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     Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R.

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    MessageSujet: Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R.   Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R. EmptyJeu 20 Déc - 10:17

    INFORMATIONS SUR LE SUJET


    Date : septembre 2012
    Intrigue en cours : (Référez-vous au sujet correspondant)
    Protagonistes : Arrogance O'Ryan et Zeïna al-Ma'rib
    Statut du sujet : Privé
    Intervention du MJ : no thxs, grosse discussion en perspective :p


    « Amour, art et secrets »


    Assise au milieu de la galerie d'art complètement vide, vêtue d'une robe en laine noire et d'un collant rouge, ses cheveux relevés en un chignon, Zad admirait, une fois de plus, son tableau préféré. Une petite pièce de la collection d'Elderwood représentant un homme et une femme allongés dans l'herbe, au milieu d'une forêt. Un rayon de lumière illuminait leurs visages endormis et souriants ; leurs mains se frôlaient, au milieu des bleuets. Une vision de paradis, aux ombres romantiques. Les mains de Zad se crispèrent sur le rebord du banc recouvert d'un confortable velours pourpre. Elle baissa la tête, fermant les yeux. Ses paupières closes ne lui permirent pas d'échapper aux visions de cette funeste nuit. Une larme perla sur sa joue, qu'elle essuya d'un mouvement sec. Pas de pleurs, pas de larmes. Un sourire pour effacer la tristesse de son visage et la vie continuait. Elle releva la tête et rouvrit les yeux, cherchant un autre tableau pour occuper son esprit. Elle tomba sur une copie des Demoiselles d'Avignon. Zad n'aimait pas Picasso, parce qu'elle ne parvenait pas à le comprendre. Toutes ces formes informes, ces traits oubliés et ces visages ravagés ne parvenaient pas à former une représentation esthétique de la réalité. Les corps et visages géométriques des prostituées de la rue d'Avignon étaient, à son goût, agressifs. Le choix de représenter des prostituées ne lui posait aucun problème. Elles auraient pu être des femmes d'ouvriers ou des bourgeoises européennes, rien n'aurait changé dans l'avis de Zad. Elle préférait les représentation plus réalistes, surtout celles du 18e et 19e siècle. D'autant plus que ces demoiselles-là, dans leur tableau magique, se mouvaient.

    La porte de la galerie s'ouvrit. Zad tourna la tête, souriant. Salut Arro, lança-t-elle. J'ai bien cru que tu m'avais oubliée, s'amusa Zad en rejoignant son amie pour lui faire la bise. Elle ne se ferait jamais à cette coutume toute européenne, mais vu le nombre d'occidentaux à Elderwood, il fallait bien faire des concessions sur ses propres habitudes. Prenant le bras de son amie, Zad décida qu'elles seraient mieux à déambuler dans la galerie plutôt qu'à rester assises comme des pieds de poireaux sur un fauteuil, aussi confortable soit-il. Alors, que racontes-tu de beau ? Avec toute l'agitation autour de la rentrée, on n'a pas eu le temps de se voir !
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    • Arrogance S. O'Ryan
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    Arrogance S. O'Ryan



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    MessageSujet: Re: Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R.   Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R. EmptySam 22 Déc - 14:59

    Je n’allais pas mentir : le retour à Elderwood avait été difficile. La demeure de Monsieur Jones avait été un havre, un cocon douillet dans lequel j’avais pansé péniblement mes blessures, le nombre de cauchemars par semaine se réduisant lentement mais sûrement. J’avais pu y voir quelques amis, rappels que le monde extérieur existait mais me retrouver dehors, à devoir reprendre ma place et mon rôle n’avait pas été aussi simple que j’aurais pu le penser, ou plutôt que j’aurais aimé le croire. Ma Cour m’attendait cependant, fidèle au poste quand je posai le pied sur l’île et je savais que certaines choses n’allaient pas changer. Toutes autant qu’elles étaient, elles étaient sans doute déboussolées et l’ordre établi était rassurant pour tout le monde. Ces dindes sans envergure avaient finalement trouvé une utilité : celles de me permettre de reprendre le cours de ma vie sans trop de heurts. Je passais plus de temps avec Moïra et Andrea que d’ordinaire, congédiant donc ces suiveuses d’un claquement agacé de doigts plus souvent qu’à mon tour, ou recherchais la compagnie d’Hendrick, ce qui les faisait toujours autant glousser. Elles pouvaient bien penser ce qu’elles voulaient, cela n’avait aucune sorte d’importance. Mes vieilles habitudes revenaient lentement mais sûrement et je naviguais ainsi sans trop de mal, malgré l’absence d’entrevue avec Luis, entrevue que je ne provoquerais sans doute pas de moi-même. Ma fierté était toujours bien en place, bien que salement amochée. Les journées passaient, péniblement au début, puis de plus en plus facilement. Je m’efforçais de ne rien laisser paraître, tolérant que les fantômes de mes peurs hantent mes nuits sans que cela affecte mes journées, comme je l’avais toujours fait. Compartimenter, diviser pour mieux régner, aurait dit un célèbre Romain, j’appliquais cet adage à ma sauce.

    Dans ce combat pour garder la tête hors de l’eau, il était vrai qu’il y avait certaines amitiés que j’avais écartées plus ou moins volontairement, et celle qui me liait à Zeïna était de celles-ci. Je n’avais rien contre elle, au contraire même, j’avais toujours apprécié la jeune fille, son caractère, sa prestance, mais nos rapports étaient surtout basés, au départ, sur un intérêt mutuel. Et malheureusement je n’avais plus rien à lui offrir. Si mon frère continuait de m’envoyer de l’argent afin que je ne sois pas à la charge de Joshua Jones, il n’empêchait que j’avais perdu mon rang et ma famille. Si la nouvelle ne s’était pas répandue, c’était que j’avais fait taire les rumeurs en arguant simplement que mes fiançailles avaient été rompues car on avait retrouvé Caesar le soir même, alors qu’il était censé m’offrir la bague, derrière un rideau avec une simple servante et qu’il avait été reconnu par tous qu’il avait une addiction sévère tenant de la maladie l’empêchant d’être un parti honorable. Un pieux mensonge, en quelque sorte, étant donné la rancœur que j’éprouvais pour lui, j’aurais pu inventer bien pire. Ce fut donc une fois la rentrée légèrement passée que je retrouvais mon amie pour la première fois. Elle m’avait donné rendez-vous dans la galerie d’art, lieu que j’appréciais particulièrement. Celui-ci n’était guère couru, de surcroît, ce qui nous permettrait de nous tenir au calme. Salut Arro. J'ai bien cru que tu m'avais oubliée. Bonjour, Zeïna. Tu sais bien que l’une comme l’autre faisons partie de ces femmes que l’on ne peut oublier. La bise faite, j’avançai à ses côtés alors qu’elle projetait une exploration de la galerie, ce qui était pour me convenir. L’inactivité me pesait, récemment et il serait plus aisé de converser en avançant. Alors, que racontes-tu de beau ? Avec toute l'agitation autour de la rentrée, on n'a pas eu le temps de se voir !

    J’eus un léger sourire tout en tournant mon regard vers un tableau de Géricault qui semblait avoir entièrement sa place dans cette école en ces temps troublés, les corps grimaçants et gisant de ce Radeau rappelant d’amers souvenirs. Que répondre ? Je ne comptais guère la tromper comme je le faisais à l’envi avec la quasi-totalité de l’école. Malgré le caractère premier de notre relation, tout me portait à croire que cela était bien plus profond, sachant qu’elle-même avait été touchée par la perte de son frère. De plus, elle était la seule personne au courant l’année passée des fiançailles qui m’unissaient à mon cousin, l’ayant découvert sans que je puisse l’en empêcher. Tu as dû entendre parler de la rupture de mes fiançailles. Les raisons officielles sont, comme tu peux t’en douter, totalement erronées. Combien aurais-je préféré que la nymphomanie soit la raison de cette rupture, et non le manque d’amour et de considération que cet idiot me portait … Etouffant un soupir, je tentai de chasser le sujet rapidement : Tout ceci a été pénible, et le récit de cette nuit et du reste est interminable, j’aurais peur de t’endormir. Ou comment minimiser en quelques secondes des journées entières de souffrance. Je resserrai doucement ma prise sur son bras avant de glisser : Mais toi, comment te portes-tu ? Je n’étais guère la plus à plaindre, revenir sur les lieux qui avaient constitué le décor du décès de son frère ne devait pas être aisé. Mes problèmes, en comparaison, me semblaient bien dérisoires.
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    MessageSujet: Re: Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R.   Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R. EmptyJeu 10 Jan - 17:44

    Zad esquissa un sourire triste à la remarque de son amie. De ces femmes qu'on oubliait pas... Zeïna avait un caractère qui ne lui laissait aucune chance de passer inaperçu dans une foule, malgré une taille moyenne. Et depuis la Nuit des Loups, elle faisait partie de ceux qui avaient perdu un membre de leur famille. Avec Abân, ils partageaient le lourd fardeau d'une fratrie amputée. J'ai entendu, en effet. Et je me suis dis que tu m'en parlerais si tel était ton désir, répondit Zad en déposant sur Arrogance un regard plein d'affection. Elle objecta que le récit n'en valait pas la chandelle. Zad haussa lentement les épaules. Son amie lui en parlerait, une fois totalement prête. Et, logiquement, la conversation dériva. Le regard de la belle Jordanienne se perdit dans les stries du bois parant les murs, ses mains s'enfoncèrent dans les poches de son pantalon. Comment pouvait-elle répondre ? Elle ne voulait pas mentir à ses amis pourtant, depuis le retour à Elderwood, elle n'en pouvait plus des regards pleins de pitié et des comment ça va aussi vides que l'air. Elle répondait de vagues ça va, ça va avant de changer le sujet de la conversation. Et si elle mentait aux autres, à ceux qui n'avaient aucune importance pour elle, elle n'allait pas mentir à Arrogance.

    Zad se tourna vers son amie, les yeux embués. Il n'y avait personne, elle n'avait donc pas peur qu'on la voit dans cet état. Je... j'en ai marre de faire semblant chaque jour. Ce que je voudrais, c'est hurler que je ne vais pas bien, que je m'en veux parce que Mirza est mort à cause de moi ! J'aurais dû rester avec lui en bas de cet arbre, j'aurais dû être à ses côtés pour nous défendre contre ce loup, j'aurais dû mourir à sa place ! cria-t-elle en se laissant tomber sur un banc au milieu du couloir. Il était brillant, inventif, volontaire, il aurait fait des merveilles pour le monde. Moi, qu'est-ce que je vais faire ? M'enterrer dans la haine que j'ai pour ces bêtes qui ont tué mon frère ? Ça nous détruit, Arrogance. Moi et Abân. Cette tragédie nous détruit à petit feu. Zad releva la tête vers son amie, le visage couvert de larmes. Pour la première fois, elle tombait le masque et se découvrait. A visage nu. Mon frère m'échappe un peu plus chaque jour. J'en ai perdu un et j'ai l'impression que le deuxième me fuit. C'est comme si... comme si nous allions finir notre vie à nous renvoyer la faute de sa mort en pleine tronche ! Elle sortit sa baguette de sa poche arrière et, après l'avoir regardée avec des yeux emplis de colère, la balança à travers la galerie. A quoi ça nous sert si on ne peut pas se défendre contre de telles attaques ? lança-t-elle avec fureur avant de reprendre son souffle, la poitrine soulevée par de larges inspirations.
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    MessageSujet: Re: Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R.   Amour, art et secrets ◇ ARROGANCE O'R. EmptySam 19 Jan - 9:26

    Désir de parler de cette affaire ? Je n’aurais su dire si ce terme était applicable dans le cas présent. On ne pouvait parler de désir quand quelque chose vous étouffait à ce point. Le désir. Ça avait été le seul dénominateur commun entre Caesar et moi. Je n’avais pas le désir d’en parler, je ne voulais absolument pas rassasser tout ce qui avait pu se passer depuis mon arrivée à Elderwood, depuis que j’avais appris qu’il s’éprenait d’autres et découvert que ma présence ne l’empêchait aucunement de continuer. Et le reste … je n’avais pas la force de revenir dessus sereinement. Pas encore. Et je n’avais aucunement envie de me transformer devant mon amie, elle n’avait pas encore eu droit à cette démonstration, elle était sans doute superflue dans l’immédiat. Et comme je l’avais dit, je n’étais pas la plus à plaindre de nous deux aussi aurait-il été particulièrement malvenu de m’épancher sur un amour perdu alors qu’elle avait tellement plus à pleurer … Un frère. Rien que cela. Si j’avais moi-même perdu le mien, seul membre de la famille reconnaissant encore mon existence, je ne m’en serais sans doute pas relevée et tous les Joshua Jones du monde n’auraient pu m’empêcher de me jeter du haut de cette falaise. Je n’osais donc imaginer ce qu’elle pouvait ressentir, et cela m’inquiétait. Que l’on soit claires : l’amitié à l‘état pur, je n’y avais pas goûté depuis fort longtemps, à mon arrivé à l’école. Il y en avait, quelques unes, qui avaient le droit de prétendre à ce titre dans mon entourage, mais jamais nous ne nous étions réellement épanchées. Moïra, Yizel et moi fonctionnons plus aux complots machiavéliques, Andrea au silence, Hendrick au concours d’ego. Alors que l’on me pardonne d’appréhender ce qui allait suivre.

    Ses yeux emplis de larmes se tournant vers les miens manquèrent de me faire reculer et avancer à la fois, aussi étrange que cela puisse paraître. Deux instincts complètement différents qui s’affrontèrent sans qu’il y ait de vainqueur, expliquant ma position figée. Quand elle se mit à hurler, je tressaillis. Ses mots s’enroulaient autour de moi, lentement, alors qu’une réponse se dessinait lentement dans mon esprit. Son lancer de baguette acheva de me décider et j’avançai, posant mes mains sur ses bras : Zeïna, calme-toi. Sa colère avait un goût de virus contagieux et il n’était pas question qu’elle me gagne. L’enjoignant à respirer profondément, je cherchai son regard : Comment crois-tu qu’Abân aurait réagi si tu étais décédée également. Car en restant à ses côtés, tu l’aurais déstabilisé et vous auriez péri tous les deux, c’est une certitude. Je resserrai légèrement mes mains autour de ses poignets avant de murmurer : Je ne prétends pas comprendre ce que tu ressens. Mais tu es en vie, et Abân aussi. Et si vous restez comme cela, vous mourrez à petit feu l’un et l’autre, même métaphoriquement parlant. M’essayer à la philosophie n’était sans doute pas une idée particulièrement brillante mais je n’en avais pas d’autre en réserve pour le moment. Prendre ce rôle de confidente était extrêmement déstabilisant et j’essayais de me demander ce que moi, j’aurais aimé entendre. Etant particulièrement peu réceptive aux douces paroles, sans doute rien du tout. Mais je ne pouvais la laisser comme cela. J’ajoutais : Tu n’es pas n’importe qui. Tu es Zeïna al-Ma’rib et si quelqu’un peut se relever de ce genre d’épreuves, c’est bien toi. Tu as perdu un frère et rien ne te le rendra, rien de le remplacera. Mais tu as une famille nombreuse et aimante qui est toujours là. Et ton futur t’attend. L’ambition. Les rêves. Des outils qui semblaient dérisoires, mais je n’en connaissais pas d’autres. Je ne te dis pas de l’oublier. Juste … d’arrêter de te faire du mal comme cela. De femme inoubliable à femme inoubliable. De princesse à princesse. Et de cœur brisé à cœur brisé. C’était ce que je tentais de faire. Mais mon affliction était moindre, cela étant.
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