenir de ta mère, elle avait un sacré tempérament, mais tu la connais. Si tu te fais remarquer, fais-le pour les bonnes raisons, ma fille. » Et puis il m'avait donné quelques gallions en se justifiant avec un clin d’œil : « Donne à cette chouette une raison d'arrêter d'embêter ta mère ». Je me souviens avoir froncé les sourcils pour lui demander : « Ils vendent du poison dans la boutique ? » Mon père a rigolé, croyant que je plaisantais. « Oh, » continuai-je en réalisant. « maman supporterait pas, c'est bon » refusai-je alors, sans lui rendre les pièces pour autant. « Mais on sait jamais de quoi d'autre je pourrais avoir besoin. » Et ce jour-là, ce qui m'a le plus fait envie dans cette rue marchande remplie de magie, c'est cet appareil photo, de ceux qui peuvent immortaliser chacun de vos mouvements dans leur précision.

    Les au-revoir avant que je parte pour Durmstrang n'ont pas été particulièrement déchirants. Ma mère m'a quand même glissé qu'elle était contente que je puisse au moins profiter de cet héritage que j'avais su récupérer d'eux. Mon père, lui, n'avait pas pu être là.



    Dernière édition par Ayn K. Rjevskaïa le Mer 8 Mai - 17:59, édité 13 fois
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMer 1 Mai - 20:12

      + Cazou
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMer 1 Mai - 20:49


      Lait !
      ...
      Cazou + lait... Oui bon c'était trop pourri mais j'm'excuse même pas =>

      Oooooh ! Une russe, tiens donc, je m'y attendais pas ! mr green ... ... ...Bon en fait, juste re-bienvenue, hein, choupinette d'amour, ça suffira, comme ça je t'épargne mon humour pourri. x)
      Ah, et, tu sais quoi ? Je t'aime (a) *fufufu*

      love

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    • Ayn K. Rjevskaïa
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMer 1 Mai - 21:28

      Oh ! Un Russe ! Merci beau gosse ! *se fait taper par une blonde*
      Moi aussi j't'aime MVDD love
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyLun 6 Mai - 19:11

    Benvenue, ou plutôt bon retour apparemment calin

    Bonne chance pour l'écriture de ta fiche love
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    • Ayn K. Rjevskaïa
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyLun 6 Mai - 22:04

      Merci beaucoup t'es super choue *-* love
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    • Jude J. Kassidy
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. EmptyMar 7 Mai - 7:03

    OH MA GAD EMMA *o*
    Marrie-moi faisons des bébés et partons à Tombouctou élever des lamas.
    (Sinon, bienvenue.)
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    MessageSujet: Re: Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this.   Ayn ~~ You're a chemical that burns, there's nothing like this. Empty

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